Big Tech et Fact-checkeurs, même combat ! (Collusions et collaborations) (VIDÉO)

Les dossiers Twitter

Malgré le silence médiatique, beaucoup ont déjà entendu les nouvelles concernant les Twitter Files. Il s’agit de révélations concernant une collusion entre le Parti démocrate américain, le FBI et Twitter, pour censurer toute forme d’opposition politique ou autre. Si vous ne connaissez pas le sujet, il y a tout ce qu’il faut dans cet article :

Concrètement, on y apprend que le Parti démocrate américain avait des communications directes avec certains cadres de Twitter, et ils leur demandaient régulièrement « supprimez ça », « virez celui-là », etc, et Twitter le faisait et répondait « Réglé ».

Facebook concerné aussi

Cela dit, Twitter n’est pas le seul coupable. Facebook a fait exactement la même chose. La censure des sujets gênants était similaire sur les deux plateformes. Mark Zuckerberg lui-même avait précisé lors de son passage chez Joe Rogan (WIKI) (le plus grand podcaster au monde) que le FBI lui avait demandé de bloquer certaines nouvelles. Si vous ne le saviez pas, il y a tout ce qu’il faut dans cet article :

« Au cours de l’entretien, Mark Zuckerberg a admis que le poids lourd des Big Tech a tout simplement ‘supprimé’ l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden, une nouvelle qui portait sur la sécurité nationale et affectait directement l’élection de 2020, parce que le FBI lui a dit de le faire. « 

Le lien avec les fact-checkeurs

Donc le Parti démocrate américain demandait aux réseaux sociaux de censurer telle ou telle histoire et Twitter et Facebook le faisaient MAIS… Ils ne pouvaient pas simplement bloquer les nouvelles sans raison. C’est là qui interviennent les fact-checkeurs (WIKI).

Comme vous savez, un scandale de blanchiment d’informations vient d’éclater en France. En gros, les fact-checkeurs sont tout sauf des entités indépendantes. Ils sont coordonnés et travaillent main dans la main. Ils reçoivent des cibles ou des histoires précises à « fact-checker » en déformant les faits, en utilisant la technique de l’attaque ad hominem (WIKI), en jouant sur les mots, ou en utilisant carrément des titres trompeurs qui disent l’opposé de ce qui est écrit dans leur article. Ensuite, ils amplifient leur message en se citant les uns les autres pour donner l’impression que l’information vient de plusieurs sources. Ces méthodes étaient les mêmes en France comme aux États-Unis, ce qui rend les fact-checkeurs encore plus suspects. Si vous n’avez pas entendu parler du scandale de blanchiment d’informations, il y a tout ce qu’il faut dans cet article :

ou regardez cette courte vidéo :

Grâce aux fact-checkeurs et leurs articles manipulateurs venant de « journalistes » qui ne le sont pas, mais qui ont juste une agrégation de l’état pour leur accorder de la crédibilité (et par exemple, des contrats de sous-traitance avec l’AFP (WIKI)), Twitter et Facebook avaient ce qu’il fallait pour suivre les ordres du Parti démocrate américain et bloquer toute opposition à leur rhétorique.

Dans ce cas, Twitter avait ajouté le message « Get the facts about the mail-in ballots » qui se traduit par « Accédez aux faits concernant le vote par correspondance » en dessous des Tweets de Donald J. Trump qui n’était personne d’autre que le Président des États-Unis à ce moment-là. Dans ces Tweets, DJT prévenait des dangers du vote par correspondance, mais cela dérangeait le Parti démocrate, et donc Twitter à ajouté le petit message qui redirigeait vers des articles de fact-checking.

Et tout le monde se rappelle de ce message (ici en anglais) :

Fausse Information
Vérifiée par des fact-checkeurs indépendants

Cette collusion entre un certain parti politique, la Big Tech et les fact-checkeurs, ne se limitait pas qu’aux États-Unis. En France, aussi, on se souvient du même phénomène où les articles de fact-checking étaient utilisés pour censurer ou déformer les posts (cliquez sur les images pour agrandir):

Et bien entendu, le même message qu’aux États-Unis :

« Fact-checker » est un mot anglais qui veut dire « vérificateur des faits ». En France, ils disent « médias de vérification » pour dire « fact-checkers ».

Mais le phénomène concernait toute l’Europe et globalement, le monde occidental, voir même le monde entier. Là, vous avez les mêmes exemples en Espagne :

Cette vidéo donne un bon exemple

Dans cette vidéo, Alexis Cossette de Radio Québec donne un excellent exemple d’utilisation du réseau de fact-checking pour décrédibiliser les médias alternatifs, et tous ceux qui ne suivent pas la rhétorique, autrement appelés « complotistes ». Regardez jusqu’à la fin. Seule source pour attaquer les « complotistes anti-covid » (ce qui ne veut rien dire), c’était Conspiracy Watch qui est géré par personne d’autre que… Rudy Reichstadt. Toujours les mêmes, n’est-ce pas ?

Autre exemple de collusion entre fact-checkeurs et…

« Dans ses « principes de confiance », l’agence de presse Thomson Reuters s’engage à « fournir des services d’information impartiaux et fiables » aux nombreux médias qu’elle sert. M. Jim Smith représente Reuters (WIKI) en tant que directeur général de l’entreprise. Il est également directeur de Pfizer, Inc. et siège au conseil d’administration de l’entreprise depuis 2014. Connu sous le nom de James C. Smith chez Pfizer, il est membre de l’initiative « Partnering Against Corruption » (Partenariat contre la corruption) du Forum économique mondial (WEF (WIKI)) et du Conseil international des affaires du Forum. En outre, il siège aux conseils consultatifs internationaux de British American Business et de l’Atlantic Council.« 

Conclusion dérangeante

Donc, pour résumer, un parti politique demande à Twitter de censurer une information, les fact-checkeurs attaquent l’information et Twitter utilise leur article pour justifier la censure. Alors certains vont dire « oui, mais c’est parce que les fact-checkeurs disent la vérité et que nous devons protéger la population de la désinformation ». Le problème, c’est que les fact-checkeurs se sont trompés sur toute la ligne. Ils n’ont fait que défendre la rhétorique en répétant sans vérifier ce que les diverses institutions disaient. Quelques exemples :

  • La mortalité du virus
    Les fact-checkeurs avaient attaqués ceux qui disaient que la mortalité du virus est inférieure à celle qu’on essayait de nous faire croire. Aujourd’hui, c’est un fait que la mortalité était inférieure à celle que les institutions donnaient.
  • Les mesures de contraintes sanitaires n’étaient d’aucun bénéfice.
    Les fact-checkeurs avaient attaqués ceux qui disaient que les mesures de contraintes sanitaires n’étaient d’aucun bénéfice. Aujourd’hui, tout le monde s’accorde pour dire que ces mesures étaient une gigantesque erreur.
  • Les masques n’étaient pas une bonne idée
    Les fact-checkeurs avaient attaqués ceux qui disaient que les masques ne sont pas utiles dans tous les cas. Aujourd’hui on sait que les masques auraient dû être utilisés seulement par ceux qui étaient infectés, et seulement en intérieur.
  • Le vaxxin empêche la contamination « juste un peu et juste après » la vaxxination
    Les fact-checkeurs avaient attaqués ceux qui disaient que les vaxxins ne protègent pas, ni du virus, ni des formes graves, et que le rapport risque-bénéfice n’est pas suffisent pour justifier la vaxxination obligatoire, surtout pour les enfants. Aujourd’hui, c’est un fait, et même le PDG de Pfizer a des problèmes avec la loi à cause des mensonges qu’il avait propagé concernant la vaxxination des enfants.

Regardez la vidéo ci-dessous si vous doutez sur ce qui est dit ci-dessus.

Et on aborde là qu’une petite partie des fausses informations propagées par les fact-checkeurs. On ne parle même pas des histoires concernant Trump et une soi-disant collusion avec la Russie qui aujourd’hui est factuellement fausse et des gens sont au tribunal pour avoir propagé ces fausses informations (Steele, Danchenko…)

Cet article est là pour démontrer que les fact-checkeurs ne sont pas indépendants. Je ne crois pas non plus à un complot qui impliquerait tous les fact-checkeurs en disant qu’ils sont conscients de ce qu’ils font. J’ai pu discuter avec certains d’entre eux plus d’une fois et ce qui en sort, c’est qu’ils fonctionnent comme une secte. Il y a les gourous et il y a les suiveurs. Clairement, quelqu’un comme William Audureau, fact-checkeur pour le journal « Le Monde », n’est pas assez important pour faire partie du « complot » d’une manière consciente. Il a plutôt le statut du suiveur. Il adore des gens comme Tristan Mendez France et Rudy Reichstadt et est en contact avec eux. Ce sont plutôt ces derniers qui se comportent comme des gourous du fact-checking.

C’est leur business et ils n’existent que pour cela. Ils ne savent pas faire autre chose donc ils doivent faire tourner leur business. Comme des gourous donc, ils influencent William Audureau, et ce dernier joue le jeu par conviction, pas par volonté de tromper les gens. Après tout, nous avons tous dans nos familles des gens qui s’inclinent devant la rhétorique, qui ont reçu 4 doses, qui croient la même chose que William, mais qui ne sont pas amis avec Tristan Mendez France (WIKI) et Rudy Reichstadt (WIKI) et qui ne sont pas payés par « jenesaispasqui ». William Audureau est comme ces gens, à la différence que lui, il a une accréditation presse et travaille pour un des plus grands journaux papiers en France.

Je ne parle même pas de Thomas Durand (Acermendax (WIKI)), un personnage extrêmement amer, insultant, malhonnête…

En général, si vous discutez avec des fact-checkeurs en direct, ils ont tous un point en commun. Leurs points intellectuels sont mal distribués. 1/10 en capacité analytique et 9/10 en arrogance. Cela les rend facilement manipulables. Pour faire donc une comparaison, les fact-checkeurs « suiveurs » sont pour la rhétorique, ce que les croyants du complot « reptilianoextraterrestroïdes qui habitent sur la lune qui est creuse » sont aux « complotistes ». Les radicaux…

L’autre catégorie, comportant des gens comme Tristan Mendez France et Rudy Reichstadt, n’est pas au même niveau. Ils sont les gourous du fact-checking. Tristan était dans les premiers à avoir une information qui a fuité, concernant le retrait de l’agrégation CPPAP (WIKI) de France Soir en signe de représailles à leurs attaques aux fact-checkeurs. Comment a-t-il pu avoir accès si vite à cette information ? L’article de « Mind Media » n’avait que quelques minutes quand Tristan l’avait partagé. Il attendait la publication de ce site ? (cliquez sur les images pour agrandir) :

Petit détail important, l’article de Mind Media fait tâche sur le reste du site. Le reste des articles n’ont aucun rapport avec des sujets dans le genre. Pourquoi cette information est sortie d’ici ? C’est une question que nous devrions chercher à comprendre puisqu’il s’agit d’une fuite d’informations. De plus, AFP a utilisé cet article comme source, puis d’autres médias mainstream ont repris le communiqué de l’AFP… Vous comprenez ?

Alors que la presse n’a parlé que quelques heures plus tard et il n’y a pas eu beaucoup d’articles, juste de quoi amplifier l’info (cliquez sur les images pour agrandir) :

Lisez toute l’histoire de la fuite de cette information et la version de France Soir (WIKI) ici :

Petit détail de poids, il se trouve que Rudy Reichstadt est pacsé avec une certaine Elisa Sidgwick. Vous savez ce qu’elle fait dans la vie ? Elle est adjointe au Chef du bureau de la Communication et de la Coopération internationale au ministère de l’Intérieur… Prenez cette information et mettez-la dans le contexte de cet article. Ajoutez à ceci que dans le scandale du blanchiment d’informations des fact-checkeurs, on a appris que le commanditaire des articles de Fact & Furious s’appelait Rudy. On sait également que Rudy Reichstadt, étant la superstar de la chasse aux « complotistes », il est admiré et connu par tous les fact-checkeurs et il peut les influencer facilement.

et une petite capture d’écran de sa page facebook :

Et du côté de Tristan Mendès France, il y a aussi des liens assez intéressants. Il se trouve que dans la famille de ce dernier, il y a un certain Michel Cicurel. Je vous mets ici quelques extraits de son wikipédia :

Source : wikipedia.org/wiki/Michel_Cicurel

En effet, le grand-père de Tristan Mendès France est Pierre Mendès France, mais sa grand-mère dont on parle moins s’appelait Lily Cicurel, sœur de Raymond Cicurel qui avait deux enfants, Michel Cicurel et Ilana Cicurel. (source PMF : wikipedia et Michel Cicurel : wikipedia)

Ilana Cicurel de son côté, est depuis 2017 membre du bureau exécutif de La République en marche (LREM) au sein duquel elle est déléguée chargée de l’éducation, l’enseignement supérieur et la recherche.

Beaucoup trop de choses convergent vers un rôle central des gens comme Rudy Reichstadt et Tristan Mendez France. Sont-ils les intermédiaires entre ceux qui écrivent la rhétorique et les fact-checkeurs « suiveurs » ? Cette question aura sa réponse, probablement dans pas très longtemps. C’est une intuition que tous ceux qui ont un sens de l’observation partagent, mais ce qui compte, c’est ce que nous pouvons prouver, et pour l’instant, les liens directs ne sont pas encore faits, même s’ils deviennent trop visibles. On ne peut qu’observer les contours de cette institution malsaine des fact-checkeurs et témoigner.

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