Pilule Rouge : Complotisme et dérives sectaires : Les ennemis publics N°1

“Parlons Vrai chez Bourdin” : les dérives sectaires, selon la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires), sont en forte hausse en France. En 2021, le nombre de signalements a atteint un niveau record, notamment à cause de l’augmentation du complotisme et à la suite de la Covid-19.

En 2008, les associations antisectes, les commissions parlementaires et les missions du gouvernement disent étudier le comportement d’un groupe vis-à-vis de ses membres au cas par cas plutôt que d’analyser les préceptes du groupe (ce qui équivaudrait à une évaluation objective des actes plutôt que des croyances). Divers critères sont employés pour cette étude :

  1. la manipulation mentale des adeptes, qui est toujours présente dans les cas de dérives sectaires,
  2. l’organisation pyramidale et la centralisation du pouvoir aux mains d’une personne avec autorité charismatique, comme un gourou, ou d’un collège restreint de dirigeants,
  3. l’extorsion de fonds,
  4. le fait que la doctrine se présente comme exclusive,
  5. la rupture avec l’environnement d’origine,
  6. l’existence d’atteintes à l’intégrité physique,
  7. l’embrigadement des enfants,
  8. le discours antisocial,
  9. les troubles à l’ordre public,
  10. les démêlés judiciaires.

Source: Wikipedia

C’est quoi une secte?

1. La manipulation mentale des adeptes

Pour rappel, les estimations du Imperial College of London estimaient qu’il y aurait 2.2 millions de morts du COVID aux US. En réalité, le nombre de morts officiel est de 1.07 millions de décès. Le CDC (WIKI) a admis que sur ce total, seulement 6% des morts étaient bien morts du COVID. Les autres 94% étaient concernés par différentes sévères comorbitiés.

Total estimés de décès : 2.2 millions
Total “réel” : 23540 (soit environ 1% de ce qui avait été initialement estimé)

source: Google / NY Times

2. L’organisation pyramidale et la centralisation du pouvoir

Le cénacle de onze experts régulièrement convoqué par l’exécutif pour parler du coronavirus joue tous les rôles dans cette crise sanitaire. C’est lui qui aurait enjoint le chef de l’État à prendre des mesures contraignantes pour les Français face à la propagation de la maladie. 

3. L’extorsion de fonds

Le prix de gros de l’électricité en France a atteint un record vendredi : il a dépassé 1 000 euros le mégawattheure (MWh), contre 85 euros/MWh il y a un an.

4. Le fait que la doctrine se présente comme exclusive

“La vitamine D ne peut être considérée comme un traitement préventif ou curatif de l’infection due au SARS-CoV-2 ” (Académie nationale de médecine française)

5. La rupture avec l’environnement d’origine

  • Confinement
  • Interdiction de visite dans les hopitaux et maisons de retraites
  • Ostracisation et persecution des non vaccinés

A-t-on réellement besoin d’en dire plus?

6. L’existence d’atteinte à l’intégrité physique

7. L’embrigadement des enfants

8. Le discours antisocial

9. Les troubles à l’ordre public

10. Les démêlées judiciaires

Ça a déjà commencé

Sonia Backès, secrétaire d’État à la Citoyenneté dans le gouvernement

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