La fausse lanceuse d’alerte Frances Haugen faisait partie de l’équipe anti-Trump qui a banni le contenu du portable d’Hunter Biden

Article original datant du 07/10/21

Hunter Biden (à gauche) ; Frances Haugen (à droite)

C’était un coup monté

Mardi, la « dénonciatrice » de Facebook et lanceuse d’alerte démocrate Frances Haugen s’est présentée devant une sous-commission du Sénat, deux jours après son passage dans l’émission 60 Minutes, pour demander que les technologies contrôlent davantage la liberté d’expression comme elles l’entendent.

Facebook, Google-YouTube et Twitter éliminent les voix conservatrices sur leur plateforme depuis des années. Même le président Trump a été banni de Facebook après les fausses nouvelles selon lesquelles il aurait organisé une « insurrection » au Capitole le 6 janvier.

Selon FOX News, Haugen a fait 37 dons et donné près de 2 000 dollars aux démocrates et aux Comités d’action politique connexes depuis 2016 alors qu’elle était employé chez Facebook, Pinterest et Gigster, selon les dossiers de la Commission électorale fédérale.

Et maintenant ceci…

Frances Haugen faisait partie de l’équipe Facebook anti-Trump qui a banni les contenus issus de l’ordinateur portable de Hunter Biden de leurs plateformes à l’approche de l’élection de 2020.

Frances Haugen est une imposteur.

C’est ce que rapporte Breitbart.com :

La « lanceuse d’alerte » d’extrême gauche de Facebook Frances Haugen, qui a conseillé aux législateurs de faire passer des lois qui donneraient du pouvoir aux médias de l’establishment au détriment des créateurs indépendants, a travaillé pour une unité de Facebook chargée de prévenir la « désinformation » autour de l’élection de 2020 – le même groupe qui aurait été impliqué dans la censure de l’histoire du portable de Hunter Biden.

Cette unité s’appelait « Civic Integrity Unit » et, comme Haugen l’a elle-même révélé, elle a été créée juste à temps pour l’élection de 2020 et s’est arrêtée dès que Biden a gagné.

Cette unité, qui avait pour mission de combattre la « désinformation » autour de l’élection, aurait presque certainement été impliquée dans la décision de supprimer l’histoire du New York Post.

De plus, Mme Haugen a déclaré au Wall Street Journal qu’elle n’avait rejoint Facebook que parce qu’elle voulait lutter contre la « désinformation ».

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