Article original datant du 04/05/21
Les données du recensement américain publiées la semaine dernière ont remis en question le décompte officiel des votes de l’élection de 2020. Dans le cadre du recensement, le gouvernement collecte des données sur les citoyens qui déclarent avoir voté aux élections présidentielles. Les données collectées montrent une anomalie inhabituelle dans les résultats déclarés.
Selon le recensement, le nombre de personnes ayant voté en 2020 s’élève à 154 628 000. En revanche, les résultats officiels indiquent que le nombre de bulletins de vote effectivement déposés est légèrement supérieur à 158 millions. Il s’agit d’un écart de près de quatre millions de voix.
S’adressant au sondeur Richard Baris lors d’un épisode de « Inside the Numbers » (Dans les chiffres), l’avocat Robert Barnes a déclaré qu’historiquement, le recensement a tendance à « être au touche à touche » avec les chiffres des votes enregistrés avec les résultats réels. En d’autres termes, souvent les deux ensembles de données correspondent raisonnablement.
Barnes a raison. Par exemple, le bureau du recensement a été presque parfait en 2008, en déclarant légèrement que 131 100 000 personnes avaient voté, alors que les résultats officiels indiquaient 131 300 000 bulletins de vote.
Bien sûr, il arrive que le recensement présente une différence. Mais pendant des décennies, dans presque tous les cas où le recensement a grossièrement bâclé les résultats, c’était parce que le bureau enregistré un nombre supérieur de personnes ayant voté.
Prenez en considération ce qui suit : En 1992, le chiffre du recensement a dépassé les résultats officiels d’un peu plus de neuf millions. En 1996, le recensement a de nouveau dépassé le nombre d’électeurs déclarés d’environ neuf millions. De même, le bureau a enregistré 125 millions de votants lors des élections de 2004, alors que les résultats officiels indiquaient un total de 122 millions.
Le même phénomène de sur-enregistrement s’est produit en 2012, le recensement ayant estimé un nombre d’électeurs dépassant de plusieurs millions celui des résultats. En fait, même en 2016, où le résultat du recensement était assez proche, il a encore dépassé les chiffres des résultats officiels de l’élection.
Une autre élection contestée
Curieusement, la dernière fois que le recensement a grossièrement enregistré un nombre de votants inférieur remonte à l’année 2000, qui se trouve être la dernière fois que les résultats officiels des élections ont été sérieusement remis en question avant 2020.
En 2000, le recensement a enregistré un nombre de votants de près de 111 millions. Pourtant, les résultats officiels l’a porté à 129 millions.
Bien qu’il existe des explications inoffensives quant à la raison pour laquelle le recensement a enregistré un nombre gravement inférieur à celui des résultats officiels de deux des élections les plus disputées de l’histoire des États-Unis, M. Barnes est convaincu que les données du recensement constituent une preuve circonstancielle puissante de la fraude en 2020.
M. Barnes a demandé : « Pourquoi y a-t-il cinq millions de bulletins de vote de plus comptés lors de l’élection présidentielle que le nombre de votes déclarés selon les données du recensement, qui ont presque toujours été exactes ? » Il a poursuivi : « N’est-il pas étonnant que cela [la sous-déclaration du nombre de votants] corresponde presque exactement au nombre de bulletins douteux de Biden ? ».
Barnes a déclaré :
« Le fait que le recensement lui-même dit compter les votes de personnes qui prétendent ne pas avoir voté est la meilleure preuve possible qu’il y avait cinq millions de bulletins … douteux … «
M. Barnes a souligné que les données du recensement remettent également en question un certain nombre d’États contestés.
Par exemple, le bureau a enregistré environ 4,8 millions de votes, alors que les résultats officiels indiquent un peu moins de 5 millions. M. Barnes a déclaré que cet écart correspond aux allégations selon lesquelles environ 100 000 bulletins douteux ont été déposés en Géorgie.
Le sondeur Richard Baris a déclaré que de nombreux experts électoraux ont souvent considéré les données du recensement comme généralement fiables. Pourtant, pour une raison quelconque, certains experts ont maintenant changé de script, affirmant que les données de 2020 sont le résultat d’une « erreur » de recensement.
Baris a affirmé :
« Pour que tout aille bien, nous devrions accepter que toutes ces autres choses [les indicateurs de fraude]… ne sont pas seulement toutes fausses en même temps, mais en plus qu’elles sont toutes fausses pour la toute première fois dans certains cas. »
Il a déclaré qu’il ne pouvait se résoudre à accepter toutes les anomalies, y compris le nombre inférieur de votants enregistrés par le recensement, comme le simple produit d’une innocente coïncidence. « C’est tout simplement trop pour moi », a déclaré Baris.
Cliquez ici pour voir les données du recensement et regardez la vidéo ci-dessous.
