Le Brésilien Bolsonaro contre l’État profond américain

« L’administration de l’enfer » de Biden fait pression pour que le criminel Lula, qui déteste l’Amérique, participe aux élections présidentielles d’octobre.

Tout le monde le sait : Les démocrates et les mondialistes sont tous prêts à renverser le président brésilien conservateur Jair Bolsonaro (WIKI) lors de l’élection présidentielle du 3 octobre prochain. Il n’y a qu’un seul problème à leur plan : le peuple brésilien.

La fête de l’indépendance du 7 septembre l’a rendu plus clair que jamais : Bolsonaro est le président brésilien le plus aimé de tous les temps – et de loin.

Et ce n’est pas du tout une hyperbole, voyez par vous-même dans les images qui illustrent ce billet.

Si vous voulez, vous pouvez regarder certaines des vidéos presque incroyables de sa campagne :

Alexandre de Moraes

L’opposition au président se cristallise sur deux figures : le candidat de gauche Lula (WIKI) et le juge véreux de la Cour suprême Alexandre de Moraes. Ils ne bénéficient d’aucun soutien populaire, mais d’une importante couverture de l’État profond.

Moraes a passé l’essentiel de sa carrière juridique à travailler pour une société liée au plus grand cartel criminel du Brésil, le PCC (Pour « Premier Commando de la Capitale »; rien à voir avec le Parti Communiste Chinois, NdT) – qui est à son tour étroitement lié au Parti des travailleurs (PT) de Lula. Le juge a pris toutes sortes de décisions anticonstitutionnelles contre Bolsonaro et ses partisans.

Il est également, par rotation, à la tête du Tribunal suprême électoral qui supervise les élections. Vous pouvez voir à quel point cet état de fait est problématique.

L’opposition au président se cristallise sur deux figures : le candidat de gauche Lula et le juge véreux de la Cour suprême Alexandre de Moraes. Ils ne bénéficient d’aucun soutien populaire, mais d’une importante couverture de l’État profond.

Moraes a passé l’essentiel de sa carrière juridique à travailler pour une société liée au plus grand cartel criminel du Brésil, le PCC (WIKI) – qui est à son tour étroitement lié au Parti des travailleurs (PT) (WIKI) de Lula. Le juge a pris toutes sortes de décisions anticonstitutionnelles contre Bolsonaro et ses partisans.

Il est également, par rotation, à la tête du Tribunal suprême électoral qui supervise les élections. Vous pouvez voir à quel point cet état de fait est problématique.

Lula est un ivrogne de notoriété publique, mais c’est l’un de ses plus petits défauts

Quant à Lula, l’ancien président brésilien à deux mandats, il suffit de dire qu’il était en PRISON après avoir été condamné dans de multiples poursuites pour corruption. Toutes ses condamnations ont été ratifiées par des cours d’appel supérieures. Tout a été fait dans les règles de l’art et dans le respect de la loi. Il est coupable sans l’ombre d’un doute.

Mais dès que « l’administration de l’enfer » de Biden est entrée en fonction, les États profonds américain et brésilien se sont connectés et, dans une tournure absurde des événements, toutes les condamnations de Lula ont été annulées dans des technicités de maquillage.

Il est littéralement sorti de prison et s’est retrouvé en campagne électorale.

Bien sûr, même s’il ne peut pas marcher dans les rues par peur de la réaction du public, tous les faux sondeurs ont publié de faux sondages dans lesquels il est le leader absolu de la course. Ils préparent le terrain pour la fraude électorale.

L’État profond américain a exercé une pression importante sur Bolsonaro, essayant de lui lier les mains et de lui faire accepter la possibilité d’élections volées.

Le chef de la CIA a dit au gouvernement Bolsonaro de ne pas jouer avec les élections au Brésil, selon des sources.

Le directeur de la Central Intelligence Agency (CIA) américaine, William Burns, a dit à de hauts responsables brésiliens [en 2021] que le président Jair Bolsonaro devait cesser de mettre en doute le système de vote de son pays avant l’élection d’octobre ».

Blinken était un peu plus subtil, mais regardez ce qu’il a dit :

‘Le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a publié une note célébrant le bicentenaire de l’indépendance du Brésil, et soulignant l’engagement mutuel envers la démocratie.

« Ensemble, nos pays peuvent assurer la paix et la sécurité régionales, faire progresser les droits de l’homme et la justice raciale, et construire un avenir sûr, sain, durable et prospère pour les générations à venir. »

L’armée américaine s’immisce également dans les prochaines élections. M. ‘Double masque et visière’ Austin (référence à Lloyd Austin, secrétaire à la défense, NdT) a beaucoup à dire.

Au Brésil, le chef de la défense de Biden déclare que les armées doivent être sous contrôle civil

‘Le secrétaire à la défense du président américain Joe Biden, Lloyd Austin, a souligné la nécessité pour les armées d’être sous un contrôle civil ferme (…)’.

[Elles le sont effectivement, sous le contrôle civil constitutionnel du président élu et commandant en chef, Jair Bolsonaro].

« Une dissuasion crédible exige des forces militaires et de sécurité qui sont prêtes, capables et sous un contrôle civil ferme », a déclaré M. Austin dans la capitale, Brasilia, ajoutant : « Plus nous approfondissons nos démocraties, plus nous approfondissons notre sécurité. »

Bolsonaro, un ancien capitaine de l’armée, a déclaré à des diplomates au début du mois que l’armée brésilienne devrait être appelée en renfort pour aider à garantir la transparence des élections. Il a poussé les autorités électorales [c’est-à-dire le juge Moraes] à accepter un décompte parallèle des voix qui serait effectué par les forces armées.

Le Brésilien Bolsonaro refuse de sanctionner la Russie, et dit que les Ukrainiens ont « confié le destin d’une nation à un comédien ».

L' »administration de l’enfer » de Biden a éloigné Bolsonaro, amoureux de l’Amérique, mais il a fait preuve de compétences géopolitiques pointues. Qui aurait pu penser que le président farouchement anticommuniste se rapprocherait de l’ancien chef du KGB Vladimir Poutine ?

Bolsonaro œuvre pour un monde multipolaire, et ses négociations avec la Russie ont permis de contenir les prix du carburant et de l’énergie. Il ne s’agit pas d’abstractions : en fait, le mois dernier, ma facture d’électricité personnelle était 15 % moins chère que d’habitude. PAS plus chère.

Les membre de l’Etat profond du Congrès américain sont également en force pour s’assurer que Lula, qui déteste l’Amérique et qui est lié aux Cubains, aux Vénézuéliens et aux Nicaraguayens, puisse voler l’élection.

Les membres démocrates du Congrès exigent l’acceptation immédiate des résultats électoraux au Brésil.

‘Les parlementaires américains ont commencé à lancer des offensives au Sénat et à la Chambre des représentants avec des projets visant à faire pression pour la reconnaissance immédiate des résultats des élections brésiliennes, prévues pour le mois d’octobre.

L’initiative est menée par le sénateur Bernie Sanders. Dans le texte, il souhaite que l’administration de Joe Biden reconnaisse automatiquement que celui qui est reconnu comme vainqueur par la justice électorale brésilienne soit assermenté comme chef de l’exécutif.

Le sénateur Patrick Leahy : « Le sort de la démocratie brésilienne, qui est attaquée quotidiennement par le président Bolsonaro, et des relations entre les Etats-Unis et le Brésil sera décidé lors des prochaines élections. L’administration Biden doit faire savoir sans équivoque que le coût de la subversion d’une élection libre et équitable sera immédiat et sévère ».

Bernie Sanders : « Si le résultat [de l’élection] s’avère être quelque chose d’illégal, s’il y a un coup d’État militaire qui met en place un gouvernement illégal, les États-Unis doivent le dire très clairement : le Brésil n’aura pas de soutien, financier ou autre ».

Mais malgré les attaques incessantes des grands médias et la pression internationale exercée par toutes sortes de mondialistes et de gauchistes comme Macron ou Leonardo Di Caprio, l’influence de Bolsonaro auprès de la population brésilienne ne fait que croître, et elle l’appelle le « Mythe », la légende.

Sa campagne créative a organisé des dizaines de défilés MASSIFS dans tout le Brésil, composés de voitures, et surtout de motos, mais aussi de vélos, de bateaux, de tracteurs et même de chevaux. Il n’y a jamais rien eu de tel au Brésil.

Pour empêcher le vol des élections par le PT et ses juges véreux de la Cour suprême, le président dispose, en plus du soutien populaire écrasant, du contrôle de l’armée, tant au niveau constitutionnel que du fait de sa popularité auprès des troupes.

Le New York Times, qui aime tous les tyrans qu’il n’aimait pas, encourage également le criminel Lula. Il demande aux États-Unis de « faire peur » au gouvernement brésilien pour qu’il se conforme à la loi.

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Lors de l’Assemblée générale des Nations Unies, Jair Bolsonaro explique clairement pourquoi la gauche et les mondialistes le détestent :

« D’autres valeurs fondamentales pour la société brésilienne, reflétées dans le programme des droits de l’homme, sont la défense de la famille, du droit à la vie depuis la conception, à la légitime défense, et le rejet de l’idéologie du genre. »

Le président brésilien Jair Bolsonaro, le « Trump tropical », comme il est appelé affectueusement, a fait un travail formidable pour le merveilleux peuple du Brésil. Lorsque j’étais président des États-Unis, aucun autre dirigeant de pays n’a appelé aussi souvent que Jair pour demander des réductions tarifaires et fiscales, des renégociations commerciales, des politiques renforcées en matière de drogues et de frontières (pour mettre les « méchants » en prison !), une aide militaire, et plus encore. Le président Bolsonaro aime le Brésil par-dessus tout. Il C’est un homme merveilleux, et il a mon soutien complet et total !!!

Les patriotes américains encouragent naturellement Bolsonaro, à commencer par le « plus grand de tous les temps », Donald John Trump :

Le président Bolsonaro aime le Brésil plus que tout. C’est un homme merveilleux, et il a mon soutien complet et total !!! ».

Dans l’ensemble, les plans de l’État profond buteront probablement sur la volonté de l’écrasante majorité des citoyens brésiliens. Voler une élection n’est pas une science parfaite. Il n’a pas été possible d’empêcher la victoire de Bolsonaro en 2018, et il a maintenant un soutien populaire beaucoup, beaucoup plus important. Priez pour le Brésil.

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