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Les choses avancent et ça va très vite. La revue de presse de ce live est hallucinant mais c’est le sujet principal qui va vous intéresser car il est temps de faire preuve de courage et de ne pas faire marche arrière face aux attaques malsaines de la part de certains. ON NE SE LAISSERA PAS FAIRE !!! Venez à 21h et partagez
La revue de presse
Bilan de la vaccination contre le virus chinois en Israël
Pour 100 personnes en Israël, 118 « vaccins » ont été administrés.
Certains considèrent cela comme un succès.
Nos écoliers portent encore des masques
Les non-vaccinés sont des citoyens de seconde classe
Nous devons tous porter des masques PARTOUT, sauf chez nous.
Nous n’avons pas le droit de sortir
Les Gilets Jaunes se sont fait «christophebarbiériser» en direct
L’administration Biden pourrait relancer la construction du mur à la frontière du Mexique
Jordan Peterson transformé en super-vilain dans dans la nouvelle série Marvel
Le Québec a distribué des masques « potentiellement toxiques »
Nous, le peuple, avons le pouvoir lorsque nous nous unissons
Le chemin de la liberté se fait ensemble
Bill Gates soutient un projet visant à « tamiser le soleil »
Dites-nous… La géoingénierie, ce n’est pas un truc de complotiste ?
Doute raisonnable : La consommation de drogue et le dealer de Floyd font trébucher les procureurs
Le prince Philip, mari de la reine Elizabeth II, est mort
Le monde se réveille depuis le départ de Trump
Soyez le changement…
La création de monétaire
Qui veut créer de l’argent en masse ?
Dette éternelle
Que représente la dette publique en France ?
La France s’endette de 2665 euros de plus chaque seconde. Elle s’élève à l’heure où nous parlons à plus de 2536 milliards d’euros et représente un poids de 40.385 par français.
Il est estimé qu’elle atteindrait 2798 milliards en 2021, et représente actuellement 114% du PIB français.
La France s’apprête à rejoindre le club très fermé des pays détenteurs d’une dette supérieure à 120% du PIB.
Combien a remboursé l’Etat de cette dette ?
En 2019, la France a remboursé 30,2 milliards uniquement pour les intérêts, soit environ 1.2% de la dette totale. Cela ne représente que les intérêts.
En parallèle les comptes ne sont pas à l’équilibre. Nous sommes donc obligés de toujours emprunter plus pour combler les déficits.
La France doit aussi rembourser les parts de sa dette qui arrivent à échéance. Selon le ministère de l’économie : «Pour rembourser la part de sa dette arrivant à échéance, L’État emprunte de l’argent sur les marchés financiers notamment par le biais d’obligations du Trésor (OAT) pour financer son déficit. L’argent nécessaire pour couvrir ces besoins est appelé le besoin de financement. En 2014, le besoin de financement de l’État était de 84,8 milliards d’euros dont 74,7 milliards d’euros pour le seul déficit de l’Etat. C’est l’Agence France Trésor (AFT) qui gère la dette de ce dernier.»
Source : https://www.economie.gouv.fr/facileco/comptes-publics/dette-publique
Qui détient cette dette ?
Les non-résidents sont les principaux détenteurs de la dette publique française. Pour l’essentiel il s’agit d’investisseurs institutionnels (fonds de pensions et fonds d’assurance notamment), mais aussi de fonds d’investissements souverains, de banques, voire de fonds spéculatifs. Il n’existe pas d’information publique détaillée à ce sujet.
Une dette éternelle
C’est donc un cercle sans fin. Remis dans ce contexte, que pensez-vous du film dont nous avons regardé un extrait juste avant ?
Depuis 1973 avec la loi «Pompidou-Rothschild», pérennisé depuis par les traités de Maastricht et de Lisbonne, la création monétaire a été privatisée, privant l’Etat de son pouvoir de battre la monnaie et l’obligeant à emprunter sur les marchés en payant des intérêts.
Les banques centrales
La Banque de France, une histoire méconnue
»Le 18 mars, Thiers, son gouvernement et son administration, s’enfuient vers Versailles. Quelques jours plus tard, Gustave Rouland, le gouverneur de la Banque de France les rejoint afin de se mettre à leur service en laissant sur place à Paris, le marquis Alexandre de Plœuc le vice-gouverneur de la banque et toute son administration. Gustave Rouland s’est entouré à Versailles de régents de la Banque de France parmi lesquels on trouve le baron Alphonse de Rothschild, propriétaire de la Banque Rothschild, premier actionnaire de la Banque de France. »
Les Rothschild, un nom qui revient très souvent dans le monde de la finance
‘La dynastie Rothschild est, sans aucun doute, le pionnier de la finance internationale.
Mayer Amschel Rothschild, le premier de la famille à ouvrir une banque, a été honoré par Forbes comme le septième homme d’affaires le plus influent de tous les temps et l’inventeur de la banque moderne qui a introduit « des concepts tels que la diversification, la communication rapide, la confidentialité et le volume élevé. »
Nathan Mayer Rothschild (1777-1836)
Le 2 août 1836, un pigeon voyageur se pose à Londres : « il est mort, » annonce le message enroulé autour de patte de l’oiseau, qui déclenche de fortes fluctuations boursières. Dans les six mois qui ont suivi, une crise financière a secoué l’Europe et les États-Unis, la Panique de 1837, qui va déclencher une dépression économique.
Le député Jean Legendre est-il complotiste antisémite ?
Prisonnier de guerre pendant plus de trois ans sous l’Occupation, il rejoint la résistance : il est membre du réseau Libération dans le département de Seine-et-Oise (groupe « Denais »). Il est élu député de l’Oise de 1945 (jusqu’en 1962), et maire de Compiègne en 1947.
La FED aux Etats-Unis
Le Federal Reserve Act, modifié en octobre 1978 par le Humphrey-Hawkins Full Employment Act, définit ainsi la mission de la Réserve fédérale : « Maintenir en moyenne une croissance des agrégats monétaires et de la quantité de crédit compatible avec le potentiel de croissance de la production, de manière à tendre vers les objectifs suivants :
- un taux d’emploi maximum ;
- des prix stables ;
- et des taux d’intérêt à long terme peu élevés. »
En novembre 1910, six hommes :
Nelson Aldrich – Le sénateur républicain, président de la commission des finances du Sénat.
Arthur Shelton – secrétaire personnel du précèdent
A. Piatt Andrew – professeur d’économie à l’université de Harvard
Henry Davison – associé chez J.P. Morgan
Frank Vanderlip – président de la National City Bank et ancien fonctionnaire du Trésor.
Paul Warburg – Warburg était considéré comme l’une des principales autorités en matière de banque centrale, tant en Europe qu’aux États-Unis, et il a participé activement au mouvement de réforme monétaire qui a eu lieu aux États-Unis au début des années 1900.
- se réunissent au Jekyll Island Club, au large de la Géorgie, pour rédiger un plan de réforme du système bancaire national. La réunion et son objectif étaient des secrets étroitement gardés, et les participants n’ont pas admis que la réunion avait eu lieu avant les années 1930. Mais le plan rédigé à Jekyll Island a jeté les bases de ce qui allait devenir le système de la Réserve fédérale.
- Un membre du Jekyll Island Club, très probablement J.P. Morgan, s’est arrangé pour que le groupe utilise les installations du club. Fondé en 1886, le club comptait parmi ses membres des élites telles que Morgan, Marshall Field et William Kissam Vanderbilt I, dont les « cottages » de la taille d’un manoir parsemaient l’île. Le Munsey’s Magazine l’a décrit en 1904 comme « le club le plus riche, le plus exclusif et le plus inaccessible » du monde.
Le 23 décembre 1913, le Sénat adopta le rapport de la conférence par un vote de 43 à 25, tous les démocrates présents votant pour la mesure et tous les républicains sauf quatre votant contre.
En vertu de la loi sur la réserve fédérale de 1913, chacune des douze banques de réserve régionales du système de la réserve fédérale est détenue par ses banques membres, qui ont initialement fourni le capital nécessaire à leur fonctionnement.
Le nombre de parts de capital qu’elles souscrivent est basé sur un pourcentage du capital et de l’excédent de chaque banque membre.
Mais la Fed de New York – de loin la plus importante des banques régionales – n’a jamais divulgué, par principe, les participations au capital de ses plus de 70 banques membres. En septembre, une porte-parole de la Fed de New York a refusé de faire des commentaires officiels à ce sujet.
L’article mentionne ces différentes institutions,
US : Citibank, JPMorgan, Goldman Sachs, Bank of NY Mellon
Etranger: HSBC Bank USA, Deutsche Bank Trust Co
On parle de banque et de finance : pourquoi faire systématiquement l’amalgame avec l’antisémitisme ?
Les non-Juifs obligeaient les Juifs à servir d’intermédiaires dans des contrats usuraires, mais comme cela était contraire à la loi, les Juifs pouvaient toujours être poursuivis pour cela. Inévitablement, il y avait des rois qui dépensaient plus que ce qu’ils pouvaient obtenir et qui étaient toujours en train d’emprunter. Ils avaient également besoin de Juifs à qui emprunter. Lorsque le moment était venu de demander un moratoire sur ses dettes et que l’on n’avait pas l’argent nécessaire, une solution facile était de mettre les Juifs à la porte ou de les tuer.
L’usure dans la Bible