Article original datant du 11/07/21
Mary W. Maxwell : Le procès de Trump contre Twitter est un chef-d’œuvre. Il va nous sauver !
Ce procès est superbe. Il est brillant. Il va résoudre le problème de la liberté d’expression. Merci, Twitter, d’avoir commis une erreur aussi flagrante en interrompant la communication d’un président des États-Unis en exercice. Merci, Jack Dorsey, d’avoir cédé à la pression de la sénatrice (à l’époque) Kamala Harris, du sénateur Richard Blumental, de Nancy What’s Her Name (Référence à Nancy Pelosi, NdT) et du CDC (Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies Infectieuses), de manière à rendre possible cette éclatante plainte devant les tribunaux. Merci au CDC, d’avoir été comme d’habitude horrible, et d’avoir fait le plus grand mal possible aux citoyens.
Je vous ai eu. Vous êtes finis, tous autant que vous êtes.
Je suis une républicaine conservatrice. Vous serez peut-être surpris d’apprendre que je pense que Donald Trump était un mauvais président. Le « Muslim ban » m’a sidérée, tout simplement sidérée. Je n’ai jamais eu l’impression que le président savait, ou se souciait, de ce qui était dans la Constitution. Je l’ai poursuivi en justice (Maxwell contre Trump) en 2017 à cause de sa menace d’attaque nucléaire contre la Corée du Nord. Son déménagement de l’ambassade américaine en Israël de Tel Aviv à Jérusalem était un sacrilège pour les gens des trois religions abrahamiques. Le fait qu’il ait choisi John Bolton pour la sécurité nationale a été un choc. Je suis actuellement en appel (Maxwell contre le secrétaire à la Défense) contre la vaccination obligatoire.
Je me suis présentée contre Trump lors de la primaire du New Hampshire de 2020 pour la nomination présidentielle républicaine. J’étais heureuse que Trump n’ait pas obtenu un second mandat, même si je trouve l’administration de Biden horrible et surréaliste. Je sais avec certitude que l’élection a été volée et que les « émeutes » au Capitole, le 6 janvier 2021, ont été le fait d’agents provocateurs. Et d’ailleurs, je déteste la partisanerie qui est devenue puérile des deux côtés. Cette « Westminsterisation » (en référence au système parlementaire de Westminster, dans lequel le « cabinet » prend seul toutes les décisions de l’exécutif) de notre Congrès a fait du gouvernement représentatif une blague.
C’est un Wow
Cela dit, l’affaire « Trump contre Twitter » est une véritable solution constitutionnelle à de nombreux problèmes. Même si elle n’aboutit jamais – bien que je m’attende à ce qu’elle aboutisse – l’accomplissement est déjà là. Ci-dessous, je vais imprimer l’intégralité, ou presque, de ses 9 000 mots, en sautant quelques points qui étaient répétitifs. J’ai mis en gras les très nombreux points excellents soulevés par la toute nouvelle équipe juridique de Trump. Ils devraient recevoir, j’ose dire qu’ils recevront, des médailles d’honneur. Je leur tire mon chapeau « Maxwell » du contentieux.
Voici l’essentiel de l’affaire, en neuf points :
- Point n°1. Comme tout le monde le sait, Twitter a coupé la communication entre le président (de l’époque) Donald J. Trump et ses 88,9 millions d’abonnés à Twitter.
- Point n° 2. Ils l’ont fait en vertu de la section 230 de la loi sur la décence des communications de 1996, qui protège de toute responsabilité les sociétés de médias sociaux qui censurent quelqu’un de manière inconstitutionnelle.
- Point n°3. C’est nouveau pour moi – les sociétés de médias sociaux (par exemple, Twitter et Facebook) ont été dotées de cette astuce, dans la section 230, POUR FAIRE EN SORTE QUE LA CENSURE POLITIQUE EXISTE. (Je m’évanouis !)
- Point #4. Les membres du Congrès (y compris Adam Schiff, célèbre grâce à l’impeachement, oh s’il vous plaît) ont intimidé Jack Dorsey pour qu’il mette en place le bannissement, contre son meilleur jugement. Ils l’ont menacé de toutes sortes de pertes d’affaires et d’embarras personnel – comme c’est leur habitude.
- Point n°5. « Les « législateurs » ont fait connaître leur volonté d’empêcher la publication de « fausses informations » sur le COVID-19, notamment le manque de sécurité et d’efficacité de l’hydroxychloroquine et l’utilisation de masques faciaux », et de « remettre en question l’intégrité et les résultats de l’élection présidentielle de 2020. »
Mon Dieu.
Stop aux mythes.
Le CDC engage des messagers et des partenaires locaux pour contenir la propagation de la désinformation et s’assurer que les principales parties prenantes disposent d’informations essentielles sur les vaccins.
Nouveaux investissements et partenariats– Travailler avec des entreprises de médias sociaux pour promouvoir des informations fiables sur les vaccins.
– Fournir des informations précises et accessibles sur les vaccins aux responsables politiques des États.
– Engager les responsables de la santé au niveau de l’État et des collectivités locales pour promouvoir des réponses locales efficaces à la désinformation.
Le CDC est mentionné dans le procès, quant à son contrôle sur la communication des Américains.
Le CDC (que je vomis) n’était pas un spectateur innocent. Au paragraphe 77, on trouve :
« Point n° 6 : Le CDC a déclaré publiquement qu’il travaille avec des « partenaires des médias sociaux », dont Twitter, pour « freiner la propagation de la désinformation sur les vaccins. » Dans un document daté du 11 octobre 2019, le CDC a expressément déclaré qu’il « engageait … des partenaires » pour « contenir la propagation de la désinformation [sur les vaccins] » et indique spécifiquement que le CDC « travaillerait avec des entreprises de médias sociaux » à cette fin. »
Il y a un véritable contenu constitutionnel ici, comme dans la fabrication de la culture, par exemple, au paragraphe 61 de la poursuite, nous lisons :
« Point #7. En bannissant le plaignant, les défendeurs ont rendu plus difficile la communication directe avec le public américain. Notre discours national devient incommensurablement plus altéré et unilatéral sur la race, la médecine, le processus électoral, l’économie, l’immigration, etc. «
Quel soulagement de voir cela imprimé – dans une cour de justice. Et ce précédent de toute beauté au paragraphe 114 :
« Point n°8. En censurant le discours spécifique en cause dans ce procès et en bannissant le plaignant, les défendeurs ont agi de concert avec des fonctionnaires fédéraux, y compris des fonctionnaires du CDC et de l’équipe de transition de Biden. En tant que tel, les activités de censure des défendeurs équivalent à une action d’état.«
Je n’ai jamais vu cet argument avant. Où ai-je été toute ma vie ?
Vous saviez que je garderais le meilleur pour la fin, concernant M. Facemask (Référence à Anthony Fauci, NdT) lui-même. Je vais essayer de faire en sorte que des arrestations, par des citoyens si nécessaire, suivent. (Oh, vous pensez que vous pouvez m’avoir pour incitation ? Ah oui ? Essayez ! Bannissez-moi). Le corpus delecti à venir est au paragraphe 78 :
« Point #9. Dorsey et Twitter ont agi pour censurer d’autres avis médicaux qui ne soutenaient pas ce récit du Dr Fauci et du CDC, ce qui a pris une nature à la fois politique et médicale, étant donné l’interconnexion entre la politique gouvernementale et l’attente et la science. »
Pensons-nous à une poursuite en vertu de l’article 18 USC 1983 ?
Câlins et baisers pour la Constitution américaine. Tu déchires, James Madison ! Tu brilles, George Mason (« Pères fondateurs » des Etats-Unis, NdT)! Je vous aime tous.
Oups, j’ai oublié de dire que Trump n’est pas le seul plaignant. Dans ce recours il y a également L’American Conservative Union, une plaignante individuelle nommée Linda Cuadros, et ce qu’on appelle la classe putative, un nombre potentiellement énorme de personnes (peut-être certaines d’Australie ? je connais au moins un double citoyen US-AUS) dont les comptes ont été supprimés parce qu’ils ne répondaient pas aux normes de la communauté.
S’il vous plaît, lecteurs, réjouissez-vous avec moi. Cette affaire est imperdable. Elle est déposée auprès du tribunal de district de Floride. Le juge n’a qu’à convenir qu’une injonction est justifiée. Quelle chance il ou elle aura! Son Honneur deviendra célèbre pour avoir sauvé l’Amérique et le monde.
Nos ennuis sont terminés. Amen.
Et voici le procès, un PDF. J’ai mis en gras les sections qui sont significatives.