Avant d’attaquer le sujet, rappelons-nous de certaines choses. Nous dénonçons beaucoup de choses, dont certaines qui sont difficile à digérer et on se fait lyncher à cause de cela :
Son livre de 1979 :
Tout cela est passé sous la tapis et plus personne n’en parle MAIS, récemment, Le Monde a trouvé que c’était une bonne idée d’ajouter cet article là :
L’article public fini juste avant ce passage qui est réservé aux abonnés :
Nous entrons dans le règne du » Signe des codes « , et le médecin est devenu cette fois complice d’une » consommation marchande et insensée de l’artefact normalisé « , complice surtout, encore et toujours, du capitalisme « qui a besoin de manger la santé, de faire de la vie une marchandise, de l’homme un robot, consommateur de robots, un robot-cannibale « .
Et voici la boucle bouclée ; la crise actuelle de la santé, qui préoccupe tous les économistes du monde et suscite outre-Atlantique les réflexions politiques les plus nouvelles et les plus intéressantes de cette dernière décennie, cette crise, il fallait y penser, n’est pour Jacques Attali que » l’annonce du retour radical à la première stratégie contre le Mal : une révolution autour du cannibalisme « .
Depuis quand cet article est en ligne ? :
Exemple avec un autre article :
»Mais noooon… Il n’aurait pas osé… » – Bah, écoutez-le lui-même :
L’apologie du cannibalisme par Attali :
Puis 2 ans plus tard, il est devenu conseiller du Président de la France…
Vous croyez que ce sujet est devenu obsolète ? Cherchez et vous trouverez que le monde dans lequel nous vivons est bien plus corrompu et malade qu’on veut croire. Regardez cette serie d’articles du Point :
Ne le lisez pas trop car les cauchemars vont suivre rapidement. Ces gens sont malades, comme ceux qui font l’apologie du cannibalisme. Alors après tout ceci, pourquoi nos théories sur l’état profond seraient si folles ? On dénonce des élites qui pratiquent le cannibalisme (entre autres) et nous avons un ancien conseiller du président et abonné aux plateaux télé qui fait l’apologie de cette atrocité.