Les responsables des “coups bas” contre Trump doivent faire face aux conséquences

Article original datant du 18/02/22

L’ancienne première dame, candidate à la présidence et secrétaire d’État Hillary Clinton prend la parole lors de la convention démocrate de l’État de New York 2022, en début de semaine.

Dirty tricks” (mauvais tours, coups bas) était un terme utilisé pour décrire le comportement des agents de l’administration Nixon visant à salir la réputation des opposants et à saper l’attrait de certains hommes politiques. Il y a cinquante ans, ces “coups bas” incluaient une fausse allégation selon laquelle le sénateur Henry “Scoop” Jackson (Elu démocrate de l’Etat de Washington) avait eu un enfant illégitime avec une jeune fille de 17 ans et le cambriolage du siège du Comité National Démocrate dans le complexe du Watergate à Washington, DC, lorsque des assistants et des agents de Nixon ont tenté de trouver des documents que l’équipe de Nixon pourrait utiliser contre ses “ennemis” présumés.

Les “coups bas” ne doivent pas être confondus avec les campagnes négatives, qui ont au moins une part de vérité, mais un dépôt de plainte de l’avocat spécial John Durham qui allègue que la campagne présidentielle de 2016 d’Hillary Clinton a payé une entreprise de technologie pour “espionner – le mot que Donald Trump utilise – la campagne présidentielle de Trump, va au-delà des “coups bas” dans l’illégalité.

Le représentant Adam Schiff parle alors que des membres du Congrès partagent leurs souvenirs de l’émeute du 6 janvier au Capitole.

Dans un document judiciaire, M. Durham affirme que le but des allégations de “collusion” russe était d’établir un “narratif” entre le candidat républicain à la présidence de l’époque, M. Trump, et la Russie. Trump s’en est défendu à l’époque et à de nombreuses reprises depuis, notamment lors d’une interview avec Lesley Stahl sur “60 Minutes“.

Stahl a déclaré qu’il n’y avait “aucune preuve” de l’affirmation de Trump. Trump a dit qu’il y en avait et que son travail était d’enquêter et de les trouver. Maintenant qu’il y a au moins une allégation crédible, Stahl va-t-elle apporter une correction ? Il est peu probable, et il n’est pas non plus probable que d’autres grands médias, qui ont brandi l’histoire de la collusion russe, reconnaissent leur erreur. Il s’agit notamment du Washington Post, du New York Times, de CNN, de MSNBC et de NPR, ainsi que de nombreux sites Web libéraux.

Ils semblent avoir leur propre narratif, et il est basé sur une haine viscérale de Donald Trump. Considérez ceci : Donald Trump a été effectivement calomnié en tant qu’agent russe, ou minimalement en tant qu’informateur russe.

Mardi, le New York Times a publié un article sur le rapport Durham sur son site web, mais a semblé le rejeter comme une “nouvelle réchauffée”, une tactique familière souvent utilisée lorsqu’il a fait état des divers scandales de Clinton.

Le Times et le Washington Post ont reçu des prix Pulitzer pour avoir principalement répété les points de discussion des démocrates. Les prix devraient être rendus et les journaux pénalisés en ne leur permettant pas de postuler pour un autre prix pendant au moins 10 ans.

L’ancien directeur du FBI James Comey a témoigné dans le cadre de l’enquête sur la Russie impliquant l’ancien président Donald Trump.

Le représentant Adam Schiff (Elu démocrate de Californie), ne s’est pas couvert de gloire en présidant une enquête du panel de la Chambre sur tout ce qui concerne Trump et en accusant ce dernier à plusieurs reprises de violer des lois. N’attendez pas non plus d’excuses de sa part.

Et puis il y a eu les quatre mandats FISA obtenus en raison d’allégations du directeur du FBI de l’époque, James Comey, et d’autres personnes qui se sont avérées fausses. Le ministère de la justice a admis par la suite que deux des mandats manquaient de cause probable et a déclaré que les informations provenant des quatre mandats ne seraient pas utilisées.

Un éditorial du New York Post a résumé l’affaire : “Une candidate à la présidence (Hillary Clinton) a utilisé le ministère de la Justice du pays pour mener une enquête sur son adversaire politique sur la base de ce qu’elle savait être des mensonges. Des Américains ont été mis sur écoute ! Certains ont été piégés pour de piètres déclarations de parjure. Le directeur du FBI (Comey) s’est rendu dans le bureau ovale pour dire au président qu’une rumeur sexuelle circulait, afin qu’elle soit rapidement divulguée aux médias. “Scandaleux” ne suffit même pas pour décrire cela.

Durham n’a fait que gratter la surface de ce qui pourrait, s’il est prouvé, être le plus grand scandale de l’histoire politique américaine, et ce n’est pas peu dire, compte tenu du comportement politique passé des membres des deux partis.

Le grand jury qui reçoit ces informations va-t-il inculper les hauts responsables ? Les puissants et leurs relations seront-ils enfin tenus pour responsables alors que tant d’autres ont échappé à toute responsabilité par le passé ? Les consommateurs d’informations devront peut-être chercher leurs informations ailleurs que dans les médias grand public, car jusqu’à présent, ils se sont engagés dans une opération de camouflage qui ressemble à celle de Richard Nixon.

Those responsible for the ‘dirty tricks’ against Trump need to face consequences
Durham has only scraped the surface of what could, if proven, be the biggest scandal in American political history, and that’s saying something, given past political behavior by members of both par…

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