Tweet de Alexandra Henrion-Caude
Séance ouverte au public
(FDA = Office de contrôle des produits pharmaceutiques et alimentaires)
Steve Kirsch
Fiche LinkedIn et son intervention en anglais, traduction FR ci-dessous
Il commence par vouloir parler de »l’éléphant dans la chambre que personne veut aborder », c.a.d, la mortalité due aux »vaccins » qui indique que les vaccins tuent plus que ce qu’ils sauvent. Il dit qu’on nous a donné l’impression que le vaccin est parfaitement sure, sans effets négatifs, mais cela est loin d’être vrai. Par exemple, il y avait 4x plus de myocardite chez les »vaccinés » dans le groupe d’études du »vaccin » contre placebo. Cela n’est clairement pas du au hasard. Il y a 71x plus d’arrêts cardiaques après la piqûre de ce »vaccin » comparé aux autres vaccins. Il y a eu 20 morts chez les »vaccinés » et 14 chez ceux qui ont pris le placebo, lors des premières études mais peu de gens l’ont remarqué et en ont parlé. Les vaccins, obligations et pass sanitaires sont des absurdités quand on regarde les chiffres.
Source de l’étude | Décès excédentaires nécessaires pour sauver la vie d’un COVIDÉ | Vies sauvées |
Pfizer 6 mois* | 5 | 1 |
VAERS (Effets secondaires dus au vaccin) | 2 | 1 |
Maison de retraite (rappel) | 6 | 1 |
Personnes tuées > Personnes sauvées
Il montre ensuite un tableau (Image ci-dessus) qui indique que même si le »vaccin » était 100% efficace contre les contaminations, les chiffres disent qu’on tue 2 personnes avec des effets secondaires pour sauver 1 vie du COVID. Selon les chiffres venant d’Israël, chez les plus anciens (au dessus de 90 ans), plus de 50% des vaccinés sont morts, contre 0% pour les non vaccinés. Il dit »À moins que vous puissiez expliquer cela aux américains, vous ne pouvez pas approuver les boosters ». Il donne ensuite le cas de Maddie de Garay (Ci-dessous) qui est actuellement paralysée d’une manière permanente suite au »vaccin » de Pfizer qui a refusé catégoriquement de lancer une quelconque recherche sur son cas. Il finit en précisant que des traitements existent et il donne la différence entre Israël qui préfère le »vaccin » contre l’Inde qui préfère des traitements préventifs. Israël est actuellement en grosse difficultés alors que l’Inde est sur le point d’ouvrir complètement.
Pourquoi la FDA n’a-t-elle pas enquêté sur la fraude du procès de Maddie de Garay ?
1 – Elle était en phase 3 du test pour le vaccin Pfizer chez les 12-15 ans
2 – Elle était l’un des 1131 enfants du groupe de traitement
3 – Elle a été paralysée moins de 24 heures après sa deuxième injection Pfizer, mais Pfizer a déclaré que son cas était une « douleur abdominale » et non une « paralysie permanente »
4 – Aujourd’hui, elle ne sent plus rien en dessous de la taille, elle ne peut pas tenir sa tête en l’air toute seule, elle doit s’alimenter par une sonde
5 – Il n’est pas certain qu’elle s’améliorera avec le temps
6 – Les médecins ne savent pas comment la soigner
7 – Elle n’a jamais été éjectée du programme de test
8 – La commissaire de la FDA, Janet Woodcock, a promis une enquête
9 – Elle n’a jamais été contactée par la FDA ou le CDC au sujet de l’allégation de fraude
10 – Elle a reçu 0$ en compensation. ZÉRO
Et voici les autres interventions mentionnés ci-dessous en français. Nous vous prions de partager cette vidéo au maximum 🙏
Les intervenants sont invités à une transparence importante (travaillent-ils pour une quelconque compagnie pharmaceutique ?)…
Rajesh K. Gupta Ph. D
Il explique que les caractéristiques du virus telles qu’elles sont présentées afin de justifier le »vaccin » et le »booster » décrivent plutôt une maladie transmise via des toxines (comme le tétanos). Le principe de vaccination contre le tétanos est similaire à celui présenté pour le Covid sauf que ce dernier est un coronavirus et dans ce cas, l’activation du système immunitaire (vaccin traditionnel, on injecte l’ADN du virus pour que le corps puisse le détecter et développer les défenses nécessaires). Il explique également que cette méthode de vaccination réduit considérablement la protection contre des variants qui sont eux-mêmes causés par des mutations du au »vaccin » ARNm qui est assez puissant pour empêcher temporairement le virus mais pas assez pour l’éliminer, ce qui permet au virus de muter plus facilement. Il dit que selon son analyse, le booster ne sert à rien, si ce n’est que d’empirer la situation pour la majorité.
Dr. Jessica Rose
Titulaire d’une licence en mathématiques appliquées et a obtenu une maîtrise en immunologie à l’université Memorial de Terre-Neuve au Canada. Elle a obtenu son doctorat en biologie informatique à l’université Bar Ilan, puis a effectué son premier post-doctorat en biologie moléculaire à l’université hébraïque de Jérusalem.
Elle effectue actuellement un second post-doctorat au Technion, où elle explore la structure et la fonction des protéines de transport dans les bactéries d’un point de vue expérimental et computationnel)
Elle apporte un graphique (Ci-dessous) qui donne les chiffres concernant les effets secondaires des »vaccins » qui indiquent une augmentation supérieure à 1000% pour les effets secondaires et plus de 4600% pour la mortalité due aux »vaccins » en 2021 et l’année n’est même pas finie. Les chiffres datent du 3 septembre donc il manque encore les 4 derniers mois de l’année à compter. Elle explique aussi qu’une personne sur 660 signale des effets cardiovasculaires à cause de la piqûre. Elle continue sur l’apparence des nouveaux variants venants des pays majoritairement »vaccinés » comme l’Israël et elle démontre un lien entre la piqûre et le développement des variants.
Retsef Levi
Il explique que les études concernant le ‘booster » en Israël ont été faites dans des conditions scandaleuses qui les rendent complémentent inutiles. Il conseille de ne pas les prendre en compte et il indique que le ministre de la santé du gouvernement israélien n’a pas trop envie de réparer les problèmes concernant le système de signalisations des effets secondaires. Il explique que ces études à la base concernaient uniquement une population âgée de plus de 60 ans car Israël avait décidé de leur donner le booster mais qu’avant le début de la distribution, au dernier moment, ils ont décidé de le passer pour les plus de 12 ans afin qu’ils puissent maintenir leur pass sanitaire.
Il n’y a pas de surveillance des effets secondaires sur la population entre 12 et 60 ans donc l’étude est complètement inutile. Cependant, c’est cette étude qui est utilisé pour promouvoir le booster dans d’autres pays. Il demande à ce que les commentaires du milieu politique sur un quelconque succès ne doivent pas être pris pour des déclarations scientifiques car si ils disent aujourd’hui que le booster est super et qu’il fonctionne, il disaient pareil pour le »vaccin » il y a 6 mois et on sait par expérience que ce n’était pas vrai, si l’on se base sur les chiffres. Israël souffre de contaminations plus que des pays avec un taux de vaccination 5x inférieur. Il déconseille fortement le déploiement du booster avant plus d’études sérieuses sur les effets secondaires.
Dr. Joseph Fraiman
Il précise qu’il vient de la Nouvelle Orleans où plus de 65% des gens ne sont pas vaccinés. Il vient demander de l’aide afin de réduire l’hésitation sur la vaccination. Il dit qu’il sait qu’on pense souvent que ceux qui hésitent à prendre le vaccin sont stupides ou mal informés mais dans sont expérience, ce n’est pas du tout ce qu’il a vu. Selon son expérience, les »hésitants au vaccin » sont beaucoup plus informés que les »vaccinés », avec une meilleur compréhension des risques et une meilleure connaissance des études. Beaucoup de ses infirmiers ont refusé le »vaccin » malgré ce qu’ils ont pu voir concernant le Covid. Quand il leur demande pourquoi, ils répondent qu’ils ne représentent pas de risque, justement parce qu’ils ont vu que le Covid est dangereux pour ceux qui souffrent déjà d’autres symptômes comme l’obésité, le diabète…
Risque de COVID-19 à 90 jours :
Femme de 30 ans en bonne santé
Risque absolu (a)
Décès du à COVID ; 0,0004% ; 1 sur 250000
Admission à l’hôpital du à la COVID ; 0,0143% ; 1 sur 6993
Une de ses infirmières lui a montré cette étude de Oxford University (Ci-dessus) et lui a demandé si il peut lui garantir que le risque d’effets secondaires du »vaccin » est inférieur à celui d’attraper le virus et de finir à l’hôpital. Il explique qu’il a été très frustré de constater qu’il ne pouvait pas lui garantir quoi que ce soit car il n’y a pas assez d’études de bonne qualité. Une autre étude montre (Ci-dessous) que le risque d’une myocardite due au »vaccin » est plus élevé chez les jeunes que le risque d’effets graves à cause du virus. Il continue sur le fait que les »vaccins » ont été approuvés car ils étaient sensés réduire la mortalité et les infections sauf qu’aujourd’hui, tout le monde sait que ce n’est pas le cas. Il finit sur une demande urgente d’aide afin de réduire la hésitation contre le »vaccin » et il demande à ce que des études soient faites afin de convaincre le public pour se faire »vacciner » car actuellement, les médecins n’ont pas d’argument pour faire taire les activistes anti-vax qui disent que le »vaccin » fait plus de mal que de bien, surtout chez les plus jeunes et en bonne santé. »Si nous n’avons pas les études nécessaires pour prouver que ces gens se trompent, nous devrions tous être terrifiés ».
30 août 2021
Myocardite associée à la vaccination par l’ARNm du SRAS-CoV-2 chez les enfants âgés de 30 à 17 ans : Une analyse stratifiée de la base de données nationale
Auteurs : Tracy Beth Hoeg MD, PhD1 : Allison Krug, MPH2 ; Josh Stevenson3 ; John Mandrola, MD4
[…] comme au cours du mois de janvier 2021. Pour les garçons de 16-17 ans sans comorbidités médicales, le taux de CAE est
actuellement 2,1 à 3,5 fois plus élevé que leur risque d’hospitalisation à 120 jours dans le cadre du COVID-19, et 1,5 à […]
Liens de Rudy
Au moment où les CDC ont cessé de recenser les cas de personnes vaccinées ayant contracté le COVID-19 et ayant été hospitalisées, de nombreuses personnes se sont demandées pourquoi ? Il est évident que si l’on cesse d’enregistrer les cas d’hospitalisation de personnes vaccinées, on aura l’impression que seules des personnes non vaccinées sont hospitalisées en raison des variantes figurant dans les registres du CDC. Cela biaise les données et donne la fausse impression que seules les personnes non vaccinées sont infectées et/ou malades…..
…Ce qui est exactement ce qui s’est passé.
Le discours de l’industrie médicale et des médias sur le variant Delta COVID-19 était que les personnes non vaccinées aux États-Unis constituaient la majorité du groupe à risque. Les données soutenaient ce récit, car les cas de percée n’étaient plus enregistrés. L’approche vaccinale est ainsi mieux perçue. L’approche consistant à ne pas comptabiliser les hospitalisations liées aux cas de percées permet également aux sociétés pharmaceutiques de mieux paraître ; leur vaccin semble plus attrayant et plus efficace.
Cependant, un autre aspect a fait surface aujourd’hui, qui met en évidence la force de la motivation à cesser d’enregistrer ces cas de percées ; il explique également pourquoi certains des principaux dirigeants de la FDA ont quitté leur emploi plutôt que de participer.
Lorsque le panel d’approbation des vaccins de la FDA a reçu l’instruction initiale d’utiliser les données d’efficacité dans le but d’évaluer la demande de piqûre de rappel pour le vaccin Pfizer, il a reçu l’instruction de ne regarder que les données des États-Unis.
Sachant que le CDC ne suivait plus les cas de percée aux États-Unis, cela signifiait que le panel d’approbation du vaccin de la FDA n’évaluait que l’efficacité de Pfizer et la question des hospitalisations autour du groupe non vacciné. Si cette approche avait été maintenue, le panel aurait déterminé l’efficacité des vaccins aux États-Unis sans tenir compte de la mesure clé : le vaccin Pfizer semblerait plus efficace qu’il ne l’est en réalité, car la mesure des vaccinés et des hospitalisés a été supprimée.
Ces données faussées ressemblent à une décision intentionnelle – pour cette raison intentionnelle spécifique. Le CDC essayait de faire croire que les vaccins étaient plus efficaces pour éviter les hospitalisations. Il s’agit d’une manipulation politique consistant à modifier un élément clé de l’enregistrement des données. Cela semble être la raison pour laquelle les fonctionnaires de la FDA ont démissionné, plutôt que de participer à une science manipulée politiquement.
Ce scénario s’est produit aujourd’hui lors du rejet par la FDA d’un rappel Pfizer, lorsque le panel d’approbation des vaccins de la FDA a finalement eu gain de cause et a été autorisé à examiner d’autres données que celles manipulées aux États-Unis. Bien que le CDC ait cessé de suivre les données relatives aux personnes vaccinées et hospitalisées aux États-Unis, le panel a été autorisé à prendre en compte les résultats relatifs aux personnes vaccinées et hospitalisées au Royaume-Uni et en Israël.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) surveillent actuellement les hospitalisations et les décès, toutes causes confondues, chez les personnes entièrement vaccinées contre le COVID-19, mais pas les infections pernicieuses, qu’ils ont cessé de surveiller depuis le 1er mai. Les CDC présentent ces données sous forme agrégée au niveau national, mais pas par État, et il n’existe pas de dépôt public unique pour les données par État ou les données sur les infections pernicieuses, puisque les CDC ont cessé de les surveiller.
Un cas de percée est un cas dans lequel une personne est atteinte d’une maladie bien qu’elle ait reçu le vaccin contre cette maladie. En d’autres termes, le vaccin ne parvient pas à empêcher la personne d’être infectée.
Pour être clair : dans les cas de percée (et en général), l’infection ne provient pas du vaccin – la personne est infectée (par l’une des voies habituelles) malgré la présence du vaccin dans son organisme.