Les Mémés contre-attaquent (le moment DéQonneurs)
Les nouvelles révélations de Project Veritas
«Le COVID sera probablement une vache à lait pour nous pendant un certain temps à l’avenir… mais il faut être très contrôlé, pour s’assurer que le virus que l’on fait muter ne crée pas quelque chose qui, vous savez, se propage partout. »
Walker Jordon, Directeur,
Opérations stratégiques, R&D mondiales et planification scientifique ARNm chez Pfizer
Réactions
« Qu’il s’agisse de recherche sur le gain de fonction ou de mutations de structure sélectionnées par évolution dirigée, comme le prétend M. Walker, tout effort visant à rendre un virus plus transmissible et plus mortel est imprudent et dangereux. En outre, M. Walker a déclaré que Pfizer est prêt à s’engager dans cette recherche dangereuse parce que COVID et ses variantes sont une ‘vache à lait’ pour l’entreprise et que les régulateurs se montreront indulgents à leur égard parce qu’un pourcentage significatif de fonctionnaires visent à travailler pour Pfizer et d’autres sociétés biopharmaceutiques et ne veulent pas compromettre leurs futures perspectives d’emploi. »
Pause Pub
Le Forum Économique Mondial recrute !
Certains commencent à admettre leurs erreurs
Durham au coin de la rue ? Soros dans la purée ?
Un cas que les républicains de la Chambre des représentants vont probablement ignorer est l’enquête du conseiller spécial John Durham sur l’enquête russe, bien que le New York Times ait rapporté jeudi que M. Durham et l’ancien procureur général Bill Barr, qui l’a nommé, pourraient avoir abusé de leurs pouvoirs d’enquête de plusieurs façons, notamment en utilisant des renseignements russes douteux pour avoir accès aux courriels d’un assistant du milliardaire hongrois George Soros, une cible fréquente des conspirations de droite.
Twitter Files #15b
Dans Twitter Files #15 , il est question du site Hamilton68 qui, supposément, faisait un suivi de l’influence de bots russes sur Twitter. Yoel Roth (top management de Twitter) pointe du doigt que Hamilton68 que les conclusions de ce site ne sont ni fondées, ni transparentes et que beaucoup de comptes légitimes pro-républicains sont faussement désignés comme des bots russes.
Le site Hamilton68 était dirigé par Clint Watts, anciennement agent de contre-espionnage au FBI et actuellement contributeur à MSNBC. Les financements de Hamilton68 provenaient d’un think tank démocrate (ASD: Alliance for Democracy).
La gouvernance de ASD est constituée d’anciens responsables de la CIA du DHS, de la NSA, et des proches du parti démocrate et du cartel Clinton. En particulier le tristement célèbre John Podesta faisait partie de cette gouvernance.
Hamilton68 a été très fréquemment cité comme source par toute la presse mainstream, lorsque celle-ci qui affirmait (sans aucune preuve) que des narratifs poussés par Trump, ou par certains journalistes de Fox News (ex. Laura Ingraham), étaient amplifiés par des bots russes (NDLR: Exactement le même principe que Conspiracy Watch en France).
La liste de ces fameux comptes identifiés comme des bots pro-russe n’a bien évidemment jamais été diffusée jusqu’à très récemment.
En réalité, la grande majorité des comptes listés par Hamilton68 n’étaient ni des bots, ni sous influence russe, et les cadres de Twitter le savaient.
Conscient de leur responsabilité dans cette affaire, plusieurs cadres de Twitter ont tenté de confronter Hamilton68 (en privé ou publiquement), d’autres cadres ont pointé faire ceci pourrait avoir des conséquences politiques sérieuses.
Matt Taibbi conclut ce segment ainsi: « Ce qui rend cette histoire importante, c’est l’ampleur de l’empreinte laissée par le maccarthysme numérique de Hamilton 68. La quantité de gros titres et de segments télévisés éclipse l’impact de fabulistes individuels comme Jayson Blair ou Stephen Glass. »
Des documents classifiés… encore
Pence assume la responsabilité de documents classifiés chez lui qui n’auraient pas du y être.
1850 boîtes de documents que Biden a « donnés » à l’Université du Delaware.