PARTIE 10 – La guerre silencieuse
Nous avons vu dans la partie 1 que le 15 janvier 2020 coïncident la signature d’un accord commercial avec la Chine, le 1er cas de Covid aux Etats-Unis et le premier procès d’impeachment contre Trump. Nous avons aussi vu dans toutes les autres parties que Trump agissait en préparation d’un vol électoral bien avant 2020 et ne pouvait pas se douter dès 2018 que l’arme de la Chine pour voler l’élection serait le Covid. Mais cette guerre est plus grande : elle est combattue contre l’establishment politique mondial (Patel Patriot n’utilise le terme « Etat profond » qu’une ou deux fois et seulement à partir de la partie 11, préférant largement l’expression « establishment politique »). Dans beaucoup de pays, establishment politique, dirigeants, institutions… sont corrompus au-delà de toute réparation, utilisent les médias comme organes de propagande et truquent les élections pour rester au pouvoir ; c’est ainsi que le système perdure et rend les Etats vulnérables aux ennemis étrangers (ex. : si le PCC corrompt un homme politique américain avec un accord louche, il le tient).
Devant la perversion d’une telle corruption, une seule entité a le pouvoir de l’arrêter : l’armée. Les forces armées servent sous le contrôle civil du président, le commandant en chef. → Il faut donc un président désireux de soutenir ce combat à la tête du pays pour que l’armée puisse agir et mener légitimement à bien sa mission de « Défendre les États-Unis contre tous les adversaires tout en servant la Nation comme un rempart et en étant le garant de sa sécurité et de son indépendance. » Et si ces adversaires étaient ses propres élus ?
Il se pourrait que la guerre silencieuse ait d’une certaine manière commencé avant l’annonce de la candidature de Trump. Les forces armées américaines disposant des meilleurs systèmes de renseignement au monde, ils ont pu être témoins, mandat après mandat, de la corruption des élus et de la mise en danger des Etats-Unis par leur compromission auprès de puissances étrangères. Mais comment vaincre cette menace si elle est à l’origine des ordres qu’ils reçoivent ? Si Trump est la réponse, cela expliquerait pourquoi les membres de l’establishment se sont battus contre Trump comme si leur vie en dépendait.
Les années Obama
Il est probable que la corruption de l’establishment ait commencé bien avant l’ère Obama, mais la partie émergée date de 2015, quand la campagne de Trump a été construite autour de l’idée de « rendre le gouvernement aux américains ». Il n’hésite pas à qualifier l’establishment de « criminel ».
La présidence Obama, quoi qu’en dise l’establishment, n’a été qu’une série d’affaires scandaleuses mettant au jour la corruption à Washington et chacune d’entre elles met en danger la sécurité nationale des Etats-Unis, comme :
- Uranium One : Affaire dans laquelle le salaire mirobolant reçu par Bill Clinton pour une conférence cachait un trafic d’influence visant à vendre un cinquième de la capacité d’enrichissement en uranium des Etats-Unis à la Russie, entériné par Hillary Clinton, alors secrétaire d’état. De manière générale, les discours rémunérés de Bill Clinton pendant les années où Hillary était secrétaire d’état (2009-2013) et les liens avec la fondation Clinton, sont louches.
- Opération Fast and Furious : Opération de lutte contre les cartels mexicains de la drogue consistant à vendre plus de 2000 armes à feu (à l’origine dans le but de les suivre) illégalement. Beaucoup ont été perdues de vue et certaines ont servi à des crimes dont des meurtres d’agents fédéraux.
- E-mails d’Hillary Clinton : affaire dans laquelle Hillary Clinton a omis d’utiliser une messagerie gouvernementale sécurisée, mais a utilisé à la place un serveur de messagerie privé hébergé à son domicile, y compris pour des mails professionnels à caractère sensibles (elle était alors secrétaire d’état). Ce dispositif lui permettait ainsi d’être le seul arbitre de ce qui devait être fourni ou pas au gouvernement, ou être rendu public en cas de requête dans le cadre de la loi sur la liberté d’information (FOIA), comme l’enquête sur Benghazi. Ces e-mails ont été requis par le FBI mais certains n’ont pas été rendus au Département d’Etat ; ils cacheraient d’autres affaires scandaleuses (PizzaGate ?). Comme Biden, les Clinton ont vendu leur pays pour leur enrichissement personnel.
- L’accord sur le nucléaire iranien : En 2013, un accord bidon de 150 milliards de dollars est signé pour limiter le développement du nucléaire en Iran, doublé (sous le prétexte de la régularisation d’un contrat d’armement raté en 1979) d’un règlement de 1,3 (à 1,8 ?) milliards de dollars en espèces probablement pour la libération de prisonniers politiques de longue date. Cet argent a ensuite servi à l’Iran à financer le terrorisme ainsi que des actions hostiles au Yémen, en Syrie, en Afghanistan, en Irak, au Liban. C’est l’une des négociations les plus déshonorantes de l’histoire des Etats-Unis car la transaction a servi à financer indirectement le terrorisme au Moyen-Orient alors que justement l’armée américaine l’y combat depuis 2001 et y a essuyé des pertes. C’est une des raisons pour lesquelles les militaires n’ont pas pu le voir d’un bon œil.
En tout plus de 68 affaires compromettantes de l’administration Obama ont été recensées. Deux d’entre elles croisent des personnes impliquées dans la dévolution : l’affaire de l’attaque de Benghazi et le Spygate :
- L’Affaire Benghazi : le 11 septembre 2012, l’ambassadeur américain en Libye et plusieurs agents de la CIA trouvent la mort dans une attaque terroriste contre le consulat américain et l’annexe de la CIA située 1km plus loin. Pendant l’attaque, des renforts sont empêchés d’intervenir. Or il s’avère que ce consulat n’avait jamais été déclaré officiellement au gouvernement libyen : il s’agit en fait d’une couverture pour une opération secrète de la CIA. Du point de vue du Département d’Etat (dont dépend l’ambassadeur) il s’agit donc d’une attaque de rétorsion contre les agissements de la CIA. Mais au moment de l’attaque, nous sommes à moins de deux mois d’une élection présidentielle et les questions importantes sont évincées. L’administration Obama n’a jamais pu admettre publiquement que le faux consulat était une mission secrète de la CIA ni que l’attaque terroriste était préméditée (une manifestation populaire est alors incriminée). Par la suite elle a dû reconnaître la nature de l’attaque et Hillary Clinton a dû prendre publiquement la responsabilité du manque de sécurité de ces sites. De grosses zones d’ombre continuent de planer sur ce qu’était réellement cette attaque et quelque chose dans les déclarations officielles cloche : l’attaque en elle-même pourrait avoir été liée à une action de la CIA résultant du conflit des deux agences (ici le Département d’Etat et la CIA).
L’incident de Benghazi a donné lieu à de multiples enquêtes du Congrès : le 15 janvier 2014, l’enquête du Sénat conclut que les attaques auraient pu être évitées et la sécurité du site assurée. Puis le 8 mai 2014 est constituée une commission parlementaire. Le rapport de la commission fait plus de 800 pages, mais deux de ses membres (républicains), Jim Jordan et Mike Pompeo, estiment que la commission n’a pas été assez loin et publient un addendum incriminant Hillary Clinton pour sa gestion et pour la transparence de sa communication, et questionnant : la raison de la présence des diplomates sur le site, le manque d’aide apportée par le département d’état, le manque de préparation de l’armée pour intervenir sur ce site en particulier, le mensonge du gouvernement sur la nature de l’attaque, et le manque de motivation à arrêter et juger les terroristes responsables (une seule arrestation pour laquelle la peine de mort n’a pas été considérée). Mais qui a pris ces décisions et pourquoi ?
En fait l'establishment politique utilisait l'armée pour faire avancer ses programmes politiques. Ils ont créé pour cela une chaîne de commandement bureaucratique dans laquelle les décisions opérationnelles étaient prises par le Pentagone.
La raison pour laquelle ce sujet est si important ici, c’est qu’il implique l’un des plus importants acteurs présumés de la Dévolution : Christopher C. Miller (cf. parties 3 et 9). Après une carrière sur le terrain impliquant de hautes responsabilités et des choix stratégiques brillants et acclamés en 2001 (Afghanistan), 2003 (Irak)… en matière de « Forces de réaction rapide » notamment, et avant sa retraite de l’armée en 2014 et sa carrière de bureaucrate dans l’administration Trump, Miller a été affecté à la communauté du renseignement au Pentagone par le ministère de la défense de 2011 à 2014, en tant que directeur des opérations spéciales et de la guerre irrégulière dans le bureau du secrétaire adjoint à la défense pour les opérations spéciales/conflits de basse intensité (ASD (SO/LIC) ). A ce titre, il était présent et directement impliqué lorsque les Opérations spéciales ont été empêchées de répondre aux attaques de Benghazi, or ce n’est pas le mode de fonctionnement de l’armée qui « ne laisse personne derrière ». Il ne peut pas avoir soutenu le choix ne pas envoyer les « Forces de réaction rapide » auxquelles il avait lui-même appartenu, mais n’avait pas le dernier mot dans cette situation.
Le 18 novembre 2020, Miller (devenu secrétaire de la défense par intérim entre temps) élève les Opérations spéciales au même niveau que les autres branches des services armés dans l’organigramme du Ministère de la défense (officiellement pour faciliter le retrait des troupes d’Afghanistan annoncé par Trump la veille, mais ayant surtout pour conséquence que le secrétaire adjoint à la défense en charge des Opérations spéciales, Ezra Cohen-Watnick, lui rende compte directement). Il prononce un discours pour l’annoncer dans lequel il explique que ce changement permettra « de rationaliser le flux d’informations, d’améliorer la prise de décision et de soutenir de manière plus adaptative et plus adroite nos commandants et leurs superbes soldats, marins, aviateurs et Marines » (probable référence directe aux événements de Benghazi), et mentionne « un effort pangouvernemental de lutte contre les menaces transnationales » (référence possible à la dévolution et à l’ingérence chinoise). Il parle également de former une nouvelle génération de spécialistes d’Opérations spéciales « qui comprennent la nature fondamentale de la guerre, qui restent engagés à vaincre toute menace, et qui ne sont pas découragés par le prix élevé de la victoire. »
Le Général Michael Flynn
Chris Miller et ses Opérations spéciales sont une des raisons pour lesquelles il est pertinent de citer l’attaque de Benghazi dans le cadre de l’étude de la théorie de la dévolution. Michael Flynn, qui n’a jamais eu peur de dire tout haut ce qu’il pensait de l’administration Obama, en est l’autre raison.
Toute sa carrière militaire est une succession de postes liés au renseignement militaire et à son traitement. En 2014, alors Directeur de la DIA, il est poussé à la retraite avec un an d’avance, car son style de management dérange, ainsi que ses commentaires (« Les Etats-Unis sont moins à l’abri de la menace terroriste en 2014 qu’ils ne l’étaient avant les attaques du 11 septembre 2001 » ou encore « Nos hauts dirigeants ne reçoivent pas les bonnes informations pour prendre des décisions. […] Les médias sont à l’origine des problèmes »).
Au moment de l’attaque de Benghazi, le Général Flynn était en poste en tant que Directeur de la DIA. Plus tard il écrit un article dans Fox News dans lequel :
- Il conteste la nécessité pour l’armée américaine d’être intervenue pour protéger les civils en Libye au moment des printemps arabes (2011) car il y a des preuves que seuls les hommes armés étaient visés par Khadafi, non les civils. Khadafi au contraire était devenu un allié des Etats-Unis dans la lutte contre le terrorisme.
- Il décrit la manière dont Hillary Clinton a soutenu le terrorisme libyen (qui avait fait allégeance à Al-Qaida), en autorisant la vente d’armes américaines aux groupes armés par le biais du Qatar (le Qatar a fait des dons à la fondation Clinton qui se comptent en millions de dollars), ce qui constitue un crime.
- Il accuse Obama d’avoir accordé une reconnaissance totale aux rebelles, ce qui leur a permis d’accéder aux comptes gelés de Kahadafi (qui ont servi à payer les armes du point précédent).
En définitive, on peut dire que l’attaque de Benghazi était le résultat direct de la corruption de l'administration Obama, et en particulier d’Hillary Clinton qui a laissé ses intérêts personnels entrer en conflit avec la politique étrangère des États-Unis, ignoré pour cela les informations des responsables de l'armée et du renseignement et, surtout, commis un crime grave d’aide au terrorisme. C’est la description même de la guerre qui fait rage depuis plusieurs années entre fidèles de l’armée et establishment politique corrompu.
Flynn était justement l’un de ces responsables du renseignement ignorés par Hillary Clinton en raison de ses intérêts personnels. Tout cet article de Flynn pour Fox News a été écrit sans utiliser la moindre information classifiée (donc uniquement des infos déjà publiquement accessibles aux médias). Cela va sans dire qu’en tant que Directeur de la DIA (plus haut niveau de renseignement de l’armée), il avait accès à beaucoup plus. En toute logique, il représentait la plus grande menace pour l’establishment politique et c’est la raison pour laquelle Obama a conseillé à Trump de ne pas l’engager (ce que Trump a ignoré en prétendant qu’il pensait qu’Obama plaisantait). En réalité, Trump savait (et l’establishment politique aussi) que Flynn, de par la quantité d’informations classifiées excessivement compromettantes qu’il avait vu passer pendant l’administration Obama, était celui dont il avait besoin pour faire tomber définitivement l’establishment. Ce qui nous amène au dernier scandale majeur de l’ère Obama :
Le SpyGate
La victoire de Trump à la présidentielle de 2016 a été un choc pour l’establishment politique qui a été très vite paniqué (la nomination de Flynn à la Maison-Blanche en tant que Conseiller à la Sécurité nationale le 22 janvier 2017, deux jours après l’inauguration de Trump, était leur pire cauchemar). Avec l’aide des médias de masse, de Big Tech et de la Communauté du renseignement (le groupement des 17 agences de renseignement national), trois entités tout aussi corrompues, ils inventent le scénario de Flynn comme agent russe (Flynn démissionne le 13 février 2017 suite aux allégations), et donnent ainsi le top-départ de la fausse enquête sur l’ingérence russe (c’est-à-dire le RussiaGate, l’accusation de collusion entre des membres de la campagne électorale de Trump et la Russie pendant les élections de 2016), considérée à l’époque comme le plus grand crime politique de l’histoire américaine. (En termes de gravité, il n’a effectivement été surpassé que par le vol de l’élection de 2020. À plus grande échelle, cependant, le vol de l’élection a été perpétré autant pour couvrir le RussiaGate que tout le reste de leurs crimes : on peut donc probablement considérer toute cette série d’événements comme un long crime politique continu.)
Dès septembre 2016, (la perspective de la défaite à l’élection devenant de plus en plus flagrante) la campagne Clinton prétend que Trump cherche à hacker les e-mails d’Hillary Clinton pour le compte de Moscou. En décembre 2016, après la défaite d’Hillary Clinton, Obama annonce que des hackers russes ont précisément ciblé l’élection. Le FBI met alors en place une enquête « Crossfire Hurricane » pour enquêter sur le RussiaGate (sur lequel enquêtera ensuite le procureur spécial Mueller dont le rapport aboutira au premier procès en destitution de Trump impeachment). Aucune preuve concluante de la culpabilité de Trump ou de son équipe ne sera trouvée et les charges seront finalement abandonnées.)
La FISA (Loi de 1978 sur la Surveillance du Renseignement Etranger) décrit les procédures de surveillance et de collecte des informations sur les puissances étrangères ; la FISC est la cour (dispositif juridique) chargée de faire appliquer cette loi. Dans le cadre de l’enquête « Crossfire Hurricane », des agents du FBI ont obtenu illégalement (grâce à une fausse déclaration) de la FISC un mandat fédéral pour mettre sous surveillance un ancien conseiller de la campagne de Trump. Plus tard sera révélé le fait que ces agents du FBI ont rémunéré des informateurs dans le cadre de leur enquête, et que ces informateurs étaient des employés de la campagne présidentielle d’Hillary Clinton : c’est le SpyGate (sur lequel enquête le procureur spécial Durham, dont le rapport est encore attendu -10 octobre 2021). → Le scandale du SpyGate découle donc directement du mensonge du RussiaGate.
Joe Biden est le sous-produit de la corruption politique systémique créée et menée à bien par l’establishment politique, une tête parlante qui a fait fortune en vendant son nom et son influence politique (à la Chine) pour son profit personnel. L’ordinateur portable d’Hunter Biden (fils de Joe, également impliqué dans des transactions compromettantes), abandonné dans un magasin de réparation, contenait apparemment (entre autres) de nombreuses preuves des transactions véreuses de la famille Biden. A l’approche des élections de 2020, l’affaire fuite dans la presse et est immédiatement qualifiée de « désinformation russe » par l’establishment politique et censurée par les médias sociaux.
Trump et les militaires, les personnes mêmes qui ont combattu la corruption de l’establishment politique depuis des années, ont forcément accès au contenu de l’ordinateur portable d’Hunter Biden et à toutes les preuves qu’il contient, - Tout comme ils ont accès aux téraoctets de données apportés par le transfuge Dong Jingwei (cf. partie 2) et savent quelles agences sont infiltrées, à qui ils peut faire confiance et partager ou pas des informations, - Tout comme ils ont les preuves du vol de l’élection par l’establishment politique avec l’aide d’un adversaire étranger (cf. partie 9) grâce aux infrastructures qu’ils ont mises en place... Alors pourquoi ne disent-ils rien ? Sinon parce qu’ils ont mis en place la dévolution comme seul moyen d’éradiquer définitivement l’establishment politique, y compris sur un plan international ? C’est la guerre silencieuse.
La famille criminelle Biden
L’échec de la « présidence » Biden est de plus en plus visible. Les récents événements en Afghanistan en sont le reflet. La politique de Trump au Moyen-Orient fonctionnait ; comment Biden a-t-il pu tout gâcher aussi vite ? Toujours à cause de la Chine. Regardons de plus près les liens des Biden avec la Chine :
Le 23 septembre 2020 est publié un rapport conjoint de deux commissions du Sénat (commission de la Sécurité intérieure et des affaires gouvernementales et commission des finances), sur l’impact de la corruption d’Hunter Biden sur la politique du gouvernement américain. Or depuis 2011 des officiels du Pentagone avaient alerté sur des opérations de cyber-espionnage du PCC rendues possibles grâce à la dangerosité des montages économiques financiers, avec des entreprises chinoises notamment, dans le domaine des technologies de pointe. Ces alertes n’ont pas été écoutées par Obama qui, a indirectement autorisé des transferts de technologies (concernant des avions furtifs et des systèmes anti-vibratoires notamment, dont on sait qu’elles sont aujourd’hui intégrées dans des modèles d’avions chinois).
Un des fonds d’investissement mis en cause par ces alertes est BHR (issu de la fusion en 2013 -approuvée par le département d’Etat- d’une entreprise liée au gouvernement chinois et d’une société fondée par Hunter Biden, et donc lié à un haut fonctionnaire de l’administration Obama -et donc présentant un conflit d’intérêt potentiel- (cf. article ci-dessous).
Avec la perspective des élections de 2020, Hunter Biden s’était engagé à éviter tout conflit d’intérêt qui pourrait fragiliser la présidence de Joe (y compris à ne plus siéger dans aucun conseil d’administration de sociétés avec lesquelles il a des liens), ce qu’il n’a pas respecté puisqu’en 2021 Hunter Biden détient toujours une partie du capital de BHR. Or BHR joue un rôle important dans toute cette histoire de vol de technologies par le biais d’une de ses sociétés, CATL, une entreprise qui vend ses batteries à Tesla (accord signé pour la période allant de Juillet 2020 à juin 2022). Depuis novembre 2020, le cours de l’action CATL est monté en flèche et a triplé en moins d’un an. Ce qui est logique si on tient compte du fait que :
- Un des arguments de campagne majeur de Biden était son programme « énergie propre » qui fait la part belle aux batteries électriques nouvelle génération,
- La Chine détient aujourd’hui le monopole de ces batteries électriques, contrôlant 80% des usines de fabrication, mais aussi de la production des matières premières (terres rares entres autres) nécessaires à leur production, de leur traitement et des usines de fabrication.
- Or le sous-sol de l’Afghanistan regorge de ces terres rares (dont le marché pourrait représenter jusqu’à dix fois celui de l’opium !!) et le gouvernement chinois est entré en pourparlers avec les autorités afghanes quelques heures seulement après la reprise du pays par les Talibans dès le retrait bâclé des forces américaines par Biden.
Récapitulons jusqu’ici : BHR a été formé lorsqu’une société liée au gouvernement chinois a fusionné avec la société fondée par Hunter Biden et Chris Heinz (le beau-fils de John Kerry). Hunter Biden détient actuellement une participation de 10% dans BHR, dont CATL est l'une des sociétés du portefeuille. CATL est le « plus grand fabricant mondial de batteries pour véhicules électriques » et son action a triplé au moment de l’élection de Joe Biden (supposément élu grâce à l’ingérence chinoise). CATL a signé un accord pour fournir des batteries à Tesla seulement 4 jours avant le début du retrait précipité des troupes américaines d’Afghanistan, au moment-même où la Chine lorgne sur les sols afghans riches en terres rares.
Biden prétend qu’il a été contraint par l’accord signé par Trump sur le retrait d’Afghanistan : c’est peut-être vrai politiquement, mais en termes d’intérêt personnel (de par les liens financiers de son fils avec des entreprises pilotées par le gouvernement chinois), il était dans son intérêt de procéder au retrait comme il l’a fait. → Et si, une fois de plus, Trump lui avait tendu un piège en le laissant s’embourber politiquement dans une affaire servant avant tout ses intérêts personnels ?
Le 18 août 2021, dans une interview, Christopher C. Miller explique qu’il n’a jamais été question pour Trump de se retirer définitivement d’Afghanistan mais de réduire la guerre aux Opérations spéciales et de gérer le conflit ponctuellement avec seulement 800 hommes. Trump savait que si Biden était « président », la Chine ferait pression sur lui pour quitter l’Afghanistan en raison des intérêts financiers en jeu pour le Parti Communiste et pour la fortune de la famille Biden. L’accès sans entrave aux terres rares d’Afghanistan, l’un des marchés les plus lucratifs au monde, peut officiellement être ajouté à la liste des raisons pour lesquelles le Parti Communiste a aidé Biden à voler l’élection.
Mais en déclarant publiquement qu’il voulait que toutes les troupes se retirent et en ayant l’intention privée de faire le contraire (il n’a jamais ne serait-ce qu’esquissé un plan pour le faire), Trump a fourni à Biden une excuse pour le retrait rapide et total des troupes, contre l’avis de son propre secrétaire à la Défense Lloyd Austin et du général Milley, président du Chef d’état-major interarmées. Souvenons-nous que c’est avec les Talibans que Trump a signé un accord et non avec le gouvernement afghan (corrompu) soutenu (prétendument) par Biden. Pourquoi le retrait s’est aussi mal passé, comme si l’armée fuyait, abandonnant des civils américains derrière eux, tout en blâmant Trump pour cet accord ? Parce que c’est probablement le PCC qui dirige l’opération en coulisses, sans voir que ceux qui dirigent l’opération « Dévolution » les mènent exactement là où ils veulent.
Pour résumer, les nombreuses affaires de l’administration Obama, bien qu’étouffées par les médias, les agences corrompues et les communications officielles, ont apporté toutes les preuves aux militaires (et en particulier au Général Flynn, Directeur de l’Agence de renseignement de la défense à l’époque) de l’étendue de la corruption de l’establishment politique américain, y compris à un niveau international. Les affaires notamment de l’attaque de Benghazi (étouffée pour couvrir un trafic d’armes auquel est liée Hillary Clinton) et du SpyGate (moyens illégaux pour déclencher la mise en accusation de Trump et se débarrasser de Flynn) ont scellé les bases de la contre-attaque de Trump et des militaires : c’est ainsi que la guerre silencieuse a commencé. Joe Biden est un pur produit de cet establishment politique corrompu et ses conflits d’intérêts (et ceux de son fils Hunter) avec la Chine sont probablement la raison du fiasco du retrait d’Afghanistan bâclé, mais nécessaire à une Chine impatiente pour accéder aux terres rares du sol afghan. Biden aurait pu mieux le gérer, mais Trump savait que la Chine lui forcerait la main et lui a tendu un piège en signant l’accord du retrait (auquel il ne croyait pas). Mais quel en était l’objectif pour Trump ? Prouver la corruption de Biden ? Faire pression sur l’establishment politique en montrant qui a le contrôle ? Exposer les vraies intentions du PCC ? Il semble que la guerre silencieuse fonctionne ainsi : sa matière première n’est que du renseignement et du croisement d’informations qui permettent d’anticiper et d’orienter les actions de l’establishment politique et du PCC. Et Trump a toujours dix coups d’avance…