Pilule Rouge : L’arnaque climatique

La vidéo ci dessus développe les sujets abordées dans cet article.


Précision importante:
Chez les DéQodeurs, nous revendiquons l’amour et le respect de la Terre (que nous considérons en tant que Mère) et de l’environnement. Nous dénonçons la surconsommation, la déforestation massive, l’accumulation de matière plastique, les effets délétères des pesticides de synthèses, les OGM, le déclin de la biodiversité, la mondialisation, l’élevage intensif, les monocultures, les dangers du nucléaire. Nous rejetons donc en bloc toute tentative de nous associer à des gens qui se moquent de l’écologie et de la planète.


Bon on est tous d’accord. Le COVID ca fait quand même très 2020, et à part les gens qui se biberonnent encore à CNN, BFM et TVA Nouvelles, une bonne partie de la population n’y croit plus du tout à cette histoire de virus. Il est plus que temps de changer de sujet. Qu’est ce qu’on va bien pouvoir trouver pour faire paniquer les gueux ce coup-ci?

Ne cherchez plus, on connaît la réponse depuis plusieurs semaines déjà (à 5:40) :

Et depuis ce matin (9 Août 2021)

@abcnews
Le dernier rapport de l’IPPC_CH indique que le réchauffement de la planète devrait atteindre 1,5 degré d’ici à 2030, entraînant une augmentation des vagues de chaleur, des sécheresses et des inondations. Son vice-président, @ProMarkHowden, explique à @bevvo14 qu’il confirme une tendance inquiétante mise en évidence dans les rapports précédents… #TheWorld

@KeikoMorris
Selon un nouveau rapport du groupe d’experts sur le climat de l’ONU, la montée des eaux, la fonte des calottes glaciaires et d’autres effets du changement climatique pourraient être irréversibles pendant des siècles et sont dus « sans équivoque » aux gaz à effet de serre provenant de l’activité humaine.

Explicatif : Les cinq avenirs du rapport de l’ONU sur le climat – décodés reut.rs/3xzMDuj

@ajplus
Un avenir plus chaud est désormais « verrouillé » en raison de l’absence d’action sur les émissions de CO2, selon un important rapport de l’ONU, qui qualifie cette situation de « code rouge » pour l’humanité.

– L’homme est « sans équivoque » responsable de la crise climatique.

– Les températures pourraient atteindre la limite de Paris dans 20 ans

– Des changements rapides et importants dans les émissions sont nécessaires

L’ONU tire la sonnette d’alarme sur les impacts climatiques « irréversibles », mais offre de l’espoir
Le groupe d’experts de l’ONU sur le climat a tiré la sonnette d’alarme lundi, en décrivant son rapport actualisé sur le climat comme un « code rouge pour l’humanité ».

Le rapport de l’ONU sur le climat est un « code rouge pour l’humanité » : Guterres
Le chef de l’ONU déclare que la prédiction d’une accélération du point de basculement du réchauffement climatique « doit sonner le glas » des combustibles fossiles.

L’homme est, au-delà de tout doute scientifique raisonnable, la cause principale du changement climatique, selon un rapport de l’ONU Le changement climatique s’accélère et produit des effets étendus qui sont plus que jamais liés à l’influence humaine.

Le rapport sur le changement climatique est un « code rouge pour l’humanité », prévient le chef de l’ONU
Le climat de la Terre se réchauffe tellement que, dans une dizaine d’années, les températures dépasseront probablement le niveau de réchauffement que les dirigeants mondiaux ont…

La Terre risque de dépasser les objectifs de changement climatique fixés dans les principaux accords : nouveau rapport de l’ONU
Le climat de la Terre se réchauffe tellement que les températures dépasseront probablement en une décennie environ le niveau de réchauffement que les dirigeants mondiaux ont…

Un « code rouge pour l’humanité » : Le changement climatique échappe à tout contrôle, selon un rapport de l’ONU
S’appuyant sur plus de 14 000 études scientifiques, le rapport dresse le tableau le plus complet et le plus détaillé à ce jour de la façon dont le changement climatique…

Le rapport des Nations Unies sur le changement climatique : Voici les principaux enseignements :
« Il n’y a pas de langage d’incertitude dans cette phrase, car il n’y a aucune incertitude sur le fait que le réchauffement climatique est causé par l’activité humaine et… II y a 3 heures

L’ONU publie une évaluation cinglante de l’état du changement climatique
Le changement climatique modifie la Terre d’une manière « sans précédent » dans l’histoire… Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU depuis… II y a 1 Inure

Changement climatique : Six gestes quotidiens que vous pouvez faire pour aider à stopper le réchauffement de la planète
… la planète atteindra sa limite de réchauffement dans les 20 prochaines années, … exhortant les gens à traiter le changement climatique comme une « menace immédiate ».

Un groupe scientifique de l’ONU va publier un rapport clé sur le changement climatique
Le rapport fournira aux gouvernements des faits actualisés sur les impacts actuels et les risques futurs du réchauffement de la planète, en amont d’un…

Le rapport de l’ONU sur le changement climatique est « un signal d’alarme », selon la militante Greta Thunberg
La grande conférence de l’ONU mettra à l’épreuve l’ambition des pays de limiter le réchauffement de la planète, qu’un rapport scientifique historique a mis en garde lundi contre…

L’humanité ne s’est pas encore complètement foutue en l’air : Rapport de l’ONU sur le climat
Le rapport, rédigé par 234 auteurs ayant consulté plus de 14 000 études, estime qu’il est « sans équivoque » que l’homme est à l’origine du changement climatique…

Donc vous avez compris, il est temps d’arrêter d’avoir peur du COVID et de commencer à avoir peur du réchauffement climatique…

euuuuh non, le refroidissement climatique… euh je sais plus en fait… Mais en tout cas c’est très grave!!!

Et c’est à cause de l’activité humaine!!! Ou peut-être de la lune…

Essayons de voir tout ça dans le détail

Prophéties apocalyptiques du climat

  • On en a déja discuté à plusieurs reprises mais on ressort cet article qui est pour le coup pertinent:
  • 1989 : L’autoroute du West Side de New York sous l’eau d’ici 2019
  • 2000 : « Les enfants ne sauront pas ce qu’est la neige ».
  • 2004 : La Grande-Bretagne aura un climat sibérien d’ici 2020
  • 2008 : L’Arctique sera sans glace d’ici 2018
  • 2008 : Al Gore prévient que l’Arctique sera sans glace d’ici 2013
  • 2009 : Le prince Charles dit qu’il ne reste que 8 ans pour sauver la planète
  • 2009 : Le Premier ministre britannique déclare 50 jours pour « sauver la planète de la catastrophe ».
  • 2009 : L’Arctique sera sans glace d’ici 2014
  • 2013 : L’Arctique sans glace d’ici 2015
  • 2013 : L’Arctique sera sans glace d’ici 2016
  • 2014 : 500 jours seulement avant le « chaos climatique ».

Une vérité qui dérange

En 2006, Al Gore a sorti le film “Une vérité qui dérange”. Un documentaire blockbuster dont l’objectif est d’augmenter la sensibilité des masses à la problématique climatique. Il y aurait beaucoup à dire sur ce documentaire sorti il y a 15 ans. Nous avons revu ce film et constatons ici si les prédictions exprimées par ce film se sont réalisées ou non.

Une vérité qui dérange – Un avertissement mondial
« L’un des films les plus importants de notre époque. » – Jeffrey Lyon NBC’s Reel talk
  • 16:48 “D’ici la fin de la décennie, il n’y aura plus de neige au kilimandjaro”
  • 17:00 “D’ici 15 ans (2021) il n’y aura plus de glacier au Glacier National Park”

Il y a plus de dix ans, le parc national des Glaciers a affiché des panneaux avertissant que ses stupéfiants glaciers auraient disparu d’ici 2020. L’année a commencé et les glaciers sont toujours là, mais la menace du changement climatique reste bien réelle.

  • 17:05 “Même chose pour le glacier Columbia en Alaska”
  • 17:40 Himalaya sans neige d’ici 2050
  • 17:56 Adamello-Madron glacier (Italie)
  • 18:05 Rhone Glacier (Suisse)
  • 44:25 plus de glace au pole nord d’ici 2075

Ce documentaire destiné au grand public fait toutefois étalage de techniques bien connues de manipulation. Citons en deux :

  • Dates de prises de photos non mentionnées

Lorsque l’on compare les étendues de glace présentes à un endroit données à plusieurs années d’intervalle en utilisant des photos, il est capital de faire figurer la date de prise de vue, pas seulement l’année. Il existe un phénomène météorologique complexe qui peut jouer : ca s’appelle les saisons!

  • Échelles absentes des graphiques

En effet, le climat change

Température moyenne mondiale (C) / Années avant le présent

Le documentaire (Inconvenient Truth – Vérité Qui Dérange – 48:10) admet que des évènements climatiques majeurs et très rapides peuvent se produire et se sont déjà produits indépendamment de l’activité humaine. La question majeure est de savoir :

  • Si les changements climatiques sont liés ou non aux émissions de CO2 d’origine anthropique
  • Si les politiques mises en place vont avoir un effet sur cette modification du climat

Le consensus scientifique

Sur wikipedia, nous lisons :

Un article de 2016 (coécrit par Naomi Oreskes, Peter Doran, William Anderegg, Bart Verheggen, Ed Maibach, J. Stuart Carlton et John Cook, et basé sur une demi-douzaine d’études indépendantes menées par les auteurs) a conclu que « le consensus de 97 % [selon lequel les humains sont à l’origine du récent réchauffement climatique] dans les recherches publiées sur le climat est solide et cohérent avec d’autres enquêtes menées auprès de climatologues et des études évaluées par des pairs ». Selon une étude de 2019, le consensus scientifique est de 100 %.

et pourtant :

Bon ok, y’a un type qui est pas d’accord… mais quand même, il y a bien un consensus, non?

Et bien cette affirmation est basée sur quelques études, notamment l’étude Doran et Zimmerman de 2009. Une analyse de la méthodologie de cet article a été faite par Lawrence Solomon et voici quelques morceaux choisis

En 2009, un article de Maggie Kendall Zimmerman, alors étudiante à l’Université de l’Illinois, et de son directeur de thèse de maîtrise Peter Doran a été publié dans EOS. Ils affirment que « 97 % des climatologues sont d’accord » pour dire que les températures mondiales moyennes ont augmenté depuis avant les années 1800 et que les humains sont un facteur contributif important

[…] Solomon (2010) observe : « Les deux chercheurs ont commencé par exclure de leur étude les milliers de scientifiques les plus susceptibles de penser que le Soleil, ou les mouvements planétaires, pourraient avoir quelque chose à voir avec le climat sur Terre (les scientifiques solaires, spatiaux, cosmologiques, physiciens, météorologistes et astronomes). Il restait donc 10 257 scientifiques dans des disciplines comme la géologie, l’océanographie, la paléontologie et la géochimie, qui ont été jugées plus dignes d’être incluses dans le consensus. Les deux chercheurs ont également décidé que les réalisations scientifiques ne devraient pas être un facteur dans le choix des répondants, les personnes interrogées étaient déterminées par leur lieu de travail (un établissement universitaire ou gouvernemental). La qualification académique n’était pas non plus un facteur : environ 1000 des personnes interrogées n’avaient pas de doctorat, certaines n’avaient même pas de diplôme de maîtrise. Seulement 5 pour 100 des répondants se sont auto-identifiés comme climatologues.

Pire encore que la taille de l’échantillon, le biais de sélection et le faible taux de réponse, c’est le manque de pertinence des questions posées dans le sondage par rapport au débat en cours sur le changement climatique. Le sondage comportait deux questions :

Q1. Par rapport aux niveaux d’avant 1800, pensez-vous que les températures moyennes mondiales ont généralement augmenté, baissé ou sont demeurées relativement constantes ?

Q2. Pensez-vous que l’activité humaine est un facteur important dans l’évolution des températures moyennes mondiales ?

Dans l’ensemble, 90 % des répondants ont répondu “augmenté” à la question 1 et 82 % ont répondu “oui” à la question 2. Les auteurs obtiennent leur message « 97 pour cent des climatologues croient » en se concentrant sur seulement 79 scientifiques qui ont répondu et « ont cité la climatologie comme leur domaine d’expertise et qui ont également publié plus de 50 pour cent de leurs récents articles évalués par des pairs sur le thème du changement climatique ».

Les principaux points de la controverse

Le document suivant, émis par la Société de Calcul Mathématique, recense les différents points problématiques soulevés par le supposé consensus climatique. Voici un extrait de leur introduction :

Il n’existe aucun fait, aucune donnée, aucune observation, qui permette de conclure que le climat soit « détraqué » en quoi que ce soit. Il est variable, comme il l’a toujours été localement, mais plutôt moins qu’à certaines époques, à certaines ères géologiques. Nos moyens de mesure modernes sont très insuffisants pour évaluer une température globale de la planète aujourd’hui, a fortiori les mesures faites il y a 50 ou 100 ans.

La concentration en CO2 est variable, comme elle l’a toujours été ; les chiffres qui sont rapportés sont choisis de manière tendancieuse et malhonnête. […]Quant aux phénomènes extrêmes, il n’y a aucune augmentation de leur fréquence : nous avons nous-mêmes traité les données brutes concernant les cyclones. […]

Par le passé, il y a déjà eu d’innombrables variations du climat, dont certaines de grande ampleur (par exemple des glaciations) ; les raisons principales sont liées au Soleil et à l’albédo de la couche nuageuse (la lumière du Soleil pénètre-t-elle jusqu’au sol, ou bien est-elle réfléchie par les nuages ?). L’homme n’y est évidemment pour rien, mais les causes naturelles des variations climatiques ne sont jamais prises en compte par les apôtres des croisades, qui incriminent directement les activités humaines.[…]

Si les travaux du GIEC étaient soumis pour publication à une revue scientifique honnête, seraient-ils acceptés ? Ce travail est celui d’un « referee » et il est commun en sciences. La réponse est particulièrement simple : aucune revue de bon sens, de bon niveau, ne publierait de tels travaux. Les conclusions du GIEC sont en contradiction avec les observations ; les données utilisées sont délibérément choisies pour étayer les conclusions (au mépris de l’honnêteté scientifique la plus élémentaire), la variabilité naturelle des phénomènes est passée sous silence. Le rapport du GIEC n’obéit pas aux règles fondamentales de la recherche scientifique et ne pourrait être publié dans aucune revue avec comité de lecture.

Nous vous invitons vivement à lire ce rapport dans son intégralité si vous souhaitez avoir un autre son de cloche sur le dogme climatique :

Les technologies de modification du climat

La question est donc de savoir si le changement climatique est provoqué par l’homme. Question que tout le monde interprète de la manière suivante:

“Est-ce que le changement climatique est causé par les déchets et résidus de l’activité industrielle, technologique et commerciale des civilisations modernes?”

Et bien il se trouve que cette interprétation ne couvre pas un des aspects essentiels de la modification du climat, à savoir, la géo-ingénierie.

Sortez les chapeaux en alu !

Les technologies de modification du climat, encore un délire de conspirationniste? Étudions la question.

Aux Émirats arabes unis, des drones ont prouvé qu’ils pouvaient provoquer de la pluie en appliquant des chocs électriques aux nuages sans avoir recours à des produits chimiques.

La CIA, intéressée par les potentiels de la géo-ingénierie en matière de manipulation des intempéries et de lutte contre le réchauffement climatique, a participé au financement d’une étude globale de ces domaines par l’académie des sciences américaine. […]

Reste que la géo-ingénierie demeure un concept controversé qui implique l’intervention délibérée et à grande échelle sur le système climatique de la Terre dans le but de lutter contre le réchauffement global. « Il est naturel que sur un sujet comme le changement climatique, l’Agence [de renseignements] travaille avec des scientifiques afin de mieux comprendre le phénomène et ses implications sur la sécurité nationale », commente pour sa part la CIA.

Néanmoins, le contexte est tendu car certains accusent le pouvoir américain de jouer déjà dangereusement avec le temps grâce aux installations du High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP), basées en Alaska.

En projetant de puissantes ondes radio vers l’ionosphère, le programme Haarp permet d’étudier cette zone très mal connue de l’atmosphère et même d’en tirer parti pour diverses applications. L’une d’elles est la création de nuages de plasma artificiels utilisables pour les télécommunications ou la détection par radar. Avec une stabilité obtenue durant plus d’une heure, Haarp vient de battre son record de durée.

Les climatologues ont l’intention de lancer un ballon à haute altitude qui pulvériserait une petite quantité de particules réfléchissantes dans la stratosphère.

Alors que les menaces liées au changement climatique s’intensifient, nous allons probablement entendre de plus en plus parler des possibilités et des dangers de la géo-ingénierie. Voici ce que cela signifie.

[…]

Il s’agit d’un terme général qui englobe des idées telles que l’installation de boucliers solaires dans l’espace ou la dispersion de particules microscopiques dans l’air de diverses manières pour rendre les nuages côtiers plus réfléchissants, dissiper les cirrus qui retiennent la chaleur ou disperser la lumière du soleil dans la stratosphère.

[…]

L’idée n’est pas particulièrement nouvelle. En 1965, le comité consultatif scientifique du président Lyndon Johnson a indiqué qu’il pourrait être nécessaire d’augmenter la réflectivité de la Terre pour compenser l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Le comité est allé jusqu’à suggérer de saupoudrer des particules réfléchissantes sur les océans.

[…]

Mais la forme la plus connue de géo-ingénierie solaire consiste à pulvériser des particules dans la stratosphère, parfois appelée « injection stratosphérique » ou « diffusion d’aérosols stratosphériques ».

Une expérience menée au Nouveau-Mexique tentera d’établir la possibilité de refroidir la planète en dispersant des aérosols sulfatés

Et très dernièrement:

L’obscurcissement du soleil pourrait-il contribuer à refroidir la Terre ? Bill Gates veut pulvériser des millions de tonnes de craie dans la stratosphère pour réfléchir la lumière du soleil et ralentir le réchauffement de la planète, mais les critiques craignent que cela ne soit désastreux.

Une pratique qui ne date pas d’hier

Nous mettons à votre disposition un autre document qui constitue une preuve importante que les modifications climatiques sont à l’oeuvre depuis un bon moment. Il s’agit d’un rapport us datant de mai 1978 qui s’intitule “modification du temps : programmes, problèmes, politique et potentiel” émis par la Commission Du Commerce, Des Sciences Et Des Transports du Sénat des États-Unis. Ce document très volumineux détaille l’historique, les perspectives et les moyens mis en oeuvre en relation avec la modification du climat. Ce document a plus de quarante ans. Nous vous invitons à consulter ce document pour creuser la questions

Pour terminer sur ce sujet, laissons la parole à John Brennan, ancien directeur de la CIA qui s’exprimait sur la question lors d’une réunion du Council of Foreign Relations (CFR)

Les motivations

Motivations géopolitiques

Un des objectifs géopolitiques actuels du Deep State est de déplacer le centre économique mondial depuis les US vers la Chine.Ce processus a lieu en affaiblissant, lentement mais surement, les bases economiques, culturelles et militaires des US. Comme ici :

Vingt-cinq « mégapoles » seulement produisent 52 % des émissions urbaines de gaz à effet de serre dans le monde – et 23 d’entre elles se trouvent en Chine. […] Le président chinois Xi Jinping s’est engagé à plafonner les émissions de carbone d’ici 2030 et à atteindre la neutralité carbone d’ici 2060, dans le cadre de son engagement envers l’accord de Paris. En comparaison, le Royaume-Uni, par exemple, s’est engagé à réduire ses émissions de 68 % d’ici 2030 et à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.

Ou ici :

Véhicules électriques et biocarburant : Le Pentagone s’apprête à devenir plus vert sous la direction de Biden

Le Pentagone étudie une série de propositions visant à rendre l’armée plus économe en énergie, allant de l’obligation d’utiliser des véhicules entièrement électriques au sevrage des camions, des navires et des avions en carburants fossiles, selon des personnes connaissant bien les options.

Motivations financières

Les motivations géostratégiques s’accompagnent de compensations financières pour les quelques personnes impliquées dans les rouages de cette arnaque. Dans cette vidéo le Dr Shiva expose les tenants et aboutissants de ce système et à quel point il se fait au détriment de l’économie US.

Un petit dernier pour la route ?

NOUVEAU – Groenland : La quantité de glace gagnée en une seule journée suffirait à ensevelir Central Park, à New York, sous 682 mètres (2 238 pieds) de glace le 8 août. Un gain record pendant la saison de fonte estivale.

Conclusion

« Le désir de sauver l’humanité n’est presque toujours qu’un faux visage pour le désir de la diriger. »

Henry Louis Mencken, plus connu sous le nom de H. L. Mencken, est un journaliste, linguiste, satiriste, critique social et un libre penseur, surnommé « le sage de Baltimore » ou encore « le Nietzsche américain ». Il est souvent considéré comme l’un des écrivains américains les plus influents du XXᵉ siècle

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