Article original datant du 20/09/21
La principale revue médicale mondiale, The Lancet (WIKI), vient de publier un article condamnant explicitement la lettre organisée par le Dr Anthony Fauci, Peter Daszak d’EcoHealth Alliance, Jeremy Farrar du Wellcome Trust, et d’autres.
Le 1er février 2020, lorsqu’il a été confronté aux premières preuves que la pandémie de Covid pouvait provenir du laboratoire de Wuhan qu’il a financé via l’EcoHealth Alliance de Daszak, Fauci a organisé une conférence téléphonique, apparemment pour discuter de la manière de supprimer cette information dangereuse, puisque la piste menait directement à eux.
Le 19 février 2020, Daszak, Farrar et d’autres ont publié une lettre dans The Lancet, disant que « Nous sommes solidaires pour condamner fermement les théories de conspiration suggérant que le COVID-19 n’a pas une origine naturelle. »
Cette lettre a ensuite été utilisée pour supprimer et censurer la théorie de la fuite du laboratoire chinois dans les médias grand public et sur les médias sociaux pendant plus d’un an. Il n’y avait, et il n’y a toujours aucune preuve des affirmations des « scientifiques ».
Un nouvel article paru dans The Lancet, rédigé par Jacques van Helden de l’Université d’Aix-Marseille en France, Richard Ebright de l’Université Rutgers et 14 autres auteurs, a démoli les fausses nouvelles non scientifiques des apologistes de Fauci « qui prétendaient apporter un soutien écrasant à l’hypothèse selon laquelle le nouveau coronavirus à l’origine de la pandémie de COVID-19 provenait de la faune sauvage ».
« Les auteurs ont associé tout point de vue alternatif aux théories du complot en déclarant : « Nous nous unissons pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas une origine naturelle ». Cette déclaration a eu pour effet de réduire au silence le débat scientifique au sens large, y compris parmi les journalistes scientifiques », accusent Ebright et ses collègues.
Contrairement à ce que prétendent les faux scientifiques, « il n’y a pas de soutien direct à l’origine naturelle du SRAS-CoV-2, et un accident lié à un laboratoire est plausible. Il n’existe à ce jour aucune preuve scientifiquement validée qui soutienne directement une origine naturelle. »
« Ni la voie de l’hôte, de la chauve-souris à l’homme, ni la route géographique du Yunnan (où les virus les plus proches du SRAS-CoV-2 ont été échantillonnés) à Wuhan (où la pandémie a émergé) n’ont été identifiées. Plus de 80 000 échantillons prélevés dans des sites sauvages et des fermes d’élevage chinoises se sont tous révélés négatifs », écrivent les chercheurs.
En outre, la communauté internationale des chercheurs « n’a pas accès aux sites, échantillons ou données brutes » liés au laboratoire de Wuhan et à l’épidémie de Covid, atteste l’article. Même le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a maintenant déclaré « que toutes les hypothèses restaient sur la table, y compris celle d’une fuite de laboratoire. »
Une origine de la pandémie par une fuite en laboratoire est « plausible », constatent les auteurs : « Certaines caractéristiques inhabituelles de la séquence du génome du SRAS-CoV-2 suggèrent qu’elles pourraient résulter du génie génétique. »
Ebright et ses collègues ont également brocardé les larbins de Fauci pour avoir placé « l’unité » et leur agenda politique au-dessus de l’évaluation critique et de la science :
« En tant que scientifiques, nous devons évaluer toutes les hypothèses sur une base rationnelle, et peser leur probabilité sur la base de faits et de preuves, sans spéculation concernant d’éventuels impacts politiques. Contrairement à la première lettre publiée dans The Lancet … nous ne pensons pas que les scientifiques doivent promouvoir l' »unité » (« Nous soutenons l’appel du directeur général de l’OMS à promouvoir les preuves scientifiques et l’unité plutôt que la désinformation et les conjectures »).
Comme nous l’avons montré ci-dessus, les hypothèses liées à la recherche ne sont pas de la désinformation et des conjectures. Plus important encore, la science accepte les hypothèses alternatives, les arguments contradictoires, la vérification, la réfutabilité et la controverse. S’écarter de ce principe risque d’établir des dogmes, d’abandonner l’essence de la science et, pire encore, d’ouvrir la voie aux théories du complot. Au lieu de cela, la communauté scientifique devrait amener ce débat là où il doit être : dans les colonnes des journaux scientifiques. »
Il est difficile d’imaginer comment Fauci, Daszak, Farrar et leurs co-conspirateurs peuvent rester à leur poste après ce démantèlement scientifique brutal.
Richard Abelson est le correspondant international du Gateway Pundit. Suivez-le sur Parler ou GETTR.