Customize Consent Preferences

We use cookies to help you navigate efficiently and perform certain functions. You will find detailed information about all cookies under each consent category below.

The cookies that are categorized as "Necessary" are stored on your browser as they are essential for enabling the basic functionalities of the site. ... 

Always Active

Necessary cookies are required to enable the basic features of this site, such as providing secure log-in or adjusting your consent preferences. These cookies do not store any personally identifiable data.

No cookies to display.

Functional cookies help perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collecting feedback, and other third-party features.

No cookies to display.

Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics such as the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.

No cookies to display.

Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.

No cookies to display.

Advertisement cookies are used to provide visitors with customized advertisements based on the pages you visited previously and to analyze the effectiveness of the ad campaigns.

No cookies to display.

Pilule Rouge – Le false flag du 6 janvier 2021

Chapitres :

(Liens vers Odysee)

00:03:55 Intro
00:06:41 À l’extérieur du Capitole
— : — : — Les défaillances de la police du Capitole
00:12:02 Le témoignage du Responsable de la Police du Capitole
00:13:38 La police invite les manifestants à entrer dans le Capitole
00:17:28 Les manifestants entrent dans le Capitole
00:21:28 La présence d’Antifa/BLM et autres milices d’extrême gauche
00:22:15 Qui est John Sullivan?
00:28:25 Un piège tendu aux Antifas?
00:29:00 Question de timing
00:33:46 Le Capitole est évacué
00:33:59 Le temoignage d’ Alexandra Ocasio-Cortez
00:39:32 Plusieurs personnes tuées
00:41:50 L’officier Sicknick et les mensonges honteux du NY Times
00:43:40 Ashli Babbitt
00:45:34 Le rôle du FBI
00:59:43 Donc pour résumer
01:01:20 Ca commence à faire beaucoup. Non?


NDLR : False Flag : Actions menées avec utilisation des marques de reconnaissance de l’ennemi, aussi appelé « Attaques sous faux drapeau« 


L’élection américaine s’est tenue en novembre 2020. Suite au scrutin, le président sortant et candidat à sa réélection, Donald Trump, a pointé du doigt de nombreux problèmes de fraude lors de l’élection. Ces allégations ont été rejetées par les différents états concernés, et les différentes cours de justice ont refusé de simplement regarder les preuves de la fraude alléguée.

Face à cette situation, le président sortant Trump a appelé ses soutiens à se rendre devant le Capitole le 6 janvier à 11h du matin, pour faire entendre leur voix au regard du processus de certification électorale qui devait avoir lieu ce jour la.

Wikipédia nous présente la version officielle de ce qui s’est passé ensuite:

Avant la fin des discours, une foule de partisans de Trump part à l’assaut du Capitole, déborde violemment les forces de l’ordre et entre par effraction dans le bâtiment. Le Congrès est en session à ce moment, conduisant le décompte des voix du collège électoral. Plusieurs bâtiments du complexe sont évacués tandis que les émeutiers franchissent les dispositifs de sécurité du Capitole, investissant salles et bureaux, et se livrant à des saccages et à des pillages. Tous les bâtiments du complexe sont ensuite verrouillés. Quatre émeutiers perdent la vie.

Interrompue durant plusieurs heures en raison de cet assaut, qualifié de tentative de coup d’État, de putsch, d’insurrection, de sédition ou de terrorisme intérieur, et dont les images font le tour du monde, la session du Congrès américain reprend dans la nuit et débouche sur la certification des résultats par le vice-président des États-Unis et président du Sénat Mike Pence (que les émeutiers ont promis de « pendre »), officialisant la victoire de Biden par 306 voix contre 232.

La plupart des dirigeants mondiaux tiennent Donald Trump pour responsable de cet événement sans précédent dans l’histoire du pays et considéré comme une attaque contre la démocratie américaine”

Nous allons essayer d’analyser la véracité de cette version officielle aux vue des différentes informations.

A l’extérieur du Capitole

« Une foule de partisans de Trump part à l’assaut du Capitole, déborde violemment les forces de l’ordre et entre par effraction dans le bâtiment »

  • Des gens positionnés au dessus de la foule appellent au mégaphone à franchir les périmètres de sécurité
  • 00:36 Explosion d’une flash bang. L’agitation de la foule fait suite à cette explosion
  • 01:15 Certaines personnes franchissent calmement les cordons policiers.
  • 01:55 La police libère du gaz

Pendant ce temps, certains manifestants s’offusquent de l’absence de réaction des forces de l’ordre qui semble déterminer à laisser la situation s’envenimer.

« Pourquoi vous laissez faire ça ? Pourquoi n’avez-vous pas appelé des renforts ? Où sont vos renforts ? C’est notre foutu bâtiment du Capitole ! Et vous le laissez tous se faire détruire sous votre surveillance !
Appelez des renforts ! Allez chercher de l’aide ! »

Les défaillances de la police du Capitole

Le témoignage du Responsable de la Police du Capitole

La responsabilité de la police du Capitole a été pointée du doigt. Le chef de la police, l’officier Steven Sund, a déposé sa démission suite à l’évènement. Voilà ce que l’on peut lire dans sa déclaration sous serment devant le Sénat et la Commission de la sécurité intérieure et des affaires des affaires gouvernementales :

« Comme mentionné précédemment, l’évaluation du renseignement de l’IICD a indiqué que les manifestations/rallies du 6 janvier devaient « être similaires aux précédents rassemblements de la Million MAGA March en novembre et décembre 2020, qui ont attiré des dizaines de milliers de participants. » L’évaluation indiquait que des membres des Proud Boys, des groupes suprématistes blancs, d’Antifa et d’autres groupes extrémistes devaient participer aux manifestations du 6 janvier. Ces groupes étaient attendus pour participer à l’événement du 6 janvier et qu’ils pourraient être enclins à devenir violents.

[…]

Ils sont venus avec des armes, des munitions chimiques et des explosifs. Ils sont venus avec des boucliers, des protections balistiques d’équipement tactique. Ils sont venus avec leur propre système radio pour coordonner l’attaque, ainsi que du matériel d’escalade et d’autres équipements pour déjouer les dispositifs de sécurité du Capitole.  »

La police invite les manifestants à entrer dans le Capitole 

  • La police accueille les manifestants et les invite à se comporter calmement.
  • Certains manifestants semblent surpris par cette réaction et semblent flairer un piège «Ils vont nous enfermer dans le Capitole »

Dans cet autre vidéo, on entend un des manifestants lancer un appel au calme et à la coopération pacifique avec les forces de l’ordre

« La police ici est prête à travailler avec nous et à coopérer avec nous pacifiquement, comme notre premier amendement le permet. Rassemblez plus d’Américains, à condition qu’ils se rassemblent pacifiquement pour discuter de ce qui doit être fait pour sauver notre pays. »

Par ailleurs, on apprend que Trump avait demandé la présence de 10000 Gardes Nationaux pour le 6 janvier. Sa requête a été rejetée :

L’ancien président Donald Trump affirme qu’il était préoccupé quelques jours avant l’émeute du 6 janvier au Capitole par la taille de la foule attendue près du Capitole et qu’il a demandé le déploiement de 10 000 soldats de la Garde nationale, mais que sa demande a été rejetée parce que la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi et d’autres dirigeants n’ont pas aimé l’optique.

Les manifestants entrent dans le Capitole

Différents profils de manifestants étaient présents dans le Capitole ce jour la

Beaucoup de gens comme ça :

Et quelques uns comme ça :

Dans cette autre vidéo on peut observer que des armes (battes, gourdins, etc.) sont fournis par des « manifestants » à l’intérieur du Capitole à d’autres manifestants qui attendent dehors.

Les tenues noires, l’équipement militaire, l’organisation des agents, la mise à disposition d’armes à certains manifestants restés à l’extérieur du batiment… ces éléments semblent correspondre a des methodes employées par les groupes Antifa et BLM. Analysons ensemble cette hypothèse.

La présence d’Antifa/BLM et autres milices d’extrême gauche

Les fact checkers ont commencé par nier en bloc la présence de membre d’antifa/BLM dans ce rassemblement

Or nous avons appris plus tard que plusieurs activistes politiques de gauche ont été arrêtés au cours de ces évènements comme par exemple M Mostofsky :

M. Mostofsky est un démocrate enregistré de 34 ans et le fils d’un juge de New York. On le voit sur la photo ci-dessus vêtu d’une fourrure, portant un bâton et portant un gilet pare-balles de police qu’il a volé. Mostofsky se tient à côté de l’homme qui a porté un drapeau confédéré lors de l’événement.

ou encore John Sullivan Penchons-nous plus en détails sur la présence de ce dernier

Qui est John Sullivan?

« Mon nom est John Sullivan, je suis de Salt Lake City, Utah. Mon groupe est Insurgence USA. On est sur le point de brûler cette merde. On va arracher Trump de ce bureau juste là. On va le sortir de cette merde. On ne va pas attendre la prochaine élection, on va avoir cet enculé. »

John Sullivan a prétendu au cours de plusieurs interviews qu’il a donné, que la motivation de sa présence était d’ordre journalistique. Il a pourtant été mis en examen pour sa présence le 6 janvier dans le Capitole. On lui a également confisqué l’argent qu’il avait obtenu en vendant les extraits vidéos qu’il avait capturé au cours de l’évènement (90000$)

Pourtant, on trouve sur son Instagram un appel lancé pour renverser Trump le 6 janvier 2020

Les différentes vidéos faisant état de sa présence posent tout de même de nombreuses questions :

  • Que faisait Sullivan à l’intérieur du Capitole au moment ou les émeutiers ont forcé les barrages de sécurité ?
  • Pourquoi tient il les propos qu’il tient?

On trouve par ailleurs un certain nombre de documents qui accablent Sullivan et atteste de sa volonté de mettre le feu aux poudres le 6 janvier, comme par exemple la déclaration sous serment suivante :

« Au cours de l’une de ses interactions avec d’autres personnes, on peut entendre Sullivan dire dans la vidéo : « On doit faire brûler cette merde ». À d’autres moments, alors qu’il marche dans le Capitole, on peut entendre Sullivan dire, entre autres, « c’est notre maison, enfoirés » et « on va brûler cette merde ».

Par ailleurs, James Sullivan le frère de John a même déclaré travailler avec le FBI pour que John Sullivan et les 226 membres d’antifa impliqué avec lui dans les évènements du 6 Janvier soient inculpés

Un piège tendu aux Antifas?

Nous avons publié sur notre site les traduction des articles intitulés Devolution dont nous vous recommandons vivement la lecture! Dans un de ces articles est exposée une thèse intéressante qui semble indiquer que les évènements du 6 janvier étaient peut-être un piège tendu par Trump aux Antifas. Piège dans lequel ils se sont jetés à pied joints. Ce sujet dépasse le périmètre de notre vidéo et nous vous invitons vivement à consulter cet article pour plus de détails sur la question.

Question de timing

Dans le cadre de la question qui nous intéresse, nous allons nous intéresser au timing des évènements tels que décrits dans cet article.

Trump devait prendre la parole à 11h EST[…]
Au lieu de cela, il a eu une heure de retard et a commencé vers midi. Ce n’était pas la « révélation » que nous espérions.
Le discours a duré 1 heure et 12 minutes et s’est terminé à 13 h 12 EST. Les législateurs se sont rassemblés pour leur session conjointe au Capitole à partir de 13h00 EST. Le discours a eu lieu à l’Ellipse, à plus de deux kilomètres du Capitole. Les barricades du Capitole ont été franchies à 13 h 05 EST. Le calcul ne tient pas la route.

Le Capitole est évacué

Plusieurs bâtiments du complexe sont évacués tandis que les émeutiers franchissent les dispositifs de sécurité du Capitole, investissant salles et bureaux, et se livrant à des saccages et à des pillages

Le temoignage d’ Alexandra Ocasio-Cortez

Suivant la version officielle de Wikipédia, on apprend que le bâtiment du Capitole a été évacué suite à l’entrée des manifestants dans le bâtiment.

Cette version est confirmée par le témoignage glaçant de AOC.

Celle ci nous raconte comment des manifestants sont venus la chercher en hurlant alors que, cachée dans les toilettes, elle a cru qu’elle allait être violée puis tuée.

On apprendra un peu plus tard que les gens dont elle pensait qu’ils allaient la tuer étaient en fait des policiers chargés de sa protection, et qu’elle n’était même pas dans le bâtiment qui a été attaqué au moment des faits…. Choses qu’elle a bien omis de préciser dans ce témoignage.

Plan de Capitol Cannon

On apprendra enfin que cette évacuation n’était en fait pas liée aux évènements du 6 janvier, mais à la découvertes de deux bombes, la veille, posées dans les immeubles du parti démocrate et du parti républicain.

« L’attaque du Capitole n’est donc pas ce qui a provoqué l’évacuation de ces bâtiments ? C’est la découverte de ces bombes artisanales qui a provoqué leur évacuation ? » a demandé le sénateur républicain de l’Oklahoma James Lankford.

« C’est exact », a répondu Sund. 
(NDLR : Chef de la Police du Capitole le 6 janvier 2021)

Plusieurs personnes tuées

On a rapporté la mort de cinq personnes au cours de ce Capitole. Ce chiffre a lui seul est supposé justifier de la gravité de l’évènement.

«Un policier a été battu, une émeutière a été abattue et trois autres personnes sont mortes au cours de ce déchaînement. » 

Nous apprendrons un peu plus tard les causes de la mort de 4 de ces 5 personnes :

  • Ashli Babbitt, 35 ans, est morte par homicide d’une balle dans l’épaule gauche. Elle a été abattue par un agent de la police du Capitole alors qu’elle tentait de franchir une porte près de la chambre de la Chambre.
  • Kevin Greeson, 55 ans, est mort de causes naturelles suite à une maladie cardiovasculaire. Greeson, d’Athens, en Alabama, avait un compte Twitter dans lequel il soutenait l’ancien président Donald Trump et dénonçait de manière profane ses opposants.
  • Benjamin Phillips, 50 ans, est décédé de causes naturelles suite à une maladie cardiovasculaire. Selon le Philadelphia Inquirer, Phillips, de Ringtown, en Pennsylvanie, était un programmeur informatique qui a fondé un site Web de médias sociaux pour les partisans de Trump. Il avait organisé un voyage de plusieurs dizaines de personnes dans le district.
  • Roseanne Boyland, 34 ans, est morte par accident d’une intoxication aiguë aux amphétamines. Boyland, de Géorgie, voulait être conseillère en sobriété et suivait les conspirations de QAnon, a déclaré sa famille.

La cause de la mort de l’officier Sicknick n’a pas été révélée. Creusons tout ceci de plus près.

L’officier Sicknick et les mensonges honteux du NY Times

« Les responsables des forces de l’ordre ont d’abord déclaré que M. Sicknick avait été frappé avec un extincteur, mais des semaines plus tard, les sources policières et les enquêteurs étaient en désaccord sur le fait qu’il ait été frappé », peut-on lire dans l’article. « Les experts médicaux ont dit qu’il n’était pas mort d’un traumatisme dû à un objet contondant, selon un responsable des forces de l’ordre. » […]

Le journal a utilisé des sources anonymes pour étayer sa déclaration.

[…]

En fait, Sicknick avait repris son travail après l’émeute du Capitole, et avait envoyé un message à son frère pour lui dire qu’à part avoir été aspergé de bombe lacrymogène à deux reprises, il était « en bonne forme ».

D’après la police du Capitole, Sicknick a eu une attaque cérébrale par la suite. Une enquête est en cours pour savoir s’il a inhalé du gaz lacrymogène et si cela a pu contribuer à sa mort soudaine.

On notera quand même que le NY Times a attendu jusqu’à la fin du processus de destitution de Trump pour faire ce correctif.

Ashli Babbitt

Il existe de nombreuses zones d’ombres relatives au décès de Ashli Babbitt. Nous n’allons pas entrer dans l’examen attentif de ces zones d’ombres. Nous nous contentons de rapporter les faits suivants :

  • Ashli Babbitt a été abattue par un agent de police du Capitole
  • John Sullivan était présent sur les lieux et a pu fournir les seules images disponibles de cette mortelle
  • Quand bien même le tueur est un policier du Capitole et que la scène a été filmée, il a fallu attendre plus de sept mois pour que le nom de l’agent de police responsable soit connu.

On sait à présent qu’il s’agit du lieutenant Michael L. Byrd, un officier de police noir qui avait déjà fait l’objet d’une attention des médias en 2019:

Un agent de la police du Capitole des États-Unis serait sous examen jeudi après avoir oublié son pistolet Glock 22 dans les toilettes du centre des visiteurs de la structure en début de semaine.
Le lieutenant Mike Byrd a oublié d’emporter l’arme en quittant les toilettes lundi et elle a été retrouvée « lors d’un contrôle de sécurité de routine » plus tard dans la journée, ont indiqué des responsables à Roll Call.

[…]M. Byrd est le chef de la section des chambres du département et aurait repris le travail dans les jours qui ont suivi l’incident.

On est en droit de se demander si la présence d’un tel laxisme vis à vis de son arme de service, moins de deux ans avant la mort de Babbitt justifie cette discrétion à adresser le problème.

Une autre hypothèse pourrait être qu’une histoire ou une femme blanche est abattue par un homme noir diverge totalement du narratif que la gauche radicale essaie d’imposer aux US, à savoir:

Blancs méchants – Noirs gentils.

Le rôle du FBI

Au mois de juin 2021, une enquête très fouillée du journal Revolver.news explore une partie sombre et peu explorée des évènements du 6 janvier.

En effet, dans cet article, les auteurs s’étonnent du traitement très sévère accordé à certains des “insurrectionnistes du 6 janvier” qui n’ont fait que pénétrer calmement dans la Capitole, tandis que d’autres “insurrectionnistes” dont le comportement était beaucoup plus problématique n’ont pas été et ne sont toujours pas inquiété. L’article développe de manière fort crédible l’hypothèse selon laquelle un nombre importants d’informateurs du FBI ont été impliqués dans les évènements du 6 janvier à des fins de provocation.

C’est notamment le cas de Ray Epps fortement soupçonné d’être un agent fédéral.

ici Epps a cote de John Sullivan :

là, Epps en train de motiver les manifestants à prendre le Capitole. Notez les réactions des autres manifestants :

Ici on soupçonne le même Epps d’être une des premières personnes à franchir les barricades le 6 janvier.

Si ces infos ne sont pas encore confirmé les journalistes de Revolver.news établissent un parallèle troublant entre les évènements qui se sont déroulés le 6 janvier et la tentative d’enlèvement du Gouverneur Whitmer.

Dans cet autre article, on apprend que sur les 18 personnes impliquées dans la tentative d’enlèvement de Whitmer, au moins douze, dont certains organisateurs, étaient des agents ou des informateurs travaillant pour le FBI.

Le récit de ces évènements est pour le moins singulier :

« La panique s’installe, Dan s’éloigne un instant du groupe et parle dans l’appareil d’enregistrement qu’il porte sur lui et qu’il sait être suivi en direct par ses supérieurs du FBI. Les Watchmen, a-t-il dit, se préparent à entrer dans le Capitole. Les agents ne pouvaient pas lui répondre, mais il espérait qu’ils pourraient au moins prévenir la police de ce qui allait se passer.

Puis quelque chose de surprenant s’est produit. La police de l’État du Michigan s’est retirée et a laissé les manifestants – y compris ceux qui portaient un équipement tactique complet – entrer dans le bâtiment sans rencontrer d’opposition. Ils pouvaient même apporter leurs armes, à condition de se soumettre à un contrôle de température pour le COVID-19.

Les Watchmen se sont précipités au deuxième étage du bâtiment. Musico a exhorté la foule de plus en plus frénétique à avancer, selon le témoignage du tribunal. Lorsqu’il a repéré des agents de la police nationale, il s’est planté en face d’eux, en criant et en prenant des photos de leurs badges avec son téléphone, les mettant au défi de le toucher. »

Ces évènements se sont déroulés en octobre 2020, soit a peine deux mois avant les évènements du 6 janvier. Certains voient même dans cet évènement une répétition à moindre échelle de la prise du Capitole de Washington.

Toujours est il l’implication du FBI dans les troubles du 6 janvier semble être un fait de plus en plus crédible comme l’atteste cet autre article de revolver.news :

Cet article prend pour focus le personnage de Rhodes Stewart, le chef des Oath Keepers, pointée par les MSM comme étant le principal groupe responsable des évènements du 6 janvier 2021.

On apprend dans cet article la chose suivante:

Ces seuls faits, tels qu’ils sont allégués, sont plus que suffisants sur le plan juridique pour obtenir une mise en accusation de Stewart Rhodes. Nous vous guiderons à travers les montagnes de preuves directes et circonstancielles construites sur ces allégations, mais les lecteurs doivent comprendre ceci : la seule raison pour laquelle Stewart Rhodes n’est pas en prison aujourd’hui est une décision délibérée du Département de la Justice de le protéger.

En effet, on ne sait pas si le FBI a même cherché à fouiller le domicile de Stewart Rhodes, ses effets personnels ou ses appareils électroniques, à l’exception d’un seul iPhone prétendument saisi dans la rue par des agents dans des véhicules banalisés du FBI fin avril (restitué depuis). Pour les raisons évoquées ci-dessous, il y a de bonnes raisons de penser que le FBI poursuivra une enquête étroitement contrôlée et très limitée sur Stewart Rhodes. Au-delà de ce champ restreint, il se peut qu’ils ne veuillent pas des informations qu’ils sont susceptibles de trouver.

Donc pour résumer 

Voici en quelques lignes, la liste des éléments qui jettent le trouble sur la version officielle des évènements de la prise du Capitole le 6 janvier 2021:

  • Provocations policières (flash bang)
  • La police invite les manifestants a entrer
  • La présence d’antifa confirmée par le chef de la police du Capitole
  • L’évacuation des bâtiments du Capitole sous un faux prétexte
  • Les témoignages volontairement trompeurs de certaines figures politiques de gauche.
  • John Sullivan appelle à faire tomber Trump le 6 janvier
  • John Sullivan à l’intérieur du Capitole pendant que les manifestants entrent dans le bâtiment
  • Présence d’agents habillés en noir, armure, oreillette et très bien organises
  • Vidéo d’armes qui sont sorties par une fenêtre depuis l’intérieur du Capitole et mises à disposition de certains manifestants.
  • Dissimulation et mensonge concernant les victimes et la cause de leurs décés.
  • 14000 heures de vidéo surveillance non publiées malgré les demandes du congrès
  • Une seconde tentative d’impeachment qui échoue
  • Personne n’est inculpé pour insurrection
  • Aucune arme à feu trouvée parmi les suspects qui ont été arrêtés
  • Le soutien de la Garde Nationale demandé par Trump refusé
  • Les liens troubles qui unissent le FBI avec le chef des Oath Keepers
  • Les évènements très similaires à la tentative d’enlèvement de Whitmer.

Ca commence à faire beaucoup. Non?

Nous ne sommes pas les seuls à parvenir à cette conclusion et nous vous proposons les propos du sénateur Mike Shirley :

à partir de 1:24

– Et pour DC, j’y étais.
– Ce n’était pas les gens de Trump.
– Quoi ?
– Ce n’était pas des gens de Trump.
– Pas du tout !
– C’était un canular depuis le premier jour. Tout était arrangé à l’avance.
[…]
– Ils sont allés dans des bus séparés. c’était tout, vous savez, pré-arrangé par quelqu’un qui finance tout ça.
[…]
– Pourquoi n’y avait-il pas plus de sécurité là-bas ? C’était une mise en scène
[…]
– Je pense que ça a été fait de haut en bas. Mitch McConnell […]. Je pense qu’ils voulaient faire du grabuge

Chapitres

Informations