« L’élection du 3 novembre a été la plus sûre de l’histoire américaine. En ce moment même, dans tout le pays, les responsables électoraux examinent et vérifient l’ensemble du processus électoral avant de finaliser le résultat.[…]
Lorsque les États ont des élections serrées, beaucoup recomptent les bulletins de vote. Tous les États dont les résultats sont serrés dans la course à la présidence de 2020 ont des enregistrements papier de chaque vote, ce qui permet de revenir en arrière et de recompter chaque bulletin si nécessaire. C’est un avantage supplémentaire pour la sécurité et la résilience. Ce processus permet d’identifier et de corriger toute erreur ou faute. Il n’existe aucune preuve qu’un système de vote ait supprimé ou perdu des votes, modifié des votes ou ait été compromis de quelque manière que ce soit.
Le jour de l’élection
Aux États-Unis
- 3:12
- 8:24
- 11:11
- 13:25
- 17:07
- 22:04
En France
Le décompte des voix
Aux États-Unis
En France
Les machines à voter
Aux États-Unis
Des demandes d’archives ouvertes révèlent que 64 des 66 comtés de Géorgie présentent la même « erreur du Tennessee » non résolue qui a entraîné le mauvais comptage de centaines de bulletins de vote par sept scanners.
- Machines piratables en quelques minutes
- Machines connectées à Internet
- Virus
- Mots de passe par défaut
- etc.
En France
🔥#Fraude #Elections On regardait au mauvais endroit.
On nous disait que les #machines de votes ne sont pas connectées. Vrai, mais pas leur interface de configuration qui se connecte via PC à la machine. Et surtout…on peut changer les votes À LA MAIN. 🔥
C’est dans le mode d’emploi de « SoluVote » sur leur site web.
Sauf qu’ils l’ont enlevé. Le lien est mort.
Mais il est sur Wayback Machine. 😇
Soluvote peut programmer les candidats, lire les urnes électroniques & valider les résultats à envoyer même par email, imprimer, etc.
Donc la machine lit une « urne » électronique insérée qui compte les votes, et on peut se connecter avec un PC pour lire cette urne après.
Mais on peut aussi METTRE DES VOTES A LA MAIN DANS LE SYSTEME: « Saisie manuelle des résultats de vote », doc9 pg6.
Vous lisez bien.
Il suffit de quelqu’un avec le mot de passe admin, désactive la validation automatique: on change les votes comme on veut.
(plus de détails ici)
Des ingérences de toutes parts
Aux États-Unis
Ingérence étrangère
L’acte d’accusation indique que deux pirates iraniens ont réussi à pirater un système électoral informatique de l’État, ont volé des données d’inscription des électeurs et les ont utilisées pour mener une campagne de cyberintimidation qui visait des membres du Congrès du GOP, des responsables de la campagne Trump et des électeurs démocrates lors de l’élection de novembre 2020.
Les documentaires de Mike Lindell
Les autres parties de ce documentaires peuvent être trouvées sur cette chaine.
Le cas Konnech
Eugene Yu, le PDG de l’entreprise américaine de logiciels électoraux Konnech, a été arrêté mardi après que des enquêteurs ont prétendument trouvé des informations sur les travailleurs électoraux américains stockées sur des serveurs en République populaire de Chine.
Un petit mot sur Catherine et Gregg de « True the Vote »
Ingérences intérieures
Le déni n’est plus possible : Le siège du FBI a non seulement gonflé le scandale du Russiagate en sachant qu’aucune des « preuves » ne tenait la route, mais il a ensuite fait volte-face pour aider à étouffer les preuves réelles des crimes de Hunter Biden qui ont entaché l’actuel président Joe Biden avant l’élection de 2020.
Ingérences de Big Tech
L’ingénieur principal de Google, Zach Vorhies, a divulgué 950 pages de documents internes qui prouvent que Google a utilisé des algorithmes de censure, de liste noire et d’apprentissage automatique pour truquer l’élection de 2020.
Pendant l’élection de 2020, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a dépensé des centaines de millions de dollars pour inciter les électeurs démocrates probables à voter. Mais il ne s’agissait pas de dépenses politiques traditionnelles. Il a financé une prise de contrôle privée et ciblée des opérations électorales gouvernementales par des organisations à but non lucratif nominalement non partisanes, mais manifestement idéologiques.
L’analyse menée par notre équipe démontre que cet argent a considérablement augmenté la marge de vote de Joe Biden dans les États clés. Cette fusion sans précédent de bureaux électoraux publics avec des ressources et du personnel privés est une menace aiguë pour notre république, et devrait être au centre des efforts de réforme électorale allant de l’avant.
En France
Un système de vote irrémédiablement corrompu
Aux États-Unis
2000 mules
Problèmes de signature
L’étude des bulletins de vote par correspondance du comté de Maricopa pour l’élection présidentielle de 2020 en Arizona estime que plus de 200 000 bulletins dont les signatures ne correspondaient pas ont été comptés sans être examinés, ou « soignés » – soit plus de huit fois les 25 000 signatures erronées nécessitant un traitement reconnu par le comté.
Multiplication des votes par correspondance
Deux circonscriptions de Pima ont enregistré un taux de participation de plus de 100 % pour les votes par correspondance – ce qui est impossible – et 40 circonscriptions ont enregistré un taux de retour de plus de 97 %. Le taux national de retour des bulletins de vote par correspondance était de 71 %, mais dans le comté de Pima, le taux de retour des bulletins de vote par correspondance était de 15 % supérieur, et de 19 % supérieur à celui de tous les comtés réunis de l’État d’Arizona. Une circonscription avec 99,5 % de participation au vote par correspondance a compté 9 812 bulletins. Dans une autre circonscription avec un taux de participation de 100,6 %, 2 182 bulletins ont été retournés, mais seulement 2 170 bulletins ont été envoyés par courrier.
Les cartes d’identité… c’est raciste…
Les lois d’identification des électeurs font partie d’une stratégie permanente visant à revenir sur des décennies de progrès en matière de droit de vote.
En France
Des aveux qui en disent long
Il y avait une conspiration qui se déroulait dans les coulisses, une conspiration qui a à la fois réduit les protestations et coordonné la résistance des PDG. Ces deux surprises étaient le résultat d’une alliance informelle entre des militants de gauche et des titans du monde des affaires. Le pacte a été officialisé dans une déclaration conjointe laconique et peu remarquée de la Chambre de commerce américaine et de l’AFL-CIO, publiée le jour des élections. Les deux parties en sont venues à le considérer comme une sorte de marché implicite – inspiré par les protestations massives, parfois destructrices, de l’été en matière de justice raciale – dans lequel les forces du travail se sont unies aux forces du capital pour maintenir la paix et s’opposer à l’attaque de Trump contre la démocratie.
S’il est vrai que Ball a qualifié les efforts de campagne des démocrates et de leurs partisans de « conspiration », cette expression n’est pas utilisée dans son sens habituel et a été manipulée par la droite comme preuve de ses convictions.
