Article original datant du 18/05/21
Alors que des cas de COVID-19 continuent d’être signalés dans le monde entier, il semble que l’Inde soit devenue un foyer de cas et de décès. Pendant la majeure partie de la pandémie, la Chine, l’Italie et les États-Unis ont enregistré le plus grand nombre de cas de COVID-19, mais l’Inde a récemment connu un pic massif de décès, ce qui a amené de nombreux gouvernements à s’inquiéter d’une nouvelle variante appelée B1.617. Mais alors que les médias utilisent cette nouvelle souche pour susciter la peur chez les citoyens, le gouvernement indien fait preuve de bon sens pour sauver des vies.
Alors que le monde entier observe des experts comme le Dr Fauci s’exprimer sur la situation en Inde, le pays a décidé d’adopter une approche différente, souvent condamnée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Le Ministère Indien de la Santé a mis à jour ses directives sur le COVID-19 pour dire que les patients asymptomatiques devraient envisager de prendre de l’ivermectine. La directive indique qu’il faut prendre 200 mcg/kg (nb de microgrammes multipliés par le poids en kg) une fois par jour, à jeun, pendant 3 à 5 jours pour aider à combattre le virus.
L’agence a également demandé aux soignants dont les patients sont en quarantaine de « prendre une prophylaxie à base d’hydroxychloroquine conformément au protocole et à la prescription du médecin traitant ».
Bien que plus de 200 études aient prouvé que l’hydroxychloroquine était un traitement viable contre le COVID-19, l’OMS et même les Démocrates ont dénoncé cette mesure, estimant que le vaccin était une bien meilleure option. Il convient de noter que Bill Gates participe au financement de l’Organisation Mondiale de la Santé et que lui et Big Pharma ont beaucoup à gagner de la distribution des vaccins. Les profits n’étant que le début de ce qui pourrait être obtenu.
Mais pendant que l’OMS se démène pour promouvoir le vaccin, l’Inde bat lentement le virus, le nombre de cas commençant à s’effondrer. Et elle y est parvenue sans campagne massive ni restrictions farfelues. L’Inde a prouvé que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine peuvent non seulement combattre le COVID-19, mais aussi le tuer quelques heures ou quelques jours après leur administration.
Pourtant, alors que des vies ont été sauvées et qu’une autre crise a été évitée de justesse, Big Pharma et l’OMS ne se réjouissent pas forcément car leur soi-disant vaccin miracle n’est peut-être pas la meilleure solution pour vaincre le COVID-19. Sans parler du manque de recherche et de la liste croissante d’effets secondaires liés à l’administration du vaccin.