Dévolution – Partie 6

Article original datant du 31/07/21

Parties


Partie 6 – Antifa et l’émeute du Capitole

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​La suite de l’histoire

Il est incroyable de voir les différentes façons dont les gens de tous les bords de l’échiquier politique ont réagi aux événements qui se sont déroulés lors du rassemblement « Save America » (« Sauvez l’Amérique« ) du 6 janvier 2021. Les médias, les démocrates, les RINOs (Républicains de nom seulement, NdT) et Big tech veulent nous faire croire que Trump essayait d’amener ses partisans à renverser le gouvernement. Il y a même des partisans de Trump qui le rendent responsable de ce qui s’est passé, sans aller jusqu’à dire que c’était sa tentative de coup d’État.

Et puis il y a le reste d’entre nous.

Nous savons que Trump pense toujours 10 coups en avant. Nous savons qu’il ne fait rien sans avoir d’abord pensé à toutes les issues possibles. Il ne pose pas une question dont il ne connaît pas déjà la réponse. Trump vendait ce rassemblement comme celui qui allait « sauver l’Amérique » des élections volées. Il y aurait un million de patriotes MAGA présents. Les Antifa avaient infiltré les événements tout l’été. Il était si évident qu’ils le feraient à nouveau lors de ce rassemblement. « A quoi pensait Trump ? » Il doit y avoir plus que ça dans cette histoire !

L’un des thèmes de cette série Dévolution a été « Nous devons penser plus grand ». Si nous prenons du recul et regardons tout dans son contexte, je crois que nous pouvons arriver à une conclusion alternative qui montre qu’en effet l’histoire ne s’arrête pas là.

​Qu’est-ce qu’Antifa ?

Le terme Antifa est une combinaison des mots « anti-fasciste ». Robert Stilson, du Capital Research Center (Centre de recherche de la capitale), a réalisé une excellente série d’articles pour tenter d’expliquer qui est exactement Antifa. Voici les liens et une capture d’écran ci-dessous de sa définition d’Antifa :

Dans son récent livre Unmasked : inside Antifa’s Radical Plan to Destroy Democracy (Démasqué : dans le plan radical d’Antifa pour détruire la démocratie), le journaliste Andy Ngo définit Antifa comme « une idéologie et un mouvement de politique radicale pan-gauchiste dont les adhérents sont principalement des communistes anarchistes militants ou des anarchistes collectivistes….. Ce qui unit ce groupe de gauchistes est son opposition au soi-disant fascisme, même si, et c’est important, ce qui est défini comme fascisme est laissé grand ouvert. » L’historien Mark Bray donne une définition largement similaire de l' »antifascisme » dans Antifa : The Anti-Fascist Handbook (Le manuel anti-fasciste). Pour lui, il s’agit « d’une politique illibérale de révolution sociale appliquée à la lutte contre l’extrême droite, et pas seulement contre les fascistes littéraux… ».

L’Antifa américain contemporain est probablement mieux considéré comme un mouvement ou une idéologie, plutôt que comme une organisation. Cela pose un problème de description et de définition dès le départ, car beaucoup peuvent s’identifier aux croyances et aux pratiques d’Antifa sans être nécessairement affiliés à un groupe Antifa. Bray a déclaré : « La gauche radicale est beaucoup plus grande qu’Antifa, beaucoup, beaucoup plus grande ». Qui peut donc être considéré comme faisant partie d’Antifa ? Il est impossible de chiffrer précisément le nombre de membres d’Antifa, et décrire tout manifestant ou émeutier d’extrême gauche comme « Antifa » élargirait ce terme au-delà du point où il aurait une signification utile.

Il existe cependant des organisations Antifa, et elles représentent l’endroit le plus logique où concentrer toute enquête. Ces groupes s’identifient souvent explicitement comme Antifa, mais des observateurs les ont également décrits comme tels, en notant les caractéristiques évidentes qui les définissent. Les groupes Antifa opèrent généralement au niveau local. Par exemple, Rose City Antifa – le groupe Antifa le plus ancien et sans doute le plus important des États-Unis – est actif à Portland, dans l’Oregon (Rose City est un quartier de la ville de Portland, NdT), tandis que les Antifascistes d’Atlanta opère dans la même région métropolitaine. Pour autant que l’on sache, ces groupes ne sont pas organisés de manière hiérarchique, et il n’y a pas de « leader » individuel d’Antifa.

Ce point est important. Même notre propre directeur du FBI, Chris Wray, a déclaré qu’Antifa est une idéologie, pas une organisation. Gardez cela à l’esprit pendant que nous continuons.

Les Antifa opèrent aux États-Unis depuis les années 1980, mais ils sont restés relativement discrets. C’était jusqu’en 2017, lorsque la première manifestation violente notable a eu lieu lors du rassemblement « Unite the Right » (« Unissons la droite« ) à Charlottesville.

Tout cela avait pour toile de fond la première année de la présidence de Donald Trump – une présidence qui était la personnification politique d’une grande partie de ce que la gauche méprisait. Reflétant l’importance de Trump (et de ses partisans) pour Antifa, Bray a écrit en 2017 : « Notre objectif devrait être que, dans vingt ans, ceux qui ont voté pour Trump soient trop mal à l’aise pour partager ce fait en public. » Un membre de Rose City Antifa a déclaré à Buzzfeed News : « Avant Trump, être antifa était plutôt un hobby bizarre que les gens avaient. »

« Notre objectif devrait être que dans 20 ans, ceux qui ont voté pour Trump soient trop mal à l’aise pour partager ce fait en public. » Cette citation est assez terrifiante mais c’est exactement la façon dont Antifa et les démocrates considèrent toute personne qui soutient Trump. Ils veulent nous faire taire. Antifa, ainsi que certains des groupes radicaux de BLM, sont devenus le bras militant de la gauche libérale.

Comme nous le savons tous, l’année 2020 a été marquée par une vague de violence sans précédent. Celle-ci découlait du récit médiatique du racisme et de la brutalité policière dans notre pays. Antifa a utilisé le mouvement Black Lives Matter comme tremplin pour ses émeutes et son anarchie. « Arrêtez de financer la police » est rapidement devenu le cri de ralliement de BLM et les émeutes qui ont suivi pourraient être décrites comme une guerre entre BLM/Antifa et la loi et l’ordre.

Les démocrates et leurs laquais médiatiques ont passé tout l’été à prétendre que les manifestations étaient « majoritairement pacifiques » et ont utilisé ce récit pour attaquer Trump. Les démocrates ont refusé de condamner Antifa. Ben Shapiro l’a bien dit :

M. Biden ne peut tout simplement pas condamner antifa ou BLM par leur nom, car cela reviendrait à reconnaître deux vérités simples : premièrement, que M. Trump n’est pas la principale source de violence dans les villes américaines ; deuxièmement, que malgré son message de  » retour à la normale « , le récit du  » racisme systémique  » de M. Biden fournit le fondement idéologique de ceux qui cherchent à démolir le système. Les démocrates ont passé des mois à nier la violence, à traiter M. Trump de fasciste pour avoir proposé une aide fédérale et à décrier le système américain. Les fruits sont exposés aux yeux de tous. Et donc, M. Biden doit bluffer, et les médias doivent le couvrir.

Tout ce qui s’est passé en 2020 concernait l’élection. C’est tout ce dont les démocrates et les médias se souciaient. Ils voulaient à tout prix que Trump soit démis de ses fonctions. Ils ont utilisé le Covid comme prétexte pour non seulement retirer autant de nos libertés que possible, mais aussi pour instituer des mécanismes de vote illégaux afin de voler l’élection. Ce n’était pas suffisant. Trump était encore massivement populaire, alors ils ont sorti leur bonne vieille « stratégie ».

Le racisme.

Ils voulaient faire passer Trump et ses partisans pour des suprémacistes blancs qui ont causé tout ce racisme dans notre pays. Ils avaient besoin d’une guerre raciale à nous reprocher. Ils ont utilisé Antifa pour alimenter les flammes et les gouverneurs démocrates n’ont rien fait pour arrêter la folie, traitant Trump de tyran pour avoir même pensé à interférer avec les troupes fédérales ou l’armée. Ils voulaient provoquer le chaos pour donner une mauvaise image de Trump. Antifa était clairement organisé. Ils prenaient l’avion dans tout le pays pour participer à différentes manifestations. Ils ont toujours été libérés sous caution et laissés en liberté par des avocats et des juges de gauche. Ce n’était pas simplement une idée. C’était du terrorisme.

La loi et l’ordre

Je vais maintenant me concentrer sur certaines des choses intéressantes qui se sont produites en coulisses et sur la façon dont tout cela est lié au 6 janvier et à la Dévolution. Voici la chronologie des événements qui ont suivi la mort de George Floyd.

Le président Donald Trump tient une Bible lors de sa visite à l’extérieur de l’église St. John’s, en face du parc Lafayette de la Maison Blanche, lundi 1er juin 2020, à Washington. Le parc de l’église a été incendié lors des manifestations de dimanche soir.

Peu avant 22 heures, le lundi 1er juin, quelques heures après que la police fédérale a utilisé des gaz lacrymogènes et des matraques pour évacuer les manifestants de l’avant de la Maison Blanche pour la séance photo du président Donald Trump brandissant la Bible, un jet Cessna Citation a décollé de l’aéroport régional de Manassas en Virginie. Jusqu’à environ 1 h 30 du matin, il a volé dans un cercle de 7 miles autour du centre de Washington, DC, surveillant les manifestations, selon les enregistrements de suivi de vol.

Il s’agit d’un avion-espion unique en son genre, exploité par le FBI, équipé de caméras sophistiquées permettant une surveillance vidéo permanente à longue portée, de jour comme de nuit. Il a répété son tour de la ville tard dans la nuit alors que les manifestations se poursuivaient les deux nuits suivantes, et a effectué un vol plus court le 6 juin.

Le jet Cessna du FBI n’était pas le seul avion espion sophistiqué du gouvernement à survoler Washington début juin. Les 3 et 4 juin, un avion de surveillance RC-26 exploité par la Garde Nationale aérienne a volé en cercles plus serrés à des altitudes inférieures à 7000 pieds. Ces avions, comme celui du FBI, sont couramment utilisés dans les opérations de lutte contre le trafic de drogue.

La Garde Nationale aérienne a déclaré au magazine Air Force que ces vols répondaient « à une demande de la Garde nationale du district de Columbia de fournir une connaissance de la situation aérienne des principales lignes de communication et des infrastructures essentielles du district ».

* Il est important de noter que le président, puis le DOD (Department Of Defense), puis le secrétaire de l’armée sont en charge de la Garde Nationale du district de Columbia :

La National Guard du district de Columbia a été créée en 1802 par le Président Thomas Jefferson pour défendre le District de Columbia nouvellement créé. En tant que tel, le Commandant général de la Garde Nationale du D.C. est subordonné uniquement au Président des États-Unis. Le pouvoir d’activer la garde nationale du D.C. a été délégué par le président au secrétaire à la défense, puis au secrétaire à l’armée. La Garde Nationale de Washington est la seule unité de la Garde Nationale, parmi les 54 États et territoires, qui ne rend compte qu’au président.

Nous avons la preuve qu’Antifa et d’autres groupes extrémistes similaires, ainsi que des acteurs de différentes convictions politiques, ont été impliqués dans l’instigation et la participation à l’activité violente, et nous voyons également des acteurs étrangers jouer de tous les côtés pour exacerber la violence. Le ministère de la Justice s’efforce de rétablir l’ordre dans le district de Columbia et dans tout le pays.

Si certains des défis à l’État de droit auxquels nous avons assisté ces dernières semaines sont éphémères, d’autres sont persistants. Nous avons la preuve que les extrémistes violents antigouvernementaux – y compris ceux qui soutiennent le « Boogaloo », ceux qui s’identifient comme Antifa et d’autres – représentent une menace permanente d’anarchie. Certains de ces extrémistes violents, en outre, peuvent être fortifiés par des entités étrangères qui cherchent à semer le chaos et le désordre dans notre pays. Le ministère de la Justice répondra à ces groupes violents de la même manière que nous répondons à d’autres réseaux criminels organisés ou terroristes – en perturbant leurs activités violentes et en démantelant finalement leur capacité à menacer l’État de droit.

L’objectif ultime du groupe de travail sera non seulement de permettre les poursuites contre les extrémistes qui se livrent à la violence, mais aussi de comprendre ces groupes suffisamment bien pour pouvoir arrêter cette violence avant qu’elle ne se produise et, en fin de compte, l’éliminer en tant que menace pour la sécurité publique et l’État de droit.

D’après la chronologie ci-dessus, nous savons qu’une surveillance était exercée lors de ces manifestations. Nous savons qu’un groupe de travail a été créé pour gérer les groupes extrémistes. Nous savons également que Trump voulait qu’Antifa soit classé comme une organisation terroriste, ce qui ne doit pas être pris à la légère. Il est important de comprendre ce que cela signifierait.

​Le Centre national de lutte contre le terrorisme (NCTC)

Le Centre national de lutte contre le terrorisme (NCTC) est la principale organisation du gouvernement américain chargée d’analyser et d’intégrer toutes les informations sur le terrorisme et le contre-terrorisme détenues ou acquises par les agences gouvernementales américaines. En vertu de l’article 3056 du 50 U.S.C. (l’article 50 du code des Etats-Unis détermine le rôle de la guerre et de la défense nationale, NdT), le NCTC dispose d’une autorité et d’une responsabilité étendues au sein du gouvernement américain pour « l’analyse du terrorisme et des organisations terroristes (à l’exception du terrorisme purement national et des organisations terroristes nationales) à partir de toutes les sources de renseignement, qu’elles soient collectées à l’intérieur ou à l’extérieur des États-Unis », y compris pour « fournir des plans opérationnels stratégiques pour le renseignement et les opérations civiles et militaires de contre-terrorisme au-delà des frontières des agences, à l’intérieur et à l’extérieur des États-Unis« . Le NCTC produit un large éventail d’informations analytiques et de renseignements sur les menaces à l’intention de la…

L’élément clé est que le NCTC ne dispose pas d’une « autorité et d’une responsabilité étendues » en ce qui concerne le « terrorisme purement national et les organisations terroristes nationales ». Cela relève strictement de la compétence du FBI (qui reçoit l’aide du DHS/Departement de la Sécurité Intérieure et d’autres agences). En revanche, dès qu’il s’agit d’un aspect étranger ou international, le NCTC s’impose et prend la direction des opérations.

Beaucoup de gens disent que le Posse Comitatus Act (PCA) de 1878 restreint l’utilisation de l’armée dans les affaires intérieures et j’en parlerai en détail dans un prochain article, mais il y a des exceptions au PCA. En particulier, lorsqu’il s’agit de terrorisme, le Congrès a donné au président la liberté de faire ce qu’il doit faire. Voici un extrait de l’Antiterrorism and Effective Death Penalty Act de 1996 (il suffit de lire les parties surlignées).

Fournir un soutien matériel aux terroristes

(a) Délit. – Quiconque, sur le territoire des États-Unis, fournit un appui matériel ou des ressources ou en dissimule ou déguise la nature, sachant ou ayant l’intention de les utiliser pour préparer ou exécuter,
[…]
(b) Définition. – Dans la présente section, l’expression « appui ou ressources matériels » désigne les devises ou autres titres financiers, les services financiers, l’hébergement, la formation, les refuges, les faux documents ou les fausses pièces d’identité, les équipements de communication, les installations, les armes, les substances létales, les explosifs, le personnel, le transport et les autres biens matériels, à l’exception des médicaments et du matériel religieux. ».

SEC. 324. Constatations.
Le congrès constate que –
[…]
(4) le Président doit utiliser tous les moyens nécessaires, y compris l’action secrète et la force militaire, pour perturber, démanteler et détruire les infrastructures internationales utilisées par les terroristes internationaux, y compris les installations d’entraînement des terroristes à l’étranger et les refuges ;
[…]

J’ai écrit le mot Terrorisme sur toutes ces sections parce que c’est ce à quoi elles se réfèrent et je ne voulais pas vous faire perdre votre temps en vous montrant chacune d’entre elles.

Résumons donc quelques points pour que nous soyons sur la même longueur d’onde.

  • Pour que l’armée soit impliquée dans la gestion du terrorisme, il faut qu’il y ait un aspect « étranger » ou « international » dans le ou les groupes qui commettent le terrorisme.
  • M. Trump a déclaré que les États-Unis allaient désigner Antifa comme une « organisation terroriste ».
  • Le Procureur général Barr a déclaré qu’il y avait « également des acteurs étrangers ».
  • De multiples agences (dont la Garde Nationale du district de Columbia) utilisaient de multiples formes de surveillance pour suivre les manifestations. Participation de la Garde Nationale du DC = Département de la défense et de l’armée.

Lorsque vous additionnez tout cela, cela me dit qu’ils traitaient Antifa comme une organisation terroriste étrangère ou internationale et utilisaient toutes les ressources disponibles pour suivre et surveiller les membres sur le terrain, y compris l’armée. Qui serait chargé de superviser une enquête sur Antifa en tant qu’organisation terroriste étrangère ou internationale ?

​Le directeur du Centre National de Lutte contre le Terrorisme (NCTC).

Faisons revenir un visage familier, d’accord ?

La Maison-Blanche a déclaré aujourd’hui que le président Trump a l’intention de nommer le secrétaire adjoint à la Défense pour les opérations spéciales et la lutte contre le terrorisme, Christopher Miller, au poste de directeur du Centre National de Lutte contre le Terrorisme, au sein du bureau du directeur du Renseignement National.

Donald Trump a nommé Christopher Miller le 18 mars 2020 et il a prêté serment en tant que directeur du NCTC le 10 août.

(Attention, voici les acronymes qui prêtent à confusion)

Faites attention à la chronologie. Avant cette nomination, il était Secrétaire Adjoint à la Défense pour les Opérations Spéciales et la Lutte contre le Terrorisme (DASD (SO/CT)) (Deputy Assistant Secretary of Defense for Special Operations and Combating Terrorism). Il a occupé ce poste du 6 janvier 2020 au 7 août et rendait directement compte au Secrétaire Adjoint à la Défense chargé des Opérations Spéciales et des Conflits de Faible Intensité (ASD (SO/LIC)) (Assistant Secretary of Defense for Special operations and Low-intensity Conflict).

L’ASD(SO/LIC) est soutenu dans son travail par trois Secrétaires adjoints à la Défense :
DASD, Opérations spéciales et lutte contre le terrorisme
– DASD, Stratégie de partenariat et opérations de stabilité
– DASD, Lutte contre les stupéfiants et les menaces mondiales

Reportez-vous à la partie 3 de cette série. Je vous ai dit que Chris Miller a également « exercé les fonctions de » ASD (SO/LIC) du 19 juin 2020 au 7 août 2020, donc pendant cette période, il a été à la fois ASD (SO/LIC) et DASD (SO/CT). Voici un rappel de ce qu’il a fait dans ces postes :

Dans son rôle actuel, Miller est responsable de la supervision de l’emploi des forces d’opérations spéciales dans le contre-terrorisme, les Opérations de Soutien de l’Information Militaire (MISO), les opérations d’information, la guerre non conventionnelle, la guerre irrégulière, l’action directe, la reconnaissance spéciale, la défense intérieure étrangère, la lutte contre la prolifération, les opérations spéciales sensibles, et la récupération du personnel/les questions d’otages, comme spécifié par le Secrétaire à la Défense. Miller a été assermenté en tant que DASD pour les SOCT (Opérations spéciales et lutte contre le terrorisme) le 6 janvier 2020.

Ainsi, avant de devenir le directeur du NCTC, Miller supervisait activement l’emploi des forces spéciales dans le contre-terrorisme (y compris la reconnaissance spéciale). Sachant qu’Antifa était considéré comme une organisation terroriste étrangère ou internationale, Miller aurait été directement impliqué dans les opérations de surveillance et toute autre opération connexe. Le même gars qui est au centre de la Dévolution, est au centre de l’enquête sur Antifa.

Écoutez ce clip de 4 minutes tiré d’une interview publiée le 8 octobre 2020. Le clip commence à 29:51. Regardez jusqu’à la marque 33:33.

Voici quelques-unes des principales conclusions : « Notre mandat [NCTC], le FBI a un caractère national, nous apportons notre soutien sur demande. Ce sur quoi nous nous concentrons, ce sont les liens. Nous constatons une certaine connectivité. Ce que nous n’avons pas encore vu, ce sont des organisations terroristes étrangères organisées qui soutiennent ou dirigent des groupes nationaux. Quand les renseignements le confirmeront, ils seront désignés… La pire chose que ces groupes puissent faire est d’avoir un bureau sur Rhode Island Avenue, une boîte postale et un compte bancaire. Ils ont modifié leur structure organisationnelle et leur façon de faire, mais c’est la chose essentielle que nous surveillons. »

Maintenant je pense que nous sommes prêts à passer en revue mon point principal.

​6 janvier 2021

« Je sais que tout le monde ici va bientôt se rendre au Capitole pour faire entendre sa voix de manière pacifique et patriotique. » Ce sont les mots que les médias de masse ont activement cachés au public, mais si vous avez écouté son discours, ce sont les mots prononcés par le président Trump. Je crois que ses partisans ont écouté. Les émeutes du Capitole ont été l’un des plus grands coups d’échecs utilisés par les ennemis de Trump.

N’oubliez pas qu’ils ont réussi à voler l’élection et qu’ils ont été capables de dévier, de détourner cognitivement (lire cet article à ce sujet) et de faire tourner le récit jusqu’au 6 janvier. Tout ce dont ils avaient besoin, c’était de le cimenter par le vote du collège électoral. Le seul problème était qu’il existe des moyens légaux de contester le vote. Les républicains ont dit à l’avance qu’ils le feraient. Heureusement pour Biden et ses amis, la « Capitale a été violée » et « Trump et ses partisans essaient de renverser le gouvernement ».

Lorsque la poussière est retombée, personne n’a plus parlé des contestations du vote. Ils se sont empressés de « voter » pour Biden et nous en sommes là. Pensez à quelques-unes des choses qui se sont produites à la suite de cette journée.

  • Le « vote du collège électoral » est passé sans contestation.
  • Les médias sociaux et les grandes entreprises technologiques l’ont utilisé comme prétexte pour censurer Trump et ses partisans.
  • Ils l’ont utilisé pour justifier une deuxième mise en accusation (« Impeachment » de Trump), même s’il avait « quitté » le pouvoir.
  • Ils s’en sont servis pour poursuivre et emprisonner des partisans de Trump simplement parce qu’ils se trouvaient au Capitole, dont la grande majorité n’a rien fait de malfaisant.
  • Ils l’utilisent pour cibler les partisans de Trump qui n’étaient pas au Capitole.
  • Ils s’en sont servis pour lancer cette commission bidon sur le 6 janvier.
  • Ils continuent à utiliser le récit de  » l’insurrection  » pour tenter d’aller invalider les audits.

La façon dont le 6 janvier s’est déroulé a été beaucoup plus bénéfique aux ennemis de Trump qu’à ce dernier, et il était tellement évident que quelque chose comme ça allait se produire. Antifa est connu pour infiltrer ce type d’événements et pourtant Trump leur a donné une opportunité massive de le faire. A quoi pensait-il ?

Comme toujours, il avait une longueur d’avance.

Trump les a piégés.

Tout d’abord, regardons la chronologie des événements.

Trump devait parler à 11 h 00 HNE (Heure de l’Est). Ils ont affiché son heure de début de discours à 11h00 partout. Je me souviens personnellement avoir regardé le discours et avoir attendu qu’il commence. Cela m’a semblé une éternité tant j’étais excité. Je pensais que c’était le discours dans lequel il allait faire sa « révélation » sur le fait qu’il ne permettrait pas que l’élection soit volée. Au lieu de cela, il a eu une heure de retard et a commencé vers midi. Ce n’était pas la « révélation » que nous espérions.

Le discours a duré 1 heure et 12 minutes et s’est terminé à 13 h 12 HNE. Les législateurs se sont rassemblés pour leur session conjointe au Capitole à partir de 13h00 HNE. Le discours a eu lieu à l’Ellipse, à plus d’un kilomètre et demi du Capitole. Les barricades du Capitole ont été franchies à 13 h 05 HNE.

Le calcul ne tient pas la route.

Je pense que Trump a fait exprès d’être en retard pour parler parce qu’il avait des informations sur ce qu’Antifa avait prévu. La meilleure preuve que je puisse vous fournir à ce sujet se présente sous la forme d’un mémo qui est passé presque complètement inaperçu. Voici quelques unes des principales captures d’écran :

En particulier, des rapports fiables suggèrent que le mouvement connu sous le nom d’Antifa est directement ou indirectement responsable de certaines des récentes anarchies dans nos communautés, et a exploité les tragédies pour faire avancer un programme radical, gauchiste, anarchiste et souvent violent. En fait, l’Antifa a longtemps utilisé des manifestations autorisées pour s’engager dans des comportements criminels et anarchiques afin de promouvoir son programme radical.

Le ministère de la Justice a déjà confirmé publiquement que les actions d’Antifa et de groupes similaires répondent aux critères du terrorisme national.

La violence encouragée par l’Antifa – comme le lancement de projectiles et d’engins incendiaires sur la police, l’incendie de véhicules et la confrontation violente avec la police au mépris des couvre-feux locaux – est dangereuse pour la vie humaine et pour le tissu de notre nation. Ces actes violents portent atteinte aux droits des manifestants pacifiques et détruisent la vie, la liberté et les biens des citoyens de cette nation, en particulier les plus vulnérables.

Notez la date :

MÉMORANDUMS PRÉSIDENTIELS

Mémorandum sur l’irrecevabilité des personnes affiliées à Antifa sur la base d’une activité criminelle organisée

Loi et Justice – émis le : 5 janvier 2021

C’est presque comme si Trump nous disait exactement ce qu’Antifa était sur le point de faire ; « Antifa a longtemps utilisé des manifestations autrement permises pour s’engager dans un comportement anarchique et criminel afin de promouvoir son programme radical ». « Ces actes violents portent atteinte aux droits des manifestants pacifiques… ».

Ainsi, ce mémo, qui a été publié la veille des émeutes du Capitole, donnait l’instruction suivante : « Le secrétaire d’État doit, en consultation avec le procureur général et le secrétaire à la sécurité intérieure, examiner les informations reçues du ministère de la Justice et d’autres autorités pour évaluer s’il convient de classer Antifa comme une organisation terroriste en vertu de la section 1182(a)(3)(B)(vi) de l’article 8 du Code des États-Unis. »

Le moment choisi est plus qu’une coïncidence. Pourquoi ce mémorandum a-t-il été publié le 5 janvier ? Qu’est-ce qui a changé ? Comme l’a dit Patrick Gunnels (Lien telegram de Gunnel) « Trump voulait que ce soit le plus grand rassemblement de tous les temps. Il voulait s’assurer qu’Antifa l’infiltrerait. Il savait qu’ils tenteraient un événement sous faux drapeau et il les a incités à le faire ». Nos militaires surveillaient et contrôlaient Antifa depuis les émeutes de l’été. Les événements du 6 janvier ont été « autorisés à se produire ». Chris Miller a même déclaré dans une interview que « l’histoire complète n’a pas été racontée ».

C’est également plus qu’une coïncidence que le secrétaire à la défense Miller soit si fortement impliqué ici. Tout l’été, il était en charge des unités d’opérations spéciales spécifiquement liées aux opérations spéciales, au contre-terrorisme et aux conflits de basse intensité. Les unités exactes de nos forces spéciales qui seraient impliquées dans la découverte du réseau d’Antifa. Je vous ai montré dans la Partie 3 de « Dévolution » qu’il était l’homme sous lequel la Dévolution était possible. Rappelez-vous ce que j’ai dit, nous sommes en guerre ! Les militaires doivent être impliqués d’une manière ou d’une autre et le 6 janvier, Trump a délégué à l’homme en charge de nos militaires l’autorité de décider quand appeler la Garde de Washington D.C. .

Les responsables ont déclaré publiquement depuis le 6 janvier que Donald Trump, alors président, avait donné à M. Miller les pleins pouvoirs pour activer la garde avant le rassemblement « Stop the Steal » (« Arrêtez le vol ») prévu, lui évitant ainsi de devoir consulter le président ce jour-là.

Tout est lié !

​Conclusion

Qui a planifié la participation d’Antifa le 6 janvier ? Qui, au sein du parti démocrate, savait que cela allait se produire ? Qui a payé pour cela ? Pourquoi n’ont-ils pas publié toutes les vidéos de ce jour-là ? Y a-t-il des liens entre Antifa et ceux qui ont volé notre élection ?

Il n’est pas exagéré de dire que ceux qui ont volé l’élection ont également planifié l' »insurrection » comme le dernier geste pour s’assurer que Trump ne pourrait pas interférer avec l’ascension de Biden à la « présidence ». Lorsque l’histoire complète sortira, et si ma théorie est vraie, les conséquences seront profondes.

Si Antifa a été surveillé depuis l’été, leur réseau sera en grande partie cartographié. Cela comprendrait toute personne de notre gouvernement et toute personne à l’étranger qui pourrait être impliquée. Tous les problèmes qu’ils causent après la « révélation » de Trump seront traités rapidement et Trump a toute autorité pour les traiter comme il le souhaite. Antifa n’aura pas une aussi longue laisse qu’en 2020.

Pensez-y en termes d’échecs, il y a des coups et des parades. Dans le jeu d’échecs, un sacrifice est « l’abandon d’une de vos pièces d’échecs dans le but d’obtenir un avantage tactique ou positionnel ». C’est ce que le 6 janvier a été pour Trump. Il voulait que le vote du collège électoral ait lieu parce que (selon ma théorie) il avait suspendu le vote, de sorte que le décompte réel des voix n’avait pas d’importance de toute façon. Les choses devaient avancer pour que nous puissions arriver là où nous sommes aujourd’hui.

Les démocrates ont manifestement pensé que les contestations des votes électoraux seraient un problème, ils ont donc fait leur coup pour les arrêter. Trump l’a vu venir, et comme d’habitude, il était préparé. Au lieu d’adopter une attitude défensive, il les a laissés aller trop loin une fois de plus, se rendant ainsi vulnérables. Les actions qui ont eu lieu le 6 janvier étaient un piège et tout se met en place pour Trump. Même s’il semble qu’ils aient pris la reine de Trump, il a maintenant tout ce dont il a besoin pour l’échec et mat.

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Que Dieu vous bénisse tous !


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