PLAINTE HISTORIQUE : TRUMP V. HILLARY (et les autres) sur l’affaire RUSSIAGATE !!!

M.A.J du 25/03/2022 :

SOURCE – MEDIAPORT

On vient tout juste de confirmer l’information qui date d’aujourdhui. Tout est dans le titre mais vous pouvez mieux comprendre l’ampleur de cette affaire HISTORIQUE en lisant les noms de ceux vers qui se dirige cette plainte. On vous traduit quelques extraits du début qui annoncent la couleur mais le document de la plainte fait 108 pages. Nous sommes en train de les lire. Voici les 3 premiers points (sur 508) de la plainte mais surtout, notez bien les noms en gras.

PLAINTE POUR DOMMAGES ET INTÉRÊTS ET DEMANDE DE PROCÈS DEVANT JURY

Le plaignant, Donald J. Trump, par et à travers son avocat soussigné, signifie par la présente son dépôt de
plainte à l’encontre des défendeurs, Hillary R. Clinton, HFACC, Inc, le Comité National Démocrate,
DNC Services Corporation, Perkins Coie, LLC, Michael Sussmann, Marc Elias, Debbie Wasserman Schultz, Charles Halliday Dolan, Jr, Jake Sullivan, John Podesta, Robert E. Mook, Phillipe Reines, Fusion GPS, Glenn Simpson, Peter Fritsch, Nellie Ohr, Bruce Ohr, Orbis Business Intelligence, Ltd., Christopher Steele, Igor Danchenko, Neustar, Inc, Rodney Joffe, James Comey, Peter Strzok, Lisa Page, Kevin Clinesmith, Andrew McCabe, John Does 1 à 10 (lesdits noms étant des personnes fictives et inconnues), et ABC Corporations 1 à 10 (lesdits noms étant des entités fictives et inconnues) et allègue ce qui suit :


Introduction

  1. Dans la période précédant l’élection présidentielle de 2016, Hillary Clinton et son clan ont orchestré un complot impensable – qui choque la conscience et constitue un affront à la démocratie de cette nation. Agissant de concert, les défendeurs ont malicieusement conspiré pour tisser un faux récit selon lequel leur adversaire républicain, Donald J. Trump, était de connivence avec une souveraineté étrangère hostile. Les actions entreprises dans le cadre de leur plan – falsification de preuves, tromperie des forces de l’ordre, et exploitation de l’accès à des sources de données hautement sensibles – sont tellement scandaleuses, subversives et incendiaires que même les événements du Watergate ne sont rien en comparaison.
  2. Sous couvert de “recherche sur l’opposition”, d'”analyse de données” et d’autres stratagèmes politiques, les défendeurs ont cherché à abuser de la confiance du public. Ils ont travaillé ensemble dans un but unique et intéressé : vilipender Donald J. Trump. En effet, leur conspiration de grande envergure était conçue pour paralyser la candidature de Trump à la présidence en fabriquant un scandale qui serait utilisé pour déclencher une enquête fédérale non fondée et initier une frénésie médiatique.
  3. Le stratagème a été conçu, coordonné et exécuté par des responsables de haut niveau de la Campagne Clinton et du DNC (Comité National Démocrate) – y compris la ” candidate ” elle-même – qui ont tenté de dissimuler leur implication derrière un mur de tiers. Pour commencer, la campagne Clinton et le DNC ont sollicité l’assistance de leur conseil commun, Perkins Coie, un cabinet d’avocats profondément lié aux Démocrates, dans le cadre de l’enquête sur la corruption, dans l’espoir de dissimuler leurs actions sous le voile du secret professionnel avocat-client. Perkins Coie a été chargé d’être le fer de lance du plan visant à trouver – ou à fabriquer – la preuve d’un lien sinistre entre Donald J. Trump et la Russie. Pour ce faire, Perkins Coie a lancé des opérations parallèles : sur un front, Marc Elias, partenaire de Perkins Coie, a dirigé un effort pour produire de fausses “recherches sur l’opposition” prétendant révéler des liens illicites entre la campagne Trump et des agents russes ; sur un autre front, Michael Sussmann, partenaire de Perkins Coie, a dirigé une campagne visant à développer des preuves trompeuses d’un faux “back channel” (liaison directe, NdT) entre les serveurs de messagerie de la Trump Tower et une banque russe.

Voici les documents liés à la plainte à leur emplacement actuel :

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