Nos journalistes de la presse mainstream subventionnée et institutionnalisée se sont encore montré à la hauteur de leur pathétique réputation.
Vous savez, ces journalistes qui ont appelé à la censure d’informations médicales majeures, qui ont travaillé main dans la main avec les officines de la fact-checkosphère qui se voient obligés de passer leur présence en ligne à la Javel pour tenter de faire disparaître les traces de leurs activités problématiques (Source) ?
Vous savez, ces journalistes dont les experts et référents invités en boucle sur leur plateaux pour justifier de leurs mensonges sont reconnus coupables par la justice de diffamations … mais pas condamnés parce que les experts susmentionnés ont menti de bonne foi (Source)
Vous savez, ces journalistes qui ont colporté les mensonges aujourd’hui débunkés sur le laptop de Hunter Biden ou la collusion avec la Russie, qui ont confondu une cheminée avec un tir de roquette (Vidéo toujours en ligne chez France Info), qui ont rapporté de fausses informations qui auraient pu déclencher une troisième guerre mondiale (Le missile de la discorde)…
Vous savez, cette caste qui a perdu la confiance d’une grande partie de leur public ces dernières années à cause de leur attitude très orientée politiquement et qui n’a affiché que mépris pour la vérité et agressivité ceux qui poser des questions.
Vous voyez de qui je parle? Bon, et bien figurez-vous que ces journalistes sont en colère et veulent le faire savoir.
Les raisons de la colère
La raison de cette colère, c’est Elon Musk, qui a depuis quelques semaines une facheuse tendance à mettre le doigt où ça fait mal sur les questions de liberté de la presse et de liberté d’expression.
Depuis hier, la caste journalistique est en colère contre Musk parce que Musk a fait fermer certains compte Twitter pour des raisons sur lesquelles nous allons revenir dans un instant.
Voici une petite sélection des réactions effarouchées, des cris d’orfraie et autres hypocrisies larmoyante de la caste journalistique sur cette question:
Ici Laurence Haïm nous rapporte que CNN envisage de quitter Twitter pour des raisons de censure. Comme d’habitude, la sympathique Laurence Haïm passe totalement à coté du sujet et manque de préciser ce qui se passe réellement.
Là c’est Le Monde(🤡), qui cite le Washington Post(🤡), CNN(🤡) et le NY Times(🤡) pour expliquer que le méchant Musk a censuré des journalistes. On croit rêver…
(Pour rappel ils ont censuré les propos des inventeurs des tests PCR et des thérapies à ARNm)
On peut encore s’étonner de l’indignation à géométrie variable lorsqu’il s’agit de suppression d’information après presque trois ans d’une collusion à peine dissimulée entre pouvoir politique et pouvoir médiatique pour supprimer tout ce qui va à l’encontre du discours officiel, systématiquement orienté vers les mêmes objectifs: Plus de peur, moins de droits.
Mais cette fois il y a plus.
Ce que la caste des journalistes omet de vous dire
Elon Musk a imposé hier de nouvelles règles qui vont contre le doxxing ℹ️ d’information sur Twitter.
On appelle doxxing la pratique lâche et infamante qui consiste à publier des informations relatives à l’identité, l’adresse ou la position géographique de quelqu’un sur des réseaux sociaux ou dans la presse, dans le but de l’intimider.
Le principe est toujours le même, à savoir une variation du scénario suivant:
Vous dites quelque chose qui ne plait pas au pouvoir, un journaleux aux ordre ou un fact-checker vous doxxe, et le lendemain vous retrouvez un corbeau cloué à votre porte et des menaces de mort adressées à votre famille glissées dans votre boite aux lettres.
Ce sont souvent les lanceurs d’alerte et autres chaînes de réinformation qui font l’objet de doxxing, mais dernièrement c’est Elon Musk lui-même qui a failli faire les frais de cette pratique pour le moins dégueulasse.
Une nouvelle politique qui fait du sens
Elon Musk, que l’intégralité de la gauche radicule pointe du doigt comme pire qu’Hitler parce qu’il a mis un terme à la censure arbitraire de “fausses informations” (qui s’avèrent vraies 2 fois sur 3), est à présent accusé de censurer de l’information suite à la nouvelle politique anti-doxxing de Twitter.
“Tout compte contenant des informations de localisation en temps réel sera suspendu, car il s’agit d’une violation de la sécurité physique. Cela inclut la publication de liens vers des sites contenant des informations de localisation en temps réel.
Le fait de poster des lieux où quelqu’un s’est rendu avec un léger décalage n’est pas un problème de sécurité et est donc acceptable.“
Chacun est libre d’avoir sa propre opinion sur la question, mais cette position nous parait raisonnable. Il est toujours possible de dénoncer l’hypocrisie des “Leonardo di Caprio” de ce monde, qui veulent vous imposer toujours plus de sobriété et d’inconfort depuis les sièges rembourrés de leurs jets privés à plusieurs dizaines de millions de dollars qui produit plus de carbone en une journée que toute votre famille en une année…
En revanche, cela permet d’éviter que ces informations de localisation soient utilisées à des fins de violence ou d’intimidation, ce qui est un argument tout à fait recevable et modéré.
Elon Musk lui-même a fait l’objet de telles tentatives d’intimidation pas plus tard qu’hier.
“La nuit dernière, une voiture transportant Lil X [le fils d’Elon Musk] à LA a été suivie par un harceleur fou (pensant que c’était moi), qui a ensuite empêché la voiture de bouger et est monté sur le capot.
Une action en justice est en cours contre Sweeney [propriétaire du compte Twitter qui partageait la position du jet d’Elon Musk] et les organisations qui ont soutenu le mal fait à ma famille.“
À prendre en considération le fait que l’administration Biden ne cesse de pointer Elon Musk comme une menace pour la démocratie et le présent comme quelqu’un d’extrêmement dangereux, et d’ajouter à tout ceci les appels répétés de nombreux comptes Twitter qui appellent littéralement à s’en prendre à Elon Musk.
Dans un contexte pareil, partager en temps réel la position du jet privé de Musk est concrètement un appel à l’assassinat. Nous avons pu constater cela avec la présence de plusieurs groupes malintentionnés qui l’attendaient à la sortie des aéroports.
Ils ont affiché ma position exacte en temps réel, c’est-à-dire les coordonnées d’un assassinat, en violation directe (évidente) des conditions d’utilisation de Twitter.
Quelqu’un reconnaît cette personne ou cette voiture ?
La caste des journalistes subventionnés : toujours du mauvais côté de la morale et de l’intelligence
Donc, vous l’avez compris, ce pseudo-scandale annonné en boucle depuis ce matin par l’orchestre symphonique des perroquets journalistiques consiste à défendre la pratique du doxxing et à faire passer ça pour la défense de la liberté d’expression. Le même principe qu’aller bombarder pour la paix.
Outre l’imposture morale qui consiste à tenter de se faire passer pour des gens qui se soucient de la liberté d’expression après presque trois ans d’appels ininterrompus à la censure, à la psychiatrisation voire à l’arrestation des voix dissidentes, je pense que la caste journalistique subventionné n’a pas tellement réfléchi aux conséquences très néfastes que cette position pourrait avoir si elle était poussée jusqu’au bout…
Elon Musk, pour sa part, semble l’avoir compris
“Si quelqu’un publiait en temps réel la localisation et l’adresse des journalistes du NYT, le FBI enquêterait, il y aurait des audiences au Capitole et Biden ferait des discours sur la fin de la démocratie !“
Et vous savez quoi… il a tout à fait raison. Il y a une réelle rupture entre la population et la caste journalistique subventionnée, et cette rupture est visible dans chaque manifestation ou dans chaque rassemblement populaire où les représentants de BFM/LCI & co. se font huer, insulter, voire bousculer.
Qui plus est, la société actuelle est devenue tellement polarisée qu’elle pousse à la radicalisation dans les deux camps. D’un côté les paranos du virus qui veulent vaxxiner, masquer et confiner la planète entière de force, et de l’autre côté, ceux qui ont perdu un proche suite à l’injection, ou perdu leur gagne-pain à cause des mesures désastreuses et inconséquentes d’un gouvernement complétement irresponsable.
Dans un contexte pareil, il est à la fois dangereux et honteux de jouer constamment la carte Caliméro d’un côté tout en donnant des grenades dégoupillées au camp d’en face.
Chez les DeQodeurs, nous restons fermes et solides sur nos principes de base et réaffirmons notre totale opposition à toute forme de violence.
