Le Forum Economique Mondial change de stratégie médiatique (donc ON GAGNE et on remet les pendules à l’heure)

Le 11 février 2022, le FEM (Forum Economique Mondial) a publié un article où ils avouent que le public a perdu la confiance aux médias de masse et qu’il est indispensable de faire quelque chose pour réparer les dégâts.

Image utilisée par le FEM pour illustrer la difficulté que rencontrent les journalistes aujourd’hui…

Voici un petit extrait de leur article qui semble déconnecté de la réalité car l’intégrité journalistique des médias qui ont changé d’avis de nombreuses fois ou qui ont partagé de la pure désinformation (histoire de collusion Trump-Russie) n’est jamais remise en question. C’est la faute des “propagateurs de fakenews” disent-ils, sous-entendu, les médias indépendants qui démasquent les absurdités et les mensonges propagés par les médias de masse.

“Selon le Baromètre de confiance Edelman 2021 Mise à jour du printemps : Un monde en traumatisme, la confiance dans les médias d’information traditionnels atteint un niveau record.

  • La confiance dans les médias d’information traditionnels est au plus bas, selon la mise à jour de printemps 2021 du Baromètre de confiance Edelman : Un monde en traumatisme.
  • La friction est évidente entre les nouvelles basées sur les faits et la désinformation.
  • Il existe un potentiel pour que les organismes d’information fassent davantage de reportages sur les solutions, écrit Sharon Moshavi, présidente de l’International Center for Journalists.

Alors parlons-en !

L’article continue en sortant les violons pour défendre ces pauvres malheureux journalistes qui devraient être des héros… Je rigole à peine en fait. Ils y croient à fond… alors plutôt que de vous passer juste l’extrait, je vais aussi y répondre au fur et à mesure.

Les violonistes jouent sur le Titanic qui coule…

Extrait :Il n’est pas facile d’être journaliste à l’heure actuelle.

Réponse : En effet, c’est le cas mais la vraie question c’est POURQUOI ?

Extrait : Vous devez faire face à des menaces et à un harcèlement quotidiens venant de tous les coins : des gouvernements répressifs et des autocrates en puissance, des Tweets et des posts Facebook injurieux, ainsi que des menaces physiques et un risque sans précédent d’être tué pour votre travail.

Réponse : Possible, oui mais c’est toujours important de se poser la question “POURQUOI ?” !!! Que dire de ses journalistes qui osaient insulter tous ceux qui ne suivaient pas la propagande étatique en les traitant d’ignorants, bêtes, dangereux et parfois même terroristes ? Avaient-ils la moindre idée de ce qu’ils provoquaient au sein des familles ? Une division affreuse simplement parce que tout le monde n’était pas d’accord avec la rhétorique étatiquo-médiatique. Moi-même je suis victime de cette folie que les médias ont propagée et cette division a touché ma propre famille. Pourquoi ?

Parce que je disais que le virus sortait d’un laboratoire en Chine. Je me suis fait traiter de “complotiste dangereux, raciste (parce que je disais “virus chinois”, comme on dit “grippe espagnole”…) et irresponsable” et ceux de ma famille qui ont cessé d’utiliser leur esprit critique sont tombés dans le piège et m’ont jugé. Je ne parle pas des attaques complètement farfelues qui disaient que je suis d’extrême droite et parfois même néonazi car malgré la fainéantise intellectuelle de ma famille et de mon entourage, ils me connaissaient assez pour savoir que ce sont des bêtises sans nom, mais cela n’a pas suffi pour les réveiller sur la malveillance des médias de masses.

Le problème c’est que j’avais raison et les mêmes qui m’attaquaient au début ont fini par dire la même chose que moi, un an plus tard. Ont-ils pensé demander pardon de m’avoir attaqué injustement ? Cachés derrière leurs petits ego et en utilisant des arguments de très très mauvaise foi, ils ont tout fait pour éviter de nous donner raison, allant jusqu’à nous traiter de narcissiques. Bien entendu, les mêmes membres de ma famille et de mon entourage ont suivi la facilité de la lâcheté médiatique pour ne pas me donner raison et ont fini par entrer dans l’orchestre symphonique des perroquets intellectuels qui répètent au mot près ce que la télé leur dit, en se l’appropriant. L’extrême polarisation avait commencé…

Je parle de moi car je suis un parmi des centaines de milliers qui se sont retrouvés “exclus” de la société, pointés du doigt par ces journalistes… Des amitiés ont touché à leur fin, des familles ont été détruites à cause de la polarisation provoquée par ce genre d’attitudes de la part des médias de masse.

Le problème c’est que j’avais aussi raison quand j’ai dit à TF1 que la vaccination et le pass seront obligatoires. Maintenant tout le monde le sait mais quand je le disais, le vaccin n’existait pas encore. Ajoutez à ça l’effort de discréditer notre travail en faisant croire au public de TF1 que notre source était un archevêque complètement hors de son domaine de compétence… Regardez cette petite vidéo. Elle vaut le détour.

On parle aussi de la désinformation apportée par les médias de masses sur la collusion de Trump avec la Russie ? Pareil là aussi. Nous, on disait qu’il s’agissait d’un effort de manipulation de l’opinion publique pour cacher des choses mais là aussi, on nous attendait avec un tas de noms pas très jolis.

Article du 06/10/202

Et voici le titre d’un des rares médias de masse qui a couvert la suite de cette affaire (date du 13/02/2022) :

(article traduit ici : Infotrad.fr)

Et que dire de toutes ces théories de complot qui allaient jusqu’à inventer des histoires complètement farfelues ? Aujourd’hui cette histoire est avérée fausse FACTUELLEMENT !!! Mais ont-ils pris la peine de rectifier le tir ? De demander pardon d’avoir induit en erreur ? On aime ou on aime pas Trump, les mensonges ne sont jamais une solution.

On continue ou c’est bon ?

Il y a tellement d’exemples… Alors pourquoi le public a perdu la confiance aux médias de masse ? C’est en effet à cause de la désinformation mais celle-ci, elle vient des médias de masse. Bien entendu qu’il y a des gens plus ou moins malveillants ou inconscients qui se sont improvisé “journalistes” et parlent de toutes sortes de théories folles, notamment chez les “Qanon”, un mouvement qui propage de la désinformation et des théories folles basées sur rien.

Alors oui, je parle de moi car je suis la partie émergée d’un iceberg composée par de plus en plus de gens. Actuellement, nous sommes des millions à avoir compris que nous ne pouvons pas compter sur les médias de masse pour comprendre la vérité, et ces derniers sont entrés en guerre avec nous. Ils nous insultent, harassent, menacent… Donc ce que les journalistes “subissent” aujourd’hui, ils l’ont provoqué eux-mêmes !!! Ils ont toujours menti, accusé, insulté mais ils n’ont jamais demandé pardon et cela a polarisé la société comme jamais auparavant. Les journalistes ne sont plus neutres, ils défendent un camp (le journalisme est devenu de la propagande) et en le faisant, ils ont un camp en face d’eux !!!

Donc oui, je parle de moi. Tapez mon nom (Leonard Sojli) sur votre moteur de recherche et vous verrez les insultes, les menaces, les diffamations… Le pire c’est que les mêmes vont ensuite dire que je fais ça pour me mettre en avant. Il faut réellement être profondément stupide pour croire à une telle chose. Ce que je fais vient avec des attaques complètement injustes et injustifiées. À cause de ces attaques, ma vie est devenue extrêmement compliquée et je n’arrive même plus à louer un appart à mon nom car dès que le proprio fait une recherche sur moi, il prend peur à cause des mensonges qu’il trouve sur internet, mensonges propagés par ceux qui se plaignent aujourd’hui d’être attaqués… C’est pareil pour tous ceux qui font la même chose que nous et aussi, pour tous ceux qui sont dans la même lignée que nous, celle de la recherche de la vérité dans un monde qui essaye de nous endormir.

Le FEM en pleine hallucination

“La polarisation politique accrue et un marais de désinformation en sont en grande partie responsables, il est vrai. De plus en plus, les journalistes ne sont pas considérés comme des voix indépendantes, mais perçus comme ayant des agendas cachés, ce qui les rend “avec nous ou contre nous”. Pendant ce temps, les informations fondées sur des faits sont en concurrence avec la désinformation qui suscite la rage et pousse à l’action. Certains “mauvais acteurs” s’attaquent activement à la crédibilité des journalistes – et y parviennent trop souvent, grâce à l’environnement favorable de l’écosystème des réseaux sociaux d’aujourd’hui.”

Je réponds juste à ça : “Pendant ce temps, les informations fondées sur des faits sont en concurrence avec la désinformation qui suscite la rage et pousse à l’action.

Ah bon ? Parce que les seuls qui permettent à la violence de se propager, ce sont les réseaux sociaux et aussi les médias qui appellent à des individus d’aller faire la guérilla en Ukraine… Qui pousse réellement à l’action ?

Le FEM appel à repenser les rapports

“Ils” y vont à fond la caisse, utilisant le Pape comme base de leurs idées. (rappelez-vous comment j’ai été attaqué pour cette lettre de l’archevéque Vigano…)

“Une suggestion vient d’une source inattendue : le pape François. Le pontife a récemment formulé une vision du journalisme qui vise directement à reconstruire une culture de la confiance. La mission du journaliste, a-t-il dit, est “d’expliquer le monde, de le rendre moins sombre, de faire en sorte que ceux qui y vivent le craignent moins et regardent les autres avec plus de conscience, et aussi avec plus de confiance”. En d’autres termes, ne vous arrêtez pas à la découverte de faits sombres ; apportez aussi la lumière.”

Et ils continuent avec quelques propositions

  • Combattre la désinformation de front. Les salles de rédaction pourraient adopter une approche plus globale de la couverture de la désinformation, en examinant l'”infodémie” de la même manière qu’elles ont abordé tous les aspects de la pandémie du COVID-19. Elles peuvent dénicher les chiffres qui se cachent derrière les campagnes de désinformation et rapporter régulièrement des histoires comme celle-ci, découverte par des chercheurs, qui a révélé que seulement 12 comptes Facebook, Twitter et Instagram étaient à l’origine de la majorité de la désinformation sur les plateformes concernant les vaccins COVID-19. Imaginez que les rédactions fassent régulièrement ce genre de travail, en identifiant les agents pathogènes de la désinformation dès qu’ils apparaissent, plutôt que d’attendre qu’ils se répandent. Les organes de presse pourraient faire régulièrement équipe avec des chercheurs et des groupes de réflexion disposant de la puissance de calcul et d’analyse nécessaire pour identifier ces tendances sur les réseaux sociaux.

Sous-entendu, au lieu de chercher la vérité, cherchez à attaquer ceux qui la cherchent. Soyez le plus vague possible en le faisant et faites le plus d’amalgames possibles. Parlez de la même manière de ceux qui démasquent les mensonges que de ceux qui parlent de terre plate et de réptiliens sur la lune… C’est exactement ce qu’ils viennent de dire avec ce point !

  • Mieux se connecter avec le public. Les recherches montrent que les gens s’intéressent davantage aux nouvelles lorsqu’un article journalistique répond à la question que tous les lecteurs se posent souvent instinctivement : “Qu’est-ce que cela signifie pour moi ?” Pourquoi ne pas faire plus d’histoires qui prennent une grande question et la ramènent à son impact sur une communauté et moins de couverture politique de type course de chevaux ? Un exemple : Code for Africa, une organisation d’engagement civique, lance régulièrement des projets axés sur les données qui, par exemple, aident les gens à calculer l’écart de rémunération entre les sexes dans n’importe quel pays africain, ou à voir les prix concurrents des médicaments dans les pharmacies près de chez eux.

Là, il s’agit d’une demande de ne pas trop entrer en profondeur des sujets, pas trop de détails, mais de parler de ce qui est censé intéresser les gens. En gros, “caressez-les dans le sens du poil”. Il s’agit d’une technique de manipulation, pas une technique de média. Les infos ne sont pas là pour “plaire”, non ?

  • Mettez la confiance dans le cadre. Dans chaque article, les journalistes doivent se demander : “Comment puis-je aborder cet article de manière à ce que les gens lui fassent confiance ?” Il peut s’agir de mettre en avant des solutions plutôt que des problèmes, d’inclure une diversité de voix et d’impliquer directement le public dans le reportage – en faisant appel à la participation de la communauté, par exemple.”

En gros, oubliez la vérité complètement et cherchez à plaire à tout prix. Gagner la confiance devient la cible la plus importante et la vérité passe au deuxième plan… Tout est dit, n’est-ce pas ?

Et ils continuent… Éditer pour la transparence

  • “En distinguant mieux l’opinion des simples nouvelles. Comme les articles d’opinion et les analyses de l’actualité ont proliféré dans tous les types d’organes d’information, les possibilités de confusion de l’audience se sont multipliées. Dans une étude de 2018, seulement 43 % des personnes ont déclaré pouvoir distinguer facilement les nouvelles des opinions sur Twitter et Facebook.”

Un appel de passer plus les opinions comme des nouvelles ? Seulement une minorité arrive à faire la difference alors… “Ils ne se rendront même pas compte alors allez-y”…

  • Adhérez à des efforts tels que le Trust Project, un consortium qui a développé une série de huit “indicateurs de confiance” que les organismes de presse peuvent utiliser pour montrer qui et quoi se cache derrière une nouvelle. Des recherches menées par l’Université du Texas à Austin ont montré que ces indicateurs améliorent la crédibilité d’un média. Les indicateurs auxquels le public a prêté le plus d’attention sont “la description de la raison pour laquelle l’histoire a été écrite (remarquée par 44 %) et les informations sur le projet Trust (remarquées par 43 %).” Le projet, qui a été lancé en 2017, ne compte à ce jour que 200 partenaires médias dans le monde. L’année 2022 devrait voir ce nombre croître bien davantage.

Je traduis pour ceux qui n’ont pas compris : “Centralisons encore plus le contrôle de l’information à travers des institutions qui ne veulent rien dire et qui œuvrent avec le plus de médias possible. Aucune divergence d’opinions sera acceptée dans le futur. Déjà, plus de 200 médias ont fait ce choix alors, allez-y…”

  • Mesurez et communiquez l’impact des nouvelles. Faire le suivi de l’impact d’une histoire relève du bon sens éditorial, qu’il s’agisse d’un grand reportage d’investigation ou d’une histoire purement locale sur un problème ordinaire. Un média brésilien, Gazeta do Povo, a tenté de le faire il y a quelques années, en produisant un bulletin d’information sur l’impact pour son public. Un effort de journalisme citoyen en Inde, CGNet Swara, a suivi des centaines d’impacts tangibles de ses reportages (électricité rétablie, enseignants payés) et en informe son public.

Je traduis là aussi : “Analysez et aidez-nous à améliorer la manipulation de l’opinion publique en nous disant ce qui marche et ce qui ne marche pas…”. En gros, on ne parle même plus d’investigation journalistique ou rien de ce genre… C’est la folie totale. Le ministère de la vérité arrive et le FEM demande sa mise en place !

Puis ils parlent de la distribution…

Extrait : “Dans le monde actuel dominé par les réseaux sociaux, le contrôle de la distribution du contenu est devenu un défi complexe que de nombreux organismes de presse peinent à relever. Une étude de l’Institut Reuters montre, sans surprise, que les nouvelles sont moins fiables lorsqu’elles sont vues sur des plateformes de réseaux sociaux infestées de désinformation. Les médias ont tenté de réagir avec des notifications push et des bulletins d’information à gogo, atteignant les lecteurs via leurs téléphones et leurs boîtes de réception. C’est un début. Mais le journalisme doit faire preuve de plus de créativité pour trouver d’autres moyens de mieux contrôler la distribution de son produit…”

En gros, bombardez le public avec vos informations. Surchargez leur cerveau avec votre version des faits. Encore une fois, l’aspect investigation passe de plus en plus au fond des priorités journalistiques…

  • “Créer des consortiums. Nous avons vu d’excellentes collaborations éditoriales comme les Panama et Pandora Papers. Mais il existe d’autres types de collaborations, axées sur la distribution et le co-branding, qui pourraient aider à établir de meilleures connexions avec les lecteurs. Ces collaborations pourraient prendre la forme d’expériences telles que l’Ohio Local News Initiative, qui regroupe sous un même toit de petits médias et des groupes communautaires dans tout l’État. Ou l’effort des plus grandes entreprises médiatiques de Suisse pour créer une connexion unique pour tous leurs sites afin de retrouver un lien direct avec les lecteurs. Des initiatives de ce type pourraient également arracher le public à ses propres chambres d’écho et le diriger vers de nouvelles sources d’information. Ou considérez #FactsMatter, qui réunit des vérificateurs de faits et des organismes d’information au Nigeria avec des influenceurs de réseaux sociaux (c’est-à-dire des messagers de confiance) pour aider à transmettre les informations exactes qu’ils produisent à de plus larges audiences.”

Je traduis parce qu’ils jouent bien avec les mots, hein ? : “Formez des orchestres symphoniques de perroquets de l’information avec d’unir vos petits bouts de crédibilité, pour créer des plus gros bouts de crédibilité…”. Il s’agit de centraliser l’information en faisant croire qu’elle vient de multiples sources. Une technique de manipulation pure !

  • “Voyez grand. Les organismes de presse sont entrés tardivement dans l’ère numérique et n’ont cessé depuis de rattraper leur retard. Pourtant, quelques francs-tireurs journalistiques étaient en avance sur leur temps. Roger Fidler, de l’entreprise Knight Ridder (WIKI) aujourd’hui disparue, a inventé la tablette dans les années 1990, 15 ans avant Steve Jobs, mais les salles de rédaction étaient trop grasses et heureuses pour y prêter attention. Nous devons raviver ce genre d’esprit d’innovation – et cette fois, soutenir les grandes idées qu’il génère. Nous ne savons pas encore ce que sera la “Next Big Thing” (La prochaine grande affaire). Ce que nous savons, c’est que le temps de la complaisance est révolu depuis longtemps.”

Clairement, le message ici c’est “Innovez vite parce qu’on est dans la merd… en difficulté !”

Et pour finir, ils avouent que la vérité n’est pas le sujet…

Extrait : “LA CONFIANCE DOIT ÊTRE PLACÉE AU CENTRE DE CHAQUE ASPECT DE L’ENTREPRISE JOURNALISTIQUE, DU REPORTAGE ET DE L’ÉDITION AU MARKETING ET À LA DISTRIBUTION.”

Non, ce n’est aucunement la vérité qui les intéresse. C’est gagner l’attention du public pour pouvoir mettre ce qu’ils veulent dans la tête des gens… Triste… Ils finissent en disant clairement que la véracité de l’information ne doit plus être au centre de l’information. C’est la confiance du public qui prime avant tout… Tout est dit !

“Quoi que vous pensiez de ces idées spécifiques, l’idée générale doit être claire : le renforcement de la crédibilité journalistique ne peut pas être une réflexion après coup, quelque chose vers quoi les médias d’information se tournent après avoir fait le “vrai travail”. C’est le vrai travail des organismes d’information et de ceux d’entre nous qui les apprécient et les soutiennent. La confiance doit être placée au centre de chaque aspect de l’entreprise journalistique, du reportage et de l’édition au marketing et à la distribution. Les enjeux sont élevés. Le journalisme est confronté non seulement à une crise de confiance, mais aussi à une crise financière existentielle. Pourtant, les gens sont beaucoup plus susceptibles de payer pour des nouvelles auxquelles ils font confiance. Résolvez une crise, et vous pourriez bien résoudre l’autre.”

Tout est dit, n’est-ce pas ? Si vous êtes arrivé jusqu’ici, vous avez compris l’importance de cet article. Nous vous prions de le partager car ce que demande le FEM n’est ni plus ni moins, la transformation totale et officielle des médias de masse vers un outil de propagande où la vérité n’est pas le centre. C’est écrit noir sur blanc. Ils ne se cachent même plus…

Les DéQodeurs
Sojli Léonardo

8 ways to rebuild trust in journalism
There is potential for news organizations to do more reporting on solutions, writes Sharon Moshavi, president of the International Center for Journalists.

Chapitres

Informations