Les Américains qui s’inquiètent de voir le gouvernement conspirer avec les entreprises de réseaux sociaux pour censurer leur discours ne sont pas des théoriciens de la conspiration. Cela a été prouvé.
Vendredi dernier, ce qui semble être l’un des seuls juges honnêtes restants en Amérique a ordonné à plusieurs personnalités de venir témoigner dans un procès intenté contre le gouvernement fédéral par les États de Louisiane et du Missouri. Dans cette affaire, les États affirment que plusieurs bureaucraties clés du gouvernement fédéral ont conspiré avec de grandes entreprises technologiques pour censurer la liberté d’expression sur les plateformes de réseaux sociaux.
Lorsque l’affaire a été déposée en justice, le juge a accordé une procédure accélérée très rare. Cette procédure accélérée a produit des résultats profonds. Aujourd’hui, les parties sont retournées au tribunal pour demander au juge de forcer des personnes qui ne seraient normalement pas du tout soumises à un témoignage, et encore moins de manière accélérée, à venir faire des dépositions afin de les faire témoigner sous serment sur ce qu’elles ont fait.
Le juge a accédé à cette demande, et son ordonnance met en lumière une conspiration qui s’étend à presque toutes les institutions gouvernementales, en violation directe de la Constitution des États-Unis, et pire que tout ce que nous aurions pu imaginer.
Pour résumer, nous avons appris vendredi qu’Anthony Fauci, le Département d’État, la CISA, le CDC, la Maison Blanche et d’autres organisations gouvernementales se sont chacun engagés dans un comportement inconstitutionnel, et franchement, orwellien, et il a été prouvé (pas allégué, prouvé) qu’ils ont agi de cette manière. Quelques perles ? Le chef de la CISA a désigné vos PENSÉES comme une « infrastructure critique » au sein du gouvernement des États-Unis, et le Bureau dur recensement (chargé aussi d’établir et d’archiver les données démographiques; l’équivalent de notre INSEE, NdT) s’est impliqué dans la traque des personnes postant ce que le ministère de la vérité considère comme une « information erronée, déséquilibrée ou malveillante ». La CISA appelle vos pensées « Infrastructure cognitive », et le Bureau du recensement aide en quelque sorte le gouvernement à censurer les faits qui ne lui plaisent pas.
Ce ne sont là que deux points d’une décision de grande envergure que vous devez absolument lire. J’ai adapté la chronique d’un fil de discussion que j’ai fait sur Truth Social. Consultez-le et priez pour ce juge.
Je vous ai promis un fil de discussion sur cette ordonnance dans l’affaire Missouri v. Biden, et oh, un fil de discussion vous recevrez. Cette ordonnance est absolument stupéfiante, et les juges ne font pas souvent des déclarations de « fait » dans une affaire qui n’est pas encore tranchée. Il le fait ici.
Un peu de contexte – les témoignages sous serment accélérés sont relativement rares, et les dépositions de fonctionnaires fédéraux sont encore PLUS rares. Elles n’ont généralement pas lieu. Ce sera long et prendra un peu de temps, alors servez-vous un café !
Voici l’ORDRE si vous voulez le lire en même temps.
Tout d’abord, comprenez l’objet de l’affaire. Il est allégué que des membres du gouvernement ont conspiré avec (et dirigé) des plateformes de réseaux sociaux pour censurer des personnes et des sujets qu’ils n’aimaient pas en raison de « Mis, Dis et Malinformation » (Subtilités regroupées en français sous le terme « désinformation », NdT). Si vous voulez un peu de contexte, @WendiSMahoney a fait beaucoup de travail sur ce sujet pour @UncoverDC.
Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres :
L’affaire couvre plusieurs affaires différentes. Et bien que j’aimerais être partie à l’affaire, @gatewaypundit est représenté par des médias, donc quel que soit le verdict, nous pouvons nous l’approprier aux affaires dont nous avons besoin, si nécessaire.
Ils détaillent l’origine de COVID, l’intégrité des élections, le traitement précoce, l’ordinateur d’Hunter, et plus encore. Vous pouvez également lire à qui ils demandent une déposition accélérée, et le chef de la CISA est inclus, ainsi que Fauci. Fauci a reçu le plus d’attention, mais c’est plus important que cela.
Tout d’abord, le juge s’assure de dire à tout le monde à quel point il est rare et difficile de dépasser la charge nécessaire pour une découverte accélérée. Indice : ce n’est pas facile.
« Les hauts fonctionnaires des départements exécutifs ne devraient pas, en l’absence de circonstances extraordinaires, être appelés à témoigner sur les raisons de prendre des mesures officielles. »
Vous ne voulez pas que quelqu’un puisse exiger la déposition accélérée de hauts fonctionnaires, car s’ils étaient assis pour des dépositions dans chaque affaire judiciaire que quelqu’un présente, ils n’arriveraient jamais à rien. Pensez à la façon dont certains partis utiliseraient cette arme lorsque leurs amis ne seraient pas au pouvoir. Donc, c’est vraiment une chose extraordinaire.
La partie suivante de l’ordonnance traite des objections des défendeurs (gouvernement), qui sont bien sûr toutes basées sur la procédure et les règles qui ne sont pas vraiment applicables. Elle aborde également le fait que certaines des parties à faire déposer sont d’ANCIENS fonctionnaires du gouvernement (Psaki, etc.) ou n’étaient pas mentionnées dans la première plainte mais le sont dans la plainte modifiée. Le juge met la plupart de ces questions au placard, mais poursuit en disant qu’il va détailler son raisonnement pour CHAQUE demande. C’est là que ça devient intéressant.
Dr Anthony Fauci
Le Dr Fauci fait l’objet d’une demande de déposition en tant que directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) et conseiller médical en chef du président.
Ils allèguent tout d’abord qu’il a été de connivence pour censurer les discours sur les origines du COVID, et ils allèguent qu’il était potentiellement derrière le financement de la recherche pour créer le virus, et qu’il a eu une conversation téléphonique qui a abouti à ce que des personnes fassent des déclarations dans des revues médicales sur les origines du COVID. (Ça commence à devenir intéressant. Accrochez-vous)
« Les États demandeurs insistent également sur le fait que le Dr Fauci a eu des communications écrites et orales avec Mark Zuckerberg au sujet de la réponse du gouvernement au COVID-19, et qu’il s’en est suivi une censure prétendument généralisée sur les réseaux sociaux de l’hypothèse de la fuite du laboratoire. »
« …des communications avec Mark Zuckerberg au sujet de la réponse du gouvernement à l’affaire COVID-19, et il s’en est suivi une censure prétendument généralisée de l’hypothèse de la fuite de laboratoire sur les réseaux sociaux. »
La section suivante contient les allégations concernant la Déclaration de Great Barrington, et la façon dont les responsables des NIH ont travaillé pour créer un démantèlement « rapide et dévastateur » de la Déclaration. La lecture de ce langage (tiré de leurs e-mails) est en fait assez effrayante. Il s’agit de bureaucrates non élus qui discutent du « démantèlement » des opinions scientifiques alternatives relatives à la crise médicale la plus importante de l’histoire de l’humanité. On pourrait penser qu’ils accueillent favorablement les points de vue alternatifs. (Veuillez noter le sarcasme)
Ensuite, nous entrons dans ce que Twitter a fait à Alex Berenson. Twitter a récemment réglé (oui, vous avez bien lu) une affaire avec Berenson et l’a réintégré sur la plateforme. Ce type de censure est arrivé à un nombre incalculable de personnes. Le gouvernement NE PEUT PAS s’entendre avec des entreprises privées pour censurer la parole. Ils NE PEUVENT PAS. C’est un affront à tout ce que nous défendons. Ils l’ont fait. Même le « Président » a participé à l’action. Ne me lancez pas sur les vaccins.
Ensuite, les plaignants allèguent que Pfizer s’est mis de la partie, car le discours de Berenson menaçait la science, ermmm, Fauci directement.
Je veux que vous lisiez ceci très attentivement. Le juge dit que les plaignants ont déjà PROUVÉ que Fauci avait une connaissance personnelle de la censure, et que « … des courriels accessibles au public qui prouvent (c’est nous qui soulignons) que le Dr Fauci communiquait et agissait en tant qu’intermédiaire pour d’autres afin de censurer les informations qui étaient partagées sur de multiples réseaux sociaux. »
Il n’a pas dit « alléguer » ou « potentiellement montrer ». Il a utilisé le mot PROUVER. C’est TRÈS substantiel.
Le juge dit à Fauci que la liberté d’expression est plus importante que de déranger la « science ».
Rob Flaherty
Les plaignants demandent la déposition de Rob Flaherty (« Flaherty »), qui est le directeur de la stratégie numérique de la Maison Blanche ; « … un « fonctionnaire clé dans la campagne de pression de la Maison Blanche sur les sociétés de réseaux sociaux pour augmenter la censure du COVID-19 et les politiques et réponses des sociétés de réseaux sociaux aux réclamations du vaccin COVID-19. »
Les plaignants allèguent que Meta travaille avec Flaherty pour censurer les discours visant à freiner l’hésitation à se faire vacciner sur la base des rapports reçus de Meta, sous la direction de la Maison Blanche. ORWELLIEN.
Encore une fois, voici ce mot, PROUVÉ. PROUVÉ. Il est si important que je veux m’assurer que vous en comprenez tous la signification ici.
« La Cour estime que les plaignants ont prouvé que M. Flaherty a une connaissance personnelle de la question concernant la censure à travers les réseaux sociaux telle qu’elle est liée à COVID-19 et aux questions annexes de COVID-19. »
Cette déclaration scelle essentiellement la victoire des plaignants. La déclaration elle-même signifie que les plaignants ont gagné. Lisez-la attentivement. Elle reconnaît directement la collusion.
C’est un juge qui parle. Pas un avocat de la partie, ou quelqu’un en tant que partie. C’est vraiment important :
« Les raisons substantielles de prendre les dépositions de Flaherty sont exposées ici, et la Cour estime que les raisons substantielles sont écrasantes. »
Andrew Slavitt
« Le défendeur Andrew Slavitt (dit « Slavitt ») a occupé le poste de conseiller principal de la Maison Blanche pour le COVID-19. Slavitt aurait « mené la charge » pour la Maison Blanche dans sa campagne avec les entreprises de réseaux sociaux pour augmenter la censure des discours privés en ce qui concerne COVID-19 par le biais de réunions et de conversations orales avec des représentants de multiples plateformes de réseaux sociaux. »
Lisez ceci. Un directeur de la Maison Blanche demande à une plateforme de réseaux sociaux pourquoi ils n’ont pas interdit un citoyen privé pour les choses qu’il dit. C’est tellement grotesque à première vue, mais nous savions que cela se produisait et nous avons été traités de « théoriciens de la conspiration » pour l’avoir dit. C’est le mal.
Leur orgueil démesuré causera leur perte. La raison pour laquelle le tribunal autorise la déposition est en partie due au fait que Slavitt s’est vanté de son rôle de censeur dans un podcast.
« La Cour estime que les plaignants ont prouvé qu’Andrew Slavitt a une connaissance personnelle de la question concernant la censure sur les réseaux sociaux en rapport avec COVID-19 et les questions annexes de COVID-19. »
« … sa propre description de son rôle dans un podcast auquel il a participé montre qu’il a des connaissances spécifiques en ce qui concerne ces questions »
Jen Psaki
Jennifer Psaki (Psaki) est l’ancienne secrétaire de presse du président Biden à la Maison Blanche. Elle est une défenderesse dans cette affaire. Les plaignants demandent la déposition de Psaki pour une multitude de raisons ».
Psaki a déclaré lors d’une conférence de presse de la Maison Blanche « les grandes plateformes ont une responsabilité liée à la santé et à la sécurité de tous les Américains pour cesser d’amplifier le contenu non fiable, la désinformation et les fausses informations, notamment en ce qui concerne le COVID-19, les vaccinations et les élections. Mme Psaki a déclaré lors d’une autre conférence de presse, le 15 juillet 2021, que son administration est en « contact régulier » avec les plateformes de réseaux sociaux et que les engagements se font entre le personnel et les plateformes. » (Modifié un peu pour la longueur)
« Vous ne devriez pas être banni d’une plateforme et pas des autres »
Elle a réellement dit cela. A haute voix. Dans une conférence de presse. Et :
« Les plaignants soutiennent en outre que parallèlement à ces déclarations, Psaki a également « exigé » des « stratégies robustes » pour que les entreprises de réseaux sociaux appliquent la censure des « messages nuisibles ». »
La Cour estime que les plaignants ont prouvé que Jennifer Psaki a une connaissance personnelle de la question concernant la censure sur les réseaux sociaux telle qu’elle est liée à COVID-19 et aux questions annexes de COVID-19. »
Elvis Chan
L’histoire de l’ordinateur portable de Biden arrive, et une fois de plus, leur orgueil démesuré les conduit à leur perte. Le podcast de Joe Rogan est le catalyseur, et Meta a dû révéler qui était l’agent à cause d’une assignation à comparaître.
« Les plaignants demandent à déposer Elvis Chan (« Chan »), un défendeur nommé dans cette affaire et l’agent spécial superviseur de l’escouade CY-1 de la division de San Francisco du FBI. »
Notez ici que le tribunal utilise un langage différent lorsqu’il s’agit de Chan. Le Juge ne dit pas que quelque chose est « prouvé ». Il dit que les plaignants ont ÉTABLI qu’il a une connaissance personnelle. C’est une distinction importante lorsqu’elle est prise avec la vision d’ensemble.
Jen Easterly
« Les plaignants demandent la déposition de Jen Easterly (« Easterly »), directrice de la CISA au sein du ministère de la Sécurité intérieure, car elle supervise le « centre nerveux » de la censure dirigée par le gouvernement fédéral. »
Réfléchissez à ceci : la CISA désigne VOS PENSÉES et votre discours comme la forme la plus importante de l’infrastructure américaine – l’INFRASTRUCTURE COGNITIVE. En soi, cela pourrait faire l’objet d’un procès.
« …l’infrastructure la plus importante est une infrastructure cognitive. »
Le « Conseil de gouvernance de la désinformation » est maintenant en procès. Cela fait vraiment froid dans le dos, et Dieu merci pour les États du Missouri et de la Louisiane.
« Ces textes sont prétendument centrés sur Easterly et Masterson discutant d’un « Conseil de gouvernance de la désinformation ». Les conversations décrivent finalement comment Easterly cherche à obtenir une plus grande censure et que cela se ferait par une pression fédérale sur les plates-formes de réseaux sociaux pour augmenter la censure. »
Lauren Protentis
« Les plaignants demandent la déposition de Lauren Protentis en raison de son appartenance à la CISA Mis- Dis- and Mal-Information Team (« équipe MDM »), dont la mission est prétendument une censure des discours sur les réseaux sociaux induite par le gouvernement fédéral. »
Lauren est spécialisée dans le partenariat avec les réseaux sociaux pour limiter la parole des citoyens, en particulier en ce qui concerne les gouvernements étrangers et les ELECTIONS. Lisez ce passage en entier. Il est important.
Vivek Murthy
« Les plaignants demandent ensuite la déposition du Dr Vivek Murthy (« Dr Murthy »), chirurgien général, pour sa campagne publique visant à censurer les personnes qui diffusent des « informations erronées » sur le COVID-19. Les plaignants déclarent que le Dr Murthy a également critiqué publiquement les « entreprises technologiques » en affirmant qu’elles sont responsables des décès dus au COVID-19 en raison de leur incapacité à censurer la « désinformation ».
Il a envoyé une « demande d’information » (RFI) voulant des renseignements sur la façon dont les entreprises technologiques censureraient les discours pour les choses considérées comme de la « désinformation ».
« Les plaignants insistent sur le fait que le Dr Murthy communique également avec des cadres supérieurs de Facebook au sujet de la « demande » d’une plus grande censure de la « désinformation » COVID-19. Les plaignants déclarent qu’ils ont obtenu ces informations par le biais de textes et d’emails lors de la découverte. Ceux-ci établissent que le Dr Murthy était engagé dans ces communications et qu’on lui a même envoyé des « rapports » pour obtenir son opinion sur la censure. »
Carol Y. Crawford
« Les plaignants demandent la déposition de la défenderesse Carol Crawford ( » Crawford « ), chef de la Digital Media Branch de la Division of Public Affairs au sein du CDC, car elle ferait partie des employés du gouvernement les plus impliqués dans la censure de la » désinformation » sur le COVID-19. «
Crawford, conformément à cet ordre, a littéralement travaillé avec le CENSUS BUREAU pour identifier les personnes qui, selon elle, diffusaient des « fausses informations » sur les réseaux sociaux. Elle a également organisé des appels « BOLO » (visant à alerter et surveiller les agissements de personnes désignées) pour cibler des personnes.
Incroyable. Le Census Bureau, la NARA, le FBI, le Département de la Justice, le Congrès, existe-t-il une seule agence gouvernementale qui ne soit pas dirigée par un groupe de communistes fascistes tyranniques ?
Réponse ? Peut-être les bureaux des procureurs généraux du Missouri et de la Louisiane. Comment réparer cela ?
Daniel Kimmage
» Les plaignants demandent la déposition de Daniel Kimmage (« Kimmage »), coordinateur par intérim du Global Engagement Center (« GEC ») au Département d’État, car il travaillerait en étroite collaboration avec Easterly et la CISA pour coordonner la censure par les réseaux sociaux des discours sur les questions liées aux élections et l’intégrité des élections. »
Accrochez-vous à vos chapeaux pour cette fois – c’est la raison pour laquelle je dis que cette ordonnance a une signification BEAUCOUP plus grande que juste Fauci. Veuillez lire ce passage.
C’est vraiment stupéfiant, et je ne suis pas sûr que les gens saisissent vraiment ce qui se passe ici, du moins pas le grand public. Il s’agit d’une conspiration si vaste, et si écrasante, qu’elle compromet légitimement l’ensemble du gouvernement.
Conclusion et mes pensées, qui s’étendront probablement sur plusieurs posts.
Ce procès a déjà prouvé et exposé une vaste conspiration visant à censurer les Américains pour ce que le gouvernement considère comme des « mauvaises pensées ». Ils l’enveloppent dans des causes nobles, ils prétendent que c’est pour le plus grand bien PARFOIS, mais il n’y a légitimement aucun moment, jamais, surtout en vertu des droits donnés par Dieu et protégés par la Constitution, que notre gouvernement peut faire cela.
C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai déclaré que même si le « conseil de gouvernance de la désinformation » a été « dissous », cela n’avait aucune importance, et qu’ils le faisaient déjà de toute façon. Cela va de l’intégrité des élections aux conversations et délibérations sur des questions médicales, en passant par les opinions. De toute évidence, ils disposaient même de fonds pour mettre en œuvre les campagnes qu’ils voulaient.
C’est si vaste et si radical qu’il est presque incroyable qu’ils aient agi si ouvertement qu’ils pensaient ne pas se faire prendre. Il est également incroyable qu’il y ait un juge honnête qui permette à cette affaire d’avancer, ce que nous n’aurions jamais dit dans les années passées.
Le fait est que tout est gâché. Tout est corrompu. L’ordonnance elle-même est stupéfiante, les plaintes l’étaient aussi. Je ne suis même pas sûr de ce que sera le REMÈDE lorsqu’ils gagneront le procès. Que se passera-t-il ?
De plus, je suis abasourdi qu’ils aient fourni ces informations. Apparemment, la découverte fonctionne encore, donc il y a une partie du système de justice qui fait encore son travail. Il y a encore de l’espoir.
Je suivrai cette affaire de TRÈS près, et je vous ferai part de toute information. J’ai déjà écrit à ce sujet pour UncoverDC, ici :