Article original datant du 09/01/22
J’ai raté cette étude. Les grands médias aussi, pour une raison quelconque. Mais cette étude est une analyse indépendante difficile à réfuter de plus : nous avons été trompés par les CDC, la FDA et les NIH (3 administrations américaines: Centres pour le contrôle des maladies, Administration des produits alimentaires et des médicaments et Instituts nationaux de la santé, NdT).
La prochaine fois que vous verrez le responsable de la santé de votre comté, le président Biden ou Boris Johnson, pourquoi ne pas leur demander s’ils peuvent trouver une erreur dans cette étude de Kyle A. Beattie intitulée Worldwide Bayesian Causal Impact Analysis of Vaccine Administration on Deaths and Cases Associated with COVID-19 : A BigData Analysis of 145 Countries (Analyse bayésienne [Wiki] de l’impact causal mondial de l’administration de vaccins sur les décès et les cas associés au COVID-19 : Une analyse BigData de 145 pays) (la version PDF est ici).
L’étude révèle que les vaccins COVID provoquent plus de cas de COVID par million (+38 % aux États-Unis) et plus de décès par million associés au COVID (+31 % aux États-Unis).
Le résumé dit :
L’impact causal statistiquement significatif et très majoritairement positif après le déploiement du vaccin sur les variables dépendantes que sont le total des décès et le total des cas par million devrait être très inquiétant pour les décideurs. Ils indiquent une augmentation marquée des cas et des décès liés au COVID-19, directement due au déploiement d’un vaccin qui a été initialement vendu au public comme la « clé pour regagner nos libertés ». L’effet des vaccins sur le nombre total de cas par million et sa faible association positive avec le nombre total de vaccinations par centaine signifient un impact limité des vaccins sur la réduction des cas associés au COVID-19.
Ces résultats devraient encourager les décideurs locaux à prendre des décisions politiques fondées sur des données, et non sur des narratifs, et sur les conditions locales, et non sur des restrictions mondiales ou nationales. Ces résultats devraient également encourager les décideurs politiques à commencer à chercher d’autres moyens de sortir de la pandémie que les campagnes de vaccination de masse.
En d’autres termes, on nous a menti
Les vaccins ne font qu’aggraver la situation, ils ne l’améliorent pas. C’est pourquoi nous ne parvenons pas à nous sortir du trou. Les vaccins obligatoires aggravent la situation
Ce n’est pas la première étude qui arrive à ces conclusions. Ces études, toutes réalisées indépendamment, ont abouti à la même conclusion : plus on vaccine, plus la situation empire.
- L’étude de Lyons-Weiler
- L’étude de Harvard
- L’étude allemande
- L’étude danoise (qui montre que le Dr James avait raison : il faut faire un rappel tous les 30 jours pour maintenir la protection).
- Données du gouvernement allemand (tirées de The Expose)
- 80 % des personnes décédées du COVID au Royaume-Uni ont été vaccinées.
- Lancet : 89 % des nouveaux cas de COVID au Royaume-Uni sont des personnes entièrement vaccinées.
La réaction des autorités sanitaires à cette nouvelle étude est prévisible
Je pense avoir compris le schéma et je peux maintenant prédire en toute confiance comment les autorités sanitaires du monde entier vont réagir à ce résultat stupéfiant : elles vont l’ignorer. Au lieu de cela, elles vont rendre obligatoire la vaccination de tous les enfants de tous âges dès que possible. Ai-je raison ?