Cet article de 14 pages a été publié dans une revue médicale par un neurochirurgien à la retraite, le Dr Russell L. BLAYLOCK.
Date de publication : 22 avril 2022
L’article s’ouvre sur le paragraphe suivant, qui donne le ton :
« La pandémie de COVID-19 est l’un des événements liés aux maladies infectieuses les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flot incessant mené par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales [3,6,57]. Nous avons été témoins d’une longue liste d’intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris des attaques contre les experts médicaux, la destruction des carrières médicales parmi les médecins refusant de participer au meurtre de leurs patients et une régimentation massive des soins de santé, dirigée par des individus non qualifiés disposant d’une énorme richesse, de pouvoir et d’influence. »
L’article passe en revue différents aspects de ce que son auteur nomme lui-même la « manipulation ».
Et extrait de la conclusion :
« Tout au long de cette « pandémie », nous avons été nourris d’une série ininterrompue de mensonges, de déformations successives et de désinformation notamment par les médias, les responsables de la santé publique, les bureaucraties médicales (CDC, FDA et OMS) et les associations médicales. Les médecins, les scientifiques et les experts en traitements infectieux qui ont formé des associations destinées à développer des traitements plus efficaces et plus sûrs, ont été régulièrement diabolisés, harcelés, humiliés et ont perdu leur licence, leurs privilèges hospitaliers et, dans au moins un cas, l’ordre de subir un examen psychiatrique [2,65,71].
Anthony Fauci s’est vu confier un contrôle essentiellement absolu de toutes les formes de soins médicaux pendant cet événement, y compris en insistant pour que les médicaments dont il a profité soient utilisés par tous les médecins traitants. Il a ordonné l’utilisation des masques, bien qu’il se soit d’abord moqué de l’utilisation de masques pour filtrer un virus. Les gouverneurs, les maires et de nombreuses entreprises ont suivi ses ordres sans poser de questions.
Les mesures draconiennes utilisées, le port du masque, le confinement, les tests sur les personnes non infectées, l’utilisation du test PCR imprécis, la distanciation sociale et la recherche des cas contacts, s’étaient avérées peu ou pas utiles lors des pandémies précédentes, mais toutes les tentatives de rejeter ces méthodes sont restées vaines. Certains États ont ignoré ces ordres draconiens et ont enregistré le même nombre de cas ou moins de cas, ainsi que de décès, que les États ayant appliqué les mesures les plus strictes. Encore une fois, aucune preuve ou démonstration évidente de ce genre n’a eu d’effet sur la fin de ces mesures socialement destructrices. Même lorsque des pays entiers, tels que la Suède, qui ont évité toutes ces mesures, ont démontré des taux de contamination et d’hospitalisation égaux à ceux des nations ayant les mesures les plus strictes et les plus draconiennes, aucun changement de politique n’a été opéré par les institutions de contrôle. Aucune preuve n’a changé quoi que ce soit.
Les experts en psychologie des événements destructeurs, tels que les effondrements économiques, les catastrophes majeures et les pandémies précédentes, ont démontré que les mesures draconiennes ont un coût énorme sous la forme de « morts de désespoir » et d’une augmentation spectaculaire des troubles psychologiques graves. Les effets de ces mesures dues à la pandémie sur le développement neurologique des enfants sont catastrophiques et, dans une large mesure, irréversibles.
Au fil du temps, des dizaines de milliers de personnes pourraient mourir des suites de ces dommages. Même lorsque ces prédictions ont commencé à apparaître, les contrôleurs de cette « pandémie » ont continué à avancer à toute allure. L’augmentation drastique des suicides, l’augmentation de l’obésité, l’augmentation de la consommation de drogues et d’alcool, la détérioration de nombreuses mesures de santé et l’augmentation terrifiante des troubles psychiatriques, en particulier la dépression et l’anxiété, ont été ignorées par les responsables qui contrôlaient cet événement.
/…/ Un nombre dramatique de ces personnes sont en train de mourir, le pic ayant été atteint après l’introduction des vaccins. Les mensonges émanant de ceux qui se sont autoproclamés dictateurs médicaux sont sans fin. D’abord, on nous a dit que le confinement ne durerait que deux semaines, ils ont duré plus d’un an. Ensuite, on nous a dit que les masques étaient inefficaces et qu’il n’était pas nécessaire de les porter. Rapidement, cela a été inversé. Puis on nous a dit que le masque en tissu était très efficace, maintenant il ne l’est plus et que tout le monde devrait porter un masque FFP2 et avant cela, un double masque. On nous a dit qu’il y avait une grave pénurie de respirateurs, puis nous avons découvert qu’ils restaient inutilisés dans des entrepôts et dans les décharges des villes, toujours dans leurs caisses d’emballage. On nous a dit que les hôpitaux étaient remplis principalement de personnes non vaccinées, puis nous avons découvert que c’était exactement le contraire dans le monde entier. On nous a dit que le vaccin était efficace à 95 %, pour apprendre qu’en fait, les vaccins provoquent une érosion progressive de l’immunité innée.
Lors de la mise sur le marché des vaccins, on a dit aux femmes que les vaccins étaient sûrs à tous les stades de la grossesse, mais on a découvert qu’aucune étude n’avait été réalisée sur la sécurité pendant la grossesse lors des « tests de sécurité » précédant la mise sur le marché du vaccin. On nous a dit que des tests minutieux sur des volontaires avant l’approbation de l’EUA pour l’utilisation publique démontraient l’extrême sécurité des vaccins, pour apprendre ensuite que ces malheureux sujets n’étaient pas suivis, que les complications médicales causées par les vaccins n’étaient pas prises en charge et que les médias couvraient tout cela. [Nous avons également appris que les fabricants de vaccins avaient été informés par la FDA qu’il n’était pas nécessaire d’effectuer d’autres tests sur les animaux (le grand public serait le cobaye). De façon incroyable, on nous a dit que les nouveaux vaccins à ARNm de Pfizer avaient été approuvés par la FDA, ce qui était une tromperie flagrante, car un autre vaccin avait été approuvé (comirnaty) et non celui utilisé, le vaccin BioNTech. Le vaccin comirnaty approuvé n’était pas disponible aux États-Unis. Les médias nationaux ont dit au public que le vaccin Pfizer avait été approuvé et n’était plus classé comme expérimental, un mensonge flagrant. Ces mensonges mortels continuent. Il est temps de mettre fin à cette folie et de traduire ces personnes en justice. »