Action de grâce pour la sortie de Fauci
Une concession remarquable apparaît aujourd’hui dans le Washington Post :
« la majorité des Américains décédés du coronavirus ont reçu au moins les deux doses initiales du vaccin ».
Les dernières données montrent que 58 % des décès dus au COVID-19 en août 2022 concernaient des personnes qui avaient été vaccinées avec ou sans dose de rappel. Sur la base des chiffres passés et des tendances actuelles, nous pouvons raisonnablement estimer que le nombre de décès dus au COVID-19 de personnes vaccinés/deux doses ou plus ne fera qu’augmenter. (En septembre 2021, les vaccinés représentaient 23 % des décès dus au COVID-19 ; en janvier/février 2022, les vaccinés étaient 42 %).
C’est ce qui se passe lorsque vous vous précipitez sur des vaccins inefficaces et dangereux.
Les promesses d’efficacité de la FDA (WIKI) – 91 % pour le vaccin Pfizer et 93 % pour le vaccin Moderna – ont toujours été fondées sur l’espoir et non sur des données. Il en était de même pour les promesses de sécurité. Au moment des approbations officielles, tant Pfizer que Moderna n’avaient soumis aucun type de chiffres à long terme sur l’efficacité. Leurs essais ont été pollués par la mise au courant des participants des placebos et leurs études de sécurité sont « en cours ».
Maintenant, nous voyons les chiffres d’efficacité s’effondrer dans les mois qui suivent la vaccination. La pandémie est celle des vaccinés. Les rappels ? Ils sont au bénéfice de l’establishment médical et des sociétés pharmaceutiques, car ils masquent les véritables problèmes des vaccins à deux doses.
Même avec ces chiffres, Anthony Fauci, sur le départ, continue de se porter garant du vaccin, déclarant que les données « montrent de manière écrasante l’efficacité des vaccins. »
Fauci : « Si vous regardez les données frappantes, elles montrent en grande majorité l’efficacité des vaccins… »
C’est le même homme qui a exigé la fermeture des écoles, s’est inséré dans l’élection de 2020 en critiquant la réponse de Trump au COVID-19 tout en complimentant la Chine, et a critiqué le gouverneur Ron DeSantis pour avoir rouvert les écoles de Floride.
Pendant tout ce temps, Fauci mentait au public sur les origines du COVID-19. En mai 2020, il a déclaré au National Geographic que le COVID-19 « ne pouvait pas avoir été artificiellement ou délibérément manipulé. »
Ce qu’il n’a pas dit, c’est que lui et les clients du gouvernement américain sabotaient et fermaient la recherche et l’établissement des faits sur la théorie de la fuite de laboratoire. Ce qu’il n’a pas dit, c’est que les communications internes entre lui-même et Francis Collins et Jeremy Farrar, révélées par une demande FOIA (WIKI) de Jimmy Tobias, discutaient de la « transmission accidentelle chez les animaux en laboratoire » et de la façon dont le laboratoire de Wuhan était le « Far West » et pourquoi la fuite du laboratoire était une possibilité sérieuse.
Peut-être aurons-nous la vérité une fois que les Républicains auront pris le pouvoir. Fauci a promis de coopérer mais soyez assurés qu’il continuera à être le petit docteur fuyant. Ensuite, il y a le procès contre l’administration Biden où Fauci fait l’objet d’une déposition aujourd’hui. Il est un peu plus difficile d’éluder les questions d’avocats chevronnés qui vous tiennent pendant huit heures.
Quoi qu’il en soit, demain, à table, en contemplant vos bénédictions et en lorgnant la dinde (C’est Thanksgiving aux Etats-Unis, NdT), remerciez tout particulièrement que ce petit mégalomane ne maudisse plus le public de sa présence.