Article original datant du 30/07/21
C’est un dicton souvent cité : « Chacun a droit à sa propre opinion, mais pas à ses propres faits. »
Un fait est une chose faite, une action réalisée ou un événement ou une circonstance qui s’est réellement produit. Essentiellement, les faits sont des vérités incontestables sur des personnes, des lieux et des événements.
Le seul événement marquant qui continue à couver comme un furoncle sur la psyché américaine est l’élection présidentielle du 3 novembre 2020. Pourquoi cet événement continue-t-il à couver ? Parce que des personnes de tous bords et de toutes origines pensent qu’il y a eu des éléments de fraude électorale, des déformations de la vérité, de la malhonnêteté due à la loi et, dans certains cas, une obstruction sévère de la part des politiciens à tous les niveaux du gouvernement.
Dans les jours qui ont suivi l’élection présidentielle, la « théorie du complot » selon laquelle l’élection aurait été en quelque sorte volée au milieu de la nuit a fait couler beaucoup d’encre. En fait, de nombreuses personnes pensent que le « vol » a eu lieu dans les jours qui ont précédé et suivi le jour du scrutin. Selon certains témoignages, le vol s’est produit à la suite de configurations et de réglages de machines, de bulletins de vote par correspondance détournés et frauduleux, de faux papiers utilisés pour les bulletins de vote, de scans multiples du même bulletin de vote, de bulletins de vote en excès par rapport au nombre d’électeurs inscrits et bien plus encore.
Les allégations de fraude dans cette élection semblent interminables. Ces allégations de « théorie de la conspiration » continuent d’être contestées et débattues à travers les États-Unis sans que les faits entourant l’élection elle-même ne soient sérieusement examinés.
Quels sont les faits concernant l’élection de 2020 ? Existe-t-il des faits que nous, le peuple, pouvons nous mettre sous la dent ? Existe-t-il des faits qui offrent un sentiment d’honnêteté et de vérité ?
Les conclusions préliminaires de l’audience du 15 juillet 2021 au Sénat de l’Arizona indiquent qu’une fraude flagrante a eu lieu dans au moins un comté (Maricopa) d’un État (l’Arizona). Comme un sénateur de l’Arizona s’est exclamé dans une interview : « C’était une fumisterie ! »
Ce que je veux offrir aux croyants et aux non-croyants, ce sont quelques faits. Ces faits et les données qui les sous-tendent proviennent de la recherche et de l’analyse d’informations recueillies directement sur des sites Web fédéraux, étatiques et de comtés. Ces faits comparent les élections passées à celles de novembre 2020, et tout ce qui est nécessaire pour les comprendre est le simple bon sens.
J’offrirai quelques analyses et réflexions à la fin, mais alors que nous continuons à avancer dans notre pays, nous, les gens, devons être guidés par les faits et connaître ce qui s’est passé. Alors qu’un grand débat se déroule devant les tribunaux, un lieu qui n’est pas conçu pour déterminer le résultat des élections, je crois que les gens doivent comprendre que notre nation a subi une attaque sans précédent contre le tissu même et la composante sacro-sainte de nos libertés ; notre privilège « une personne, un vote » a été gravement violé.
Voici les faits réels entourant l’élection présidentielle américaine du 3 novembre 2020.
1. Les comtés « bellwether » :
En 2020, l’ancien président Donald J. Trump a remporté 18 des 19 comtés « bellwether » (ne perdant que le comté de Clallam, dans l’État de Washington). Le terme « bellwether » dans l’arène politique désigne un comté ou un État qui s’aligne sur le vainqueur final d’une élection (et servent donc de « Baromètre », NdT).
Les réalignements politiques, comme gerrymandering (découpage des circonscriptions électorales ayant pour objectif de donner l’avantage à un parti, un candidat ou un groupe donné, NdT) des districts par exemple, peuvent faire perdre à certains comtés ou États le statut de « bellwether » au fil du temps. De 1980 à 2016, 19 comtés, pour la plupart des comtés industriels du nord et du centre-ouest des États-Unis, ont voté pour le vainqueur des 10 élections présidentielles. De plus, depuis 1936, un comté bellwether clé, le comté de Luzerne de l’Etat de Pennsylvanie, est allé au vainqueur de la Pennsylvanie, quel que soit le parti.
En 2016 et 2020, Trump a remporté ce comté haut la main. Tout républicain ayant remporté le comté de Luzerne au cours de cette période (depuis 1936) n’a jamais manqué de remporter également l’État du Michigan.
2. États « bellwether »
En 2020, Trump a remporté quatre États bellwether essentiels (Ohio, Iowa, Caroline du Nord et Floride). Ces États représentent une base solide composée d’électeurs urbains, suburbains, ruraux, syndiqués et issus de minorités ethniques. En outre, ces États ont été remportés par le même candidat 13 fois depuis 1896, et à chaque fois, ce candidat a remporté soit la présidence, soit sa réélection.
Les États « bellweather » apparaissent et disparaissent également au gré des réalignements démographiques. Par exemple, en 2000, George W. Bush est devenu le premier républicain à remporter la présidence sans avoir remporté le Vermont ou l’Illinois. À deux occasions près depuis 1896, les votes électoraux de l’Ohio sont allés au vainqueur final de la présidence. Trump a remporté l’Ohio à une écrasante majorité en 2020.
3. Part des votes primaires
La part des votes primaires lors des élections primaires est un moyen de juger les résultats des élections présidentielles.
Depuis l’instauration des primaires présidentielles en 1912, seuls quatre candidats sortants ont perdu leur réélection, tous ayant obtenu 72,8 % des voix ou moins lors des primaires. Herbert Hoover a perdu en 1932 après avoir obtenu 36 % des voix lors des primaires républicaines, Gerald Ford a perdu en 1976 après avoir obtenu 53,3 % des voix, Jimmy Carter (candidat sortant démocrate) a perdu en 1980 après avoir obtenu 51,1 % des voix et George H.W. Bush a perdu en 1992 après avoir obtenu 72,8 % des voix.
Les réélections républicaines les plus dominantes au cours de cette période ont été remportées par Dwight Eisenhower (1956, 85,9 % de part de primaire), Richard Nixon (1972, 86,9 %) et Ronald Reagan (1984, 98,8 %). Trump a obtenu 94,0 % en 2020.
En revanche, Joe Biden a été battu lors des primaires démocrates de 2020 dans l’Iowa, le New Hampshire et le Nevada – les indicateurs traditionnels de la viabilité des élections générales. Sa colistière, Kamala Harris, s’est retirée avant même le début du vote des primaires.
4. Les sortants qui gagnent des voix gagnent
Le gain de voix des sortants est un autre indicateur clé des résultats des élections présidentielles. Depuis 1892, et alors que l’expansion des États-Unis ralentissait, seuls six présidents ont perdu leur réélection. Tous les six ont obtenu moins de voix au total lors de leur campagne de réélection que lors de leur campagne initiale. Tous les présidents sortants qui ont gagné des voix ont été réélus.
En 2020, Trump a gagné un nombre record de 11 millions de voix. À titre de comparaison, l’ancien président Barack Obama a perdu 4 millions de voix au niveau national en 2012 et a quand même été réélu.
5. L’inscription des électeurs par parti
L’inscription des électeurs par parti est présentée comme l’un des indicateurs les plus précis pour déterminer les résultats des élections présidentielles. Tous les États n’enregistrent pas les électeurs par parti, mais pour ceux qui le font, les preuves sont évidentes.
Aussi loin que remontent les dossiers accessibles au public, trois des États clés de l’élection de 2020 – la Pennsylvanie, la Floride et la Caroline du Nord – ont évolué en faveur du même parti qui a réalisé des gains d’inscription globaux depuis 2000. En Pennsylvanie, de 2012 à 2016, 60 comtés sur 67 ont connu une tendance plus républicaine en matière d’inscription, ce qui suggère un gain majeur du GOP dans l’État – par conséquent, la Pennsylvanie a basculé pour Trump en 2016.
Une défaite légitime de Trump en Pennsylvanie montrerait une expansion de l’avance des inscriptions pour les démocrates. Cependant, de 2016 à 2020, 60 comtés sur 67 sont redevenus plus républicains en matière d’inscription, le GOP (Parti Républicain) enregistrant environ 242 000 nouveaux électeurs nets, contre seulement 12 000 pour les démocrates.
Ce chiffre suggère que la marge de victoire de Trump aurait dû augmenter considérablement.
6. Le vote par correspondance
Le vote par correspondance de la Chambre des représentants est un indicateur de succès pour la tête de liste.
Lorsqu’Obama a remporté une victoire écrasante en 2008, les démocrates ont enlevé 14 sièges à la Chambre des représentants aux républicains sortants, tout en ne perdant que cinq sièges. Lorsque Reagan a été élu en 1980, les républicains ont gagné un total de 34 sièges. Lorsque Reagan a été réélu, les républicains ont récupéré 16 sièges sur les 26 perdus lors des élections de mi-mandat de 1982.
En 2020, avec Trump en tête de liste, les républicains ont éliminé 13 sièges démocrates sortants, sans perdre un seul siège détenu par les républicains. Le bon sens suggère qu’un glissement de terrain électoral en faveur de Biden aurait emporté au moins un siège républicain avec lui.
7. La Floride comme indicateur de tendance clé
Pourquoi la Floride est-elle un indicateur si important du succès des élections présidentielles ? Depuis 1932, la trajectoire de la Floride est parfaitement corrélée à celle du Michigan et de la Pennsylvanie, en tant que reflet du sentiment politique de la classe ouvrière.
À chaque élection depuis lors, si la Floride est devenue plus républicaine par rapport à l’élection précédente, le Michigan et la Pennsylvanie ont fait exactement la même chose. Ces trois États se déplacent également largement ensemble vers la gauche lorsque les candidats démocrates gagnent du terrain.
En 2020, Trump a remporté la Floride avec une marge supérieure de plus de 2 points de pourcentage à celle qu’il a obtenue en 2016. Malgré un avantage massif des inscriptions républicaines en Pennsylvanie, la Pennsylvanie et le Michigan ont pris une direction distincte de la Floride pour la première fois en près d’un siècle.
8. Gagner partout mais tout perdre
Malgré la force historique et les gains de Trump dans les États et comtés du champ de bataille, Trump a » perdu « .
Le comté de Maricopa, en Arizona, qui recueille près des deux tiers de tous les votes en Arizona, n’a pas voté pour le candidat démocrate depuis qu’il a soutenu Harry Truman en 1948. En 1996, Bob Dole est devenu le premier républicain en près de 50 ans à perdre l’Arizona, mais il a tout de même remporté le comté de Maricopa.
Trump a porté le comté de 3 points de pourcentage en 2016 tout en recevant moins de voix que Mitt Romney dans le comté en 2012. En 2020, Trump a établi un record républicain de votes supplémentaires nets dans le comté de Maricopa en ajoutant environ 248 000 voix par rapport à sa performance de 2016, pour devenir le premier candidat républicain (et président sortant) à perdre le comté en 72 ans.
Cela a été accompli par le gain de Biden de près de 338 000 « nouveaux votes » nets par rapport à 2016, ce qui est près de trois fois plus élevé que le précédent gain de votes démocrates de tous les temps dans le comté par John Kerry en 2004. Des totaux et des augmentations de voix record similaires pour Trump ont également été éclipsés en 2020 dans les États de Géorgie, du Michigan, de Pennsylvanie, du Wisconsin, du Nevada et du Minnesota, dans le cadre d' »efforts de perte ».
9. La victoire revient à l’électeur issu des minorités
Trump a réalisé des progrès historiques auprès des électeurs issus des minorités dans tout le pays.
Trump a obtenu plus d’un quart des voix non blanches lors de sa campagne de réélection, atteignant un niveau de soutien des minorités jamais vu depuis la campagne de Nixon en 1960. Ses progrès ont été évidents dans les zones urbaines du Midwest, comme le comté de Wayne, dans le Michigan, dans le sud du Texas, où il a remporté des comtés qui étaient dans la colonne des démocrates depuis des décennies, et peut-être surtout dans le comté de Miami-Dade, en Floride.
Les augmentations de voix de Trump dans des comtés de banlieue républicains de longue date et dans des comtés ouvriers comme le comté de Mahoning, dans l’Ohio (qu’il a fait basculer pour la première fois depuis 1972), indiquent que son soutien de la population blanche ne s’est pas effondré comme l’ont rapporté les médias grand public. L’absence de millions d’électeurs minoritaires du noyau dur de la base démocrate soulève des questions considérables quant à la manière dont Biden a pu dépasser de 12 millions le record du vote populaire d’Obama.
10. 2020 a été « l’élection présidentielle la plus sûre de l’histoire des États-Unis »
Le comportement post-électoral des politiciens des deux camps et de leurs alliés des médias grand public et de Big Tech est plus que méprisable.
En 2016, avec des marges étroites en Pennsylvanie, au Michigan et au Wisconsin, le camp de Trump ne s’est pas inquiété des recomptages ou des audits potentiels dans aucun de ces trois États qui ont décidé de l’élection. Les marges certifiées de Biden en Pennsylvanie et au Michigan sont beaucoup plus importantes que les marges dans ces États en 2016, mais l’opposition à des audits complets, soit à l’échelle de l’État, soit dans les comtés suspects, s’est transformée en une guerre juridique et idéologique totale en 2021 (parfois appelée « lawfare »).
Si l’équipe de Biden est convaincue à 100 % d’avoir gagné l’élection de manière juste et équitable, elle devrait penser qu’il n’y a rien à cacher. Des audits confirmant ses totaux certifiés renforceraient certainement son administration et infligeraient simultanément une défaite embarrassante aux sceptiques de l’élection.
Au lieu de cela, les médias de l’establishment insistent sur le fait que, malgré des milliers d’affidavits et de récits personnels décrivant des fraudes ainsi que la récente audience du Sénat de l’État de l’Arizona sur l’audit du comté de Maricopa, l’élection de 2020 était « la plus sûre de l’histoire des États-Unis. »
Les secrétaires d’État démocrates se couvrent également. Dans un exemple parmi tant d’autres, la secrétaire d’État du Colorado a récemment agi en dehors de son autorité, interdisant de fait les audits dans cet État. La plus grande question à poser aux législateurs de tous les États est la suivante : Si votre candidat a gagné haut la main et qu’il n’y a rien à cacher, pourquoi ne pas mener un audit judiciaire complet de plusieurs comtés de votre État ?
Un élément sacro-saint de notre république constitutionnelle est le privilège, le droit et l’acte de voter pour nos dirigeants élus. Le peuple américain a considéré beaucoup de ses droits et responsabilités comme acquis depuis trop longtemps, et cette dernière élection présidentielle nous a clairement fait prendre conscience de ce fait.
Peut-être que ce dont l’Amérique a besoin maintenant, c’est que nous arrêtions de considérer nos libertés comme acquises.
Dieu seul sait quel sera le résultat final de l’élection de 2020. Je peux dire, en tant que personne qui y prête une attention toute particulière depuis le début, que la confusion, la complexité et la tromperie de beaucoup dans les médias et au sein de notre propre gouvernement n’offrent aux citoyens de notre grande république aucun sentiment de confiance.
Analyse des faits :
Que se passe-t-il donc si les résultats de l’audit (ou des audits) montrent une fraude électorale en 2020, et que Trump a gagné ? Quels sont les résultats potentiels ?
J’ai l’impression qu’il y a trois issues, ainsi qu’un ensemble de possibilités aléatoires. Le premier résultat est que Biden et Harris démissionnent – je considère que la probabilité de ce résultat est nulle, et les lecteurs peuvent se faire leur propre opinion sur les raisons de mon opinion.
Le deuxième résultat est que les États présentent les votes électoraux recomptés à la SCOTUS (nos illustres juges de la Cour suprême des États-Unis). Que se passe-t-il alors ?
Il existe quatre scénarios. Dans le premier scénario, la SCOTUS déclare l’élection de 2020 invalide et suggère que le Congrès se réunisse à nouveau et recompte les votes électoraux – Biden et Harris sont alors remplacés. Dans le deuxième scénario, la SCOTUS déclare l’élection de 2020 invalide mais dit que le président et la vice-présidente restent en fonction avec des pouvoirs limités à spécifier (par exemple, pas de décrets, pas de droit de veto, seulement des rôles superficiels, les décrets passés sont déclarés invalides et tous sont annulés, et la vice-présidente n’est pas la successeuse du président). Dans le troisième scénario, la SCOTUS déclare l’élection de 2020 invalide mais l’administration Biden reste en place (aucune perte de pouvoirs ou d’autorités). Dans le quatrième scénario, la SCOTUS ignore complètement la demande des États et ne fait rien.
Si le quatrième scénario se déroule et que la SCOTUS esquive ses responsabilités en matière d’examen de la constitutionnalité de nos systèmes et processus électoraux, le troisième scénario s’applique. Une décision de l’issue trois voit la responsabilité atterrir au niveau des « droits des États » trouvés dans la Constitution des États-Unis.
Si cela se produit, les États disposent d’une série d’options. Ils peuvent réattribuer leurs votes électoraux sur la base des nouveaux résultats de l’audit et remplacer ceux qui, au sein de leurs États respectifs, ont été illégitimement élus en 2020, y compris les gouverneurs, les législateurs d’État et autres responsables d’État, ainsi que remplacer les membres du Congrès au niveau fédéral (membres de la Chambre des représentants et du Sénat des États-Unis). Et une convention des États peut être immédiatement organisée pour décider de la présidence et de la vice-présidence.
Si la décision est de remplacer ces deux postes supérieurs, ce serait sans précédent dans l’histoire des États-Unis.
En fin de compte, nous n’avons jamais été dans cette situation auparavant et, oui, il reste de nombreuses questions constitutionnelles floues en jeu. Si de nouveaux audits indiquent des résultats électoraux frauduleux dans d’autres États, nous, les citoyens, par l’intermédiaire des législateurs de nos États, avons des obligations sombres et sérieuses à considérer, si ce n’est pour nous, du moins pour les générations futures de citoyens américains.
Quels que soient les résultats, le peuple des États-Unis a des décisions internes très sérieuses à prendre. Choisissons-nous une oligarchie monopolistique contrôlée par l’État, où la minorité contrôle la majorité, ou choisissons-nous de rester un système de libre entreprise compétitif sous une forme de gouvernement républicain, où la majorité contrôle la minorité ?
Je vous laisse avec ceci car je crois que les lecteurs savent quelle est ma position concernant l’avenir de notre république. Cependant, je crois aussi fermement que les États-Unis d’Amérique ont perdu de vue leur créateur, et que nous sommes maintenant confrontés à la plus vraie de toutes les épreuves.
Je sens que nous n’avons plus de gouvernement juste qui gouverne dans la crainte de Dieu. En fait, Dieu a été arraché de l’utérus qu’est la mère Amérique. Au cours des dernières décennies, l’Amérique a jeté la loi de Dieu par la fenêtre. Il y a eu un effort systématique et intentionnel de la part de l’État, du monde universitaire et d’un groupe restreint de riches oligarques pour mettre de côté la loi de Dieu afin qu’elle ne soit pas la règle de droit en Amérique.
Si cela est vrai et que la piété reflétée par de nombreuses personnes dans nos rangs de dirigeants religieux maintient les congrégations endormies sur leurs bancs, nous perdrons notre pays tel que nous le connaissons, pour toujours. Comme l’a déclaré un Père Fondateur, John Adams, en 1798, notre Constitution est conçue « pour un peuple moral et religieux ».
Si l’essence de la liberté est un gouvernement limité, alors les actions positives et la participation de ses citoyens libres soutiendront à jamais notre cause pour la liberté.
Par conséquent, impliquez-vous, citoyen. Vos actions au niveau local peuvent avoir et auront un impact national. Que Dieu bénisse et protège les États-Unis d’Amérique !