D’abord le musée du site d’Auschwitz refuse de recevoir la Russie
« Compte tenu de l’agression contre une Ukraine libre et indépendante, les représentants de la Fédération de Russie n’ont pas été invités à participer à la célébration de l’anniversaire de la libération d’Auschwitz cette année », qui doit se dérouler vendredi, a expliqué à l’Agence France-Presse, Piotr Sawicki, porte-parole du musée.
Le jour de l’invasion de l’Ukraine, le 24 février 2022, le musée d’Auschwitz-Birkenau avait dénoncé l’agression russe. « Cet acte de barbarie sera jugé par l’histoire, et ses auteurs – il faut l’espérer – par la Cour internationale de justice », avait-il tweeté.
« J’espère que cela va changer à l’avenir, mais nous avons un long chemin à parcourir. (…) La Russie aura besoin d’un temps extrêmement long et d’une très profonde introspection après ce conflit pour revenir dans les salons du monde civilisé »
Plus loin dans le dégueulasse
« Le jour de la libération du camp hitlérien allemand de la mort Auschwitz-Birkenau, souvenons-nous que Poutine est en train de construire de nouveaux camps à l’est », a écrit Mateusz Morawiecki (premier ministre polonais, NDLR)
« Fermement et ensemble, nous devons nous opposer aux démons criminels qui commettent un génocide à l’est de l’Europe », a insisté Mateusz Morawiecki.
Le rappel historique
Bonus : une partie de l’histoire de la deuxième GM déjà effacée des mémoires
Pourquoi le Japon ne capitule que le 2 septembre ?
Au nord de la Chine, en Mandchourie, le Japon a encore une très grande armée, 1,2 million d’hommes. Cette dernière est comme une bouée de sauvetage qui permet de négocier la paix dans des conditions plus « favorables ». L’armée soviétique avec l’armée chinoise parvient à encercler les forces japonaises, faisant plus de 500 mille prisonniers et ne laissant ainsi au Japon plus aucune marge de manœuvre dans la négociation. La défaite du Japon est totale désormais.