Les données du CDC et de Big Pharma confirment que plus d’enfants mourront du vaccin COVID que de la COVID

Article original datant du 21/11/2021

Le monde est devenu fou. Nous savions, lorsque les « experts » ont décidé de vacciner les enfants, qu’il y aurait plus de décès dus à la vaccination qu’au COVID. Maintenant, nous en avons la preuve grâce aux données du CDC (WIKI) et de Big Pharma (WIKI).

Nous savons depuis que les premières données ont été publiées que les enfants en bonne santé n’ont pratiquement pas été affectés par le COVID-19. Pour les personnes âgées de plus de 75 ans, c’est une autre histoire. (Voir le graphique de USA Today ci-dessous datant d’octobre).

Nouveaux décès dus COVID-19 par semaine, pour 100000 personnes

Certains chiffres, une fois corrigés en fonction de la population, sont extrêmement proches de zéro et peuvent être indiqués comme tels dans l’infobulle. Cela ne signifie pas nécessairement qu’aucune personne de cette tranche d’âge n’est décédée cette semaine-là, mais que le nombre était inférieur à un sur 10 millions. Données en date du 12 octobre. SOURCE: Centers for Disease Control and Prevention (Centres de contrôle et de prévention des maladies)

Mais maintenant, les pouvoirs en place veulent donner les vaccins contre le COVID aux enfants. Le problème est que plus d’enfants mourront du vaccin que de la COVID, et il y a des preuves.

Toby Rogers a fait le tour de cette analyse. Il partage :

Je lisais le document des CDC intitulé « Guidance for Health Economics Studies Presented to the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP), 2019 Update » (Directives pour les études d’économie de la santé présentées au Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP), mise à jour 2019.) et j’ai réalisé que la lamentable analyse risques-avantages de la FDA en lien avec la demande d’EUA (External User Acceptance – Forme d’homologation, NdT) de Pfizer pour le vaccin contre les enfants de 5 à 11 ans viole de nombreux principes du document « Guidance » des CDC. Le document d’orientation des CDC décrit 21 choses que toute étude d’économie de la santé en rapport avec les vaccins doit faire et l’analyse risques-avantages de la FDA a violé au moins la moitié d’entre elles…

…D’abord un peu de contexte. Le nombre de personnes à traiter (NNT) pour prévenir un seul cas, une seule hospitalisation, une seule admission en soins intensifs ou un seul décès, est un moyen standard de mesurer l’efficacité de tout médicament. Il s’agit d’un outil important car il permet aux décideurs d’évaluer les compromis entre un nouveau médicament, un autre médicament existant ou l’inaction. Dans la recherche sur les vaccins, le terme équivalent est le nombre de vaccins nécessaires (NNTV, parfois aussi appelé NNV) pour prévenir un seul cas, une seule hospitalisation, une seule admission en soins intensifs ou un seul décès (il existe quatre NNTV différents que l’on peut calculer).

L’industrie pharmaceutique déteste parler du NNTV et elle le déteste encore plus en ce qui concerne les vaccins COVID-19 car le NNTV est si ridiculement élevé que ce vaccin ne pourrait passer aucune analyse risque-bénéfice honnête.

Rogers poursuit en partageant quelques estimations du NNTV du COVID provenant d’experts :

Divers économistes de la santé ont calculé un NNTV pour les vaccins contre le COVID-19.

– Ronald Brown, économiste de la santé au Canada, a estimé que le NNTV pour prévenir un seul cas de coronavirus est de 88 à 142.
– D’autres ont calculé que le NNTV pour prévenir un seul cas était de 256.
– Des chercheurs allemands et néerlandais, utilisant un grand ensemble de données (500 000) provenant d’une étude sur le terrain en Israël, ont calculé un NNTV entre 200 et 700 pour prévenir un cas de COVID-19 pour l’injection d’ARNm commercialisée par Pfizer. Ils sont allés plus loin et ont calculé que le « NNTV pour prévenir un décès se situe entre 9 000 et 100 000 (intervalle de confiance de 95%), avec 16 000 comme estimation ponctuelle ».

Rogers partage ensuite un texte de Bobby Kennedy sur l’essai clinique de Pfizer.

Dans l’essai clinique de 6 mois de Pfizer sur des adultes – il y a eu 1 décès dû au Covid sur 22 000 dans le groupe vacciné (« traitement ») et 2 décès dus au Covid sur 22 000 dans le groupe placebo (voir tableau s4). Donc NNTV = 22 000. Le problème est qu’il y a eu 5 décès par crise cardiaque dans le groupe vacciné et seulement 1 dans le groupe placebo. Ainsi, pour chaque vie sauvée grâce au Covid, le vaccin Pfizer en tue 4 par crise cardiaque. La mortalité toutes causes confondues au cours de l’étude de 6 mois était de 20 dans le groupe vacciné et de 14 dans le groupe placebo. Soit une augmentation de 42% de la mortalité toutes causes confondues chez les vaccinés. Le vaccin perd pratiquement toute son efficacité après 6 mois et l’étude a donc dû être écourtée. Ils ont levé la notion d’étude en double aveugle et proposé le vaccin au groupe placebo. À ce moment-là, la ligne d’augmentation des dommages avait depuis longtemps croisé la ligne de diminution de l’efficacité.

Après avoir fait remarquer que Pfizer a modifié les paramètres de son étude lors du calcul du NNTV sur les enfants afin de dissimuler les méfaits du vaccin, M. Rogers a partagé ce qui suit :

Toutes les estimations du NNTV ci-dessus sont basées sur des données concernant des adultes. Chez les enfants, le NNTV sera encore plus élevé (plus le risque est faible, plus le NNTV pour prévenir un seul mauvais résultat est élevé). Les enfants âgés de 5 à 11 ans présentent un risque extrêmement faible de décès dû au coronavirus. Dans une méta-analyse combinant les données de 5 études, les chercheurs de Stanford Cathrine Axfors et John Ioannidis ont trouvé un taux médian de létalité de l’infection (IFR) de 0,0027 % chez les enfants âgés de 0 à 19 ans. Chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, le taux de létalité est encore plus faible. Selon l’étude à laquelle on se réfère, le COVID-19 est légèrement moins dangereux ou à peu près équivalent à la grippe chez les enfants.

M. Rogers indique ensuite le nombre de personnes qu’il faudrait vacciner pour sauver la vie d’un enfant décédé du COVID :

  • Au 30 octobre 2021, les CDC ont déclaré que 170 enfants âgés de 5 à 11 ans étaient décédés d’une maladie liée au COVID-19 depuis le début de la pandémie. (Cela représente moins de 0,1 % de tous les décès liés au coronavirus à l’échelle nationale, même si les enfants de cet âge représentent 8,7 % de la population américaine).
  • L’injection d’ARNm de Pfizer ne  » fonctionne  » que pendant environ 6 mois (elle augmente le risque au cours du premier mois, offre une protection modérée au cours des mois 2 à 4, puis l’efficacité commence à diminuer, c’est pourquoi toutes les modélisations de la FDA (Food and Drugs Administration) n’ont utilisé qu’une période de 6 mois). Toute modélisation devrait donc être basée sur l’efficacité du vaccin pour les 57 (170/3) enfants qui auraient pu mourir d’une maladie liée au COVID au cours d’une période de 6 mois.
  • Au mieux, l’injection d’ARNm de Pfizer pourrait être efficace à 80% contre les hospitalisations et les décès. Ce chiffre provient directement de la modélisation de la FDA (p. 32). Je me plie en quatre pour donner à Pfizer le bénéfice du doute considérable car, encore une fois, l’essai clinique de Pfizer n’a montré AUCUNE réduction des hospitalisations ou des décès dans ce groupe d’âge. Ainsi, l’injection de deux doses de Pfizer à l’ensemble des 28 384 878 enfants âgés de 5 à 11 ans (ce que veut faire l’administration Biden) sauverait, au plus, 45 vies (0,8 d’efficacité x 57 décès qui auraient autrement eu lieu pendant cette période = 45).
  • Ainsi, le NNTV pour prévenir un seul décès dans ce groupe d’âge est de 630 775 (28 384 878 / 45). Mais comme il s’agit d’un régime à deux doses, si l’on veut calculer le NNTV par injection, le chiffre double pour atteindre 1 261 550. C’est littéralement le pire NNTV de l’histoire de la vaccination.

Rogers fournit ensuite une estimation du nombre d’enfants ayant subi des effets secondaires mortels suite à la prise du vaccin COVID.

  • Kirsch, Rose et Crawford (2021) estiment que le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting SystemSystème de notification des événements indésirables liés aux vaccins) sous-estime les réactions mortelles par un facteur de 41, ce qui porterait le total des effets secondaires mortels dans cette tranche d’âge à 5 248 (Kirsch et ses collaborateurs représentent une estimation prudente, car d’autres ont estimé le facteur de sous-déclaration à 100).

Rogers résume la situation comme suit :

Ainsi, pour faire simple, le plan de l’administration Biden tuerait 5 248 enfants par des injections d’ARNm de Pfizer afin d’éviter à 45 enfants de mourir du coronavirus.

Pour chaque enfant sauvé par la vaccination, 117 autres enfants seraient tués par la vaccination.

L’injection d’ARNm de Pfizer échoue à toute analyse honnête des risques et des avantages pour les enfants âgés de 5 à 11 ans.

Plus encore… Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, a soutenu au début du mois que les enfants ont 50 fois plus de chances d’être tués par les vaccins COVID que par le virus lui-même ».

Yeadon était directeur scientifique et vice-président de Pfizer avant de quitter l’entreprise en 2011 après plus de 16 ans de service.

Yeadon a également déclaré à Steve Bannon au début du mois : « C’est une chose folle de vacciner (les enfants) avec quelque chose qui est en fait 50 fois plus susceptible de les tuer que le virus lui-même ».

Il n’y a aucune raison rationnelle de donner aux enfants le vaccin contre le COVID. C’est de la folie.

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