Article original datant du 23/04/22
Il y a 50 ans… il y a 20 ans… diable, même il y a 2 ans sous Trump… Auriez-vous jamais imaginé, dans vos cauchemars les plus fous, que des activistes de la gauche radicale se faisant appeler enseignants mettraient en place des zones secrètes à l’école pour que les enfants se déshabillent et se changent en tenues de trans ? Et dans un collège, pas moins ?
Eh bien, malheureusement, c’est exactement l’enfer dans lequel l’Amérique s’est retrouvée. Nous sommes en 2022, Joe Biden est président, les parents sont qualifiés de terroristes tandis que les véritables terroristes reçoivent des milliards en armes high-tech, et les écoles autorisent les enseignants à créer et à entretenir des « placards secrets de transition de genre » qui servent à encourager les enfants à changer de vêtements en même temps que de genre, dans le dos de leurs parents.
Les soi-disant « safe zone » pour la transition de genre ont commencé à l’origine dans les collèges et, comme toutes les autres théories et tactiques éducatives radicales, ces placards trans – une pièce remplie de vêtements et d’accessoires transgenres – font maintenant leur apparition dans les collèges et les lycées du pays.
Cependant, étant donné qu’il s’agit d’enfants plus jeunes dans ce scénario et non d’étudiants, les placards trans sont utilisés pour un programme beaucoup plus néfaste – cacher le comportement et l’endoctrinement trans aux parents. Au lieu de simplement fournir un éventail d’options de vêtements à porter, on dit aux élèves de se changer dans leurs vêtements préférés lorsqu’ils arrivent à l’école et de se rhabiller avant de rentrer chez eux – de cette façon, leurs parents ne sont pas informés de l’identité trans de leur enfant.
Non seulement ces enfants sont endoctrinés avec une idéologie sexuelle radicale qui n’a aucun fondement dans la réalité, mais on leur apprend également à cacher des choses à leurs parents.
L’Epoch Times a fourni plusieurs exemples de ces « placards secrets de transition de genre« , qui, selon lui, apparaissent « de plus en plus » ces derniers temps, notamment dans le sillage du tapage « ne dites pas gay » autour de la nouvelle loi sur les droits parentaux en Floride. Dans un exemple, Thomas Martin-Edwards, un enseignant transgenre de Californie et fondateur de la « Queer Teacher Fellowship » (bourse pour enseignants queer), explique le véritable objectif de ces zones secrètes dans une récente vidéo TikTok.
« Le but du placard de transition est que nos élèves portent les vêtements que leurs parents approuvent, viennent à l’école et passent ensuite aux vêtements qui correspondent à ce qu’ils sont vraiment », a déclaré l’enseignant.
Le California Family Council et d’autres organismes ont finalement confirmé l’identité de l’enseignant comme étant Thomas Martin-Edwards, professeur d’espagnol de l’Oakland Unified School District, qui est également le fondateur de « Queer Teacher Fellowship ».
Martin Edwards, l’enseignant qui gère le placard à trans, est également transgenre. Il a posté des vidéos de lui-même dans la salle de classe montrant les talons aiguilles qu’il porte à l’école. »
Quant à l’école ? Apparemment, ils laissent faire. Ni le district ni l’enseignant n’ont répondu lorsqu’ils ont été invités par l’Epoch Times à commenter.
Un autre exemple nous vient du Colorado, où un autre placard pour transgenres a été découvert à l’école intermédiaire Green Conservatory de Denver après avoir été exposé sur les réseaux sociaux. Naturellement, les parents et les personnes de la communauté ont été indignés, et beaucoup ont tweeté leur mécontentement à l’égard de l’école, qui, comme l’autre, n’a pas répondu lorsqu’on lui a demandé de faire des commentaires.
En outre, l’école réclame près de 2 000 $ pour produire les documents publics relatifs au placard trans.
« ‘C’est du grooming (WIKI) ‘, a tweeté un homme du Colorado, ‘La police devrait venir dans la classe et arrêter l’enseignant, quel qu’il soit, dans cette classe’.
Le post original sur le placard pour transgenres de Denver a été fait par « Buy Nothing Central Park » (N’achetez rien de Central Park) et fait référence au placard pour les étudiants transgenres comme ayant été lancé dans « notre école ». Il demande également que les vêtements destinés au placard trans soient déposés à l’école.
Megan Fox, chroniqueuse indépendante pour PJ Media et co-présentatrice de l’émission hebdomadaire sur YouTube « Exposing Family Court Corruption » (Exposer la corruption des tribunaux des affaires familiales), a récemment collecté 1650 $ via gofundme.com pour payer des documents relatifs au placard pour transgenres dans une école du Colorado.
Megan Fox a récemment écrit dans sa chronique que l’école lui a dit qu’elle devait payer 1650 $ pour obtenir les documents, qu’elle a demandés via la loi sur la liberté d’information (FOIA). Selon Fox, l’école a déclaré que la facture était basée sur 55 heures de travail du personnel à 30 $ de l’heure pour répondre à sa demande. »
Comme tous les autres mouvements de gauche, l’augmentation de ces domaines secrets est loin d’être un phénomène organique – il s’agit d’un programme largement mis en œuvre et calculé.
Par exemple, un groupe à but non lucratif basé en Arkansas, appelé « The Transition Closet » (Le placard de transition), pousse ces espaces de « grooming » dans les écoles de tout le pays et a été directement lié à l’exemple ci-dessus en Californie.
Dans un récent post sur sa page Facebook, le groupe a défendu l’école pour son nouveau partenariat.
Extrait du post Facebook de The Transition Closet :
« Nous sommes absolument ravis de commencer notre voyage en travaillant avec la Fremont High School d’Oakland, en Californie, avec notre professeur préféré de TikTok/@justaqueerteacher. »
Au cas où il y aurait des doutes sur la véritable nature de cet agenda, le fondateur du groupe à but non lucratif, Amare Roush, a doublé le « but » de garder les espaces cachés aux parents, car sinon – vous l’avez deviné – les enfants mourront ou seront battus par leurs parents.
Tout comme Psaki, Buttigieg et le reste des gauchistes qui crient « vous êtes un meurtrier » chaque fois que quelqu’un n’est pas d’accord avec leurs hystériques radicaux… Les mêmes clowns qui hurlent en faveur de l’avortement.
Ces gens n’ont aucune honte.
« Amare Roush, fondatrice de The Transition Closet, a déclaré à The Epoch Times que son organisation est favorable à ce que l’existence des placards pour transgenres dans les écoles reste secrète pour les parents, en raison des abus auxquels, selon elle, les enfants sont souvent confrontés à la maison s’ils révèlent à leurs parents qu’ils sont transgenres.
Nous fournissons un espace sûr aux enfants dont les parents ne les acceptent pas, car il est connu que cela contribue à réduire le taux de suicide », a déclaré Roush, qui est également un défenseur certifié des victimes de violence domestique.
Ces enfants le feront de toute façon, nous voulons simplement leur fournir un moyen de le faire en toute sécurité, sans qu’ils portent des vêtements trop petits pour eux, ou qu’ils le fassent d’une manière qui pourrait être compromise par leurs parents« .
Heureusement, tout le monde en Californie n’est pas complètement à côté de la plaque. Le groupe chrétien conservateur California Family Council a publié une critique cinglante des placards secrets pour transgenres qui apparaissent dans leur État.
Du Calofirnia Family Council :
« Les écoles californiennes ont poussé un peu plus loin leurs efforts pour subvertir les parents. Un lycée d’Oakland est en train de créer un « placard de transition » où les élèves seront autorisés à quitter les vêtements que leurs « parents approuvaient » pour enfiler des vêtements conformes à leur identité de genre.
C’est complètement inapproprié et trompeur. En plus de la folie de l’idéologie du genre, cette école enseigne aux enfants qu’il est acceptable de défier leurs parents.
Elle enseigne aux enfants que leurs pensées et leurs sentiments personnels devraient surpasser les conseils de leurs autorités données par Dieu. Ce dangereux sens de l’individualisme menace de détruire notre pays.
L’OUSD (Oakland Unified School District) et le « Transition Closet » doivent être dénoncés et punis aussi fermement que possible.
C’est l’un des nombreux cas dans lesquels les écoles tentent de subvertir les parents et même de leur cacher des informations, notamment en ce qui concerne l’identité sexuelle des élèves. L’Association des enseignants de Californie a même organisé une conférence pour apprendre aux enseignants comment saper les parents et endoctriner les élèves avec l’idéologie progressiste du genre.«
